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La liste des tomes


« À bord » : une nouvelle série de beaux livres pour naviguer en dessins à bord des bateaux les plus célèbres de l’histoire maritime. Frégates, sous-marins, paquebots, bateaux de pêche, etc. : chaque volume sera consacré à un type de navires et dressera en mots et en images le portrait de dix bateaux illustres. Qu’elles se nomment l’Hermione, HMS Rose ou encore Shtandart, qu’elles soient anglaises, françaises, russes ou américaines, ces frégates ont fait la gloire de leurs marines. Rapides et facilement manœuvrables, ces navires avaient diverses fonctions : partir en reconnaissance, porter des nouvelles, surveiller les côtes, nuire au commerce de l’ennemi. Les frégates ont été de toutes les aventures maritimes, qu’elles soient scientifiques, commerciales ou militaires. Les unes sont passées à la postérité pour leurs avancées technologiques ; les autres pour leurs exploits et la renommée de leur capitaine, à l’image du tour de monde de la Boudeuse pilotée par Bougainville ; d’autres encore ont eu une incroyable longévité, telle l’USS Constitution construite en 1797 et toujours en activité ! Le destin de La Méduse sera plus bref, elle qui échoue sur un banc sablonneux au large de la Mauritanie ; le peintre Géricault immortalisera les malheureux passagers de son radeau. Magistralement illustré par Jean-Yves Delitte et Jean-Benoît Héron, ce beau livre dresse le portrait de dix de ces frégates. Après une visite des chantiers navals et une plongée dans la vie à bord des marins, il décrit l’épopée de chacune. Alors, prêt à embarquer ?
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Description
« À bord » : une nouvelle série de beaux livres pour naviguer en dessins à bord des bateaux les plus célèbres de l’histoire maritime. Frégates, sous-marins, paquebots, bateaux de pêche, etc. : chaque volume sera consacré à un type de navires et dressera en mots et en images le portrait de dix bateaux illustres. Qu’elles se nomment l’Hermione, HMS Rose ou encore Shtandart, qu’elles soient anglaises, françaises, russes ou américaines, ces frégates ont fait la gloire de leurs marines. Rapides et facilement manœuvrables, ces navires avaient diverses fonctions : partir en reconnaissance, porter des nouvelles, surveiller les côtes, nuire au commerce de l’ennemi. Les frégates ont été de toutes les aventures maritimes, qu’elles soient scientifiques, commerciales ou militaires. Les unes sont passées à la postérité pour leurs avancées technologiques ; les autres pour leurs exploits et la renommée de leur capitaine, à l’image du tour de monde de la Boudeuse pilotée par Bougainville ; d’autres encore ont eu une incroyable longévité, telle l’USS Constitution construite en 1797 et toujours en activité ! Le destin de La Méduse sera plus bref, elle qui échoue sur un banc sablonneux au large de la Mauritanie ; le peintre Géricault immortalisera les malheureux passagers de son radeau. Magistralement illustré par Jean-Yves Delitte et Jean-Benoît Héron, ce beau livre dresse le portrait de dix de ces frégates. Après une visite des chantiers navals et une plongée dans la vie à bord des marins, il décrit l’épopée de chacune. Alors, prêt à embarquer ?
Plongée en dessin au coeur de l'histoire des sous-marins. Une double épopée, militaire et scientifique. Évoluer sous la surface de l’eau pour explorer les fonds marins ou passer inaperçu a depuis longtemps attiré les hommes. Au début par curiosité, mais très vite – l’homme est ainsi fait – à des fins militaires ou pécuniaires. L’apparition des navires cuirassés et des sous-marins à l’époque de l’ère industrielle va bouleverser les combats navals, faisant de la destruction pure et simple des forces ennemies l’objectif premier. La guerre sur mer devient sournoise, l’approche silencieuse et discrète, et c’est au tonnage ennemi coulé que l’on mesure les victoires. Le Hunley (1863) sera le premier sous-marin à couler un navire de guerre. Pendant les deux guerres mondiales du XXe siècle, les sous-marins seront une arme redoutable et les batailles sous-marines décisives, à l’instar de celles de l’Atlantique avec les U-Boote allemands, qui livreront une guerre totale. Mais l’histoire des sous-marins n’est pas seulement militaire, elle est aussi scientifique avec l’exploration des fonds sous-marins. Si les terres émergées ne réservent plus beaucoup de surprises, les profondeurs sous-marines restent pour partie Terra incognita ou plutôt Mare incognita. À bord de son bathyscaphe Le Trieste, Auguste Piccard réussit à descendre en 1960 dans la fosse des Mariannes, la plus profonde au monde (plus de 10 900 m). Conçu et illustré par deux dessinateurs d’exception, ce bel ouvrage raconte l’histoire des submersibles, depuis les premiers principes physiques posés par Archimède et le tonneau d'Alexandre le Grand au plan des sous-marins nucléaires modernes. Les grandes pages de l’histoire sous-marine, revisitées à travers une centaine de dessins.
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Description
Plongée en dessin au coeur de l'histoire des sous-marins. Une double épopée, militaire et scientifique. Évoluer sous la surface de l’eau pour explorer les fonds marins ou passer inaperçu a depuis longtemps attiré les hommes. Au début par curiosité, mais très vite – l’homme est ainsi fait – à des fins militaires ou pécuniaires. L’apparition des navires cuirassés et des sous-marins à l’époque de l’ère industrielle va bouleverser les combats navals, faisant de la destruction pure et simple des forces ennemies l’objectif premier. La guerre sur mer devient sournoise, l’approche silencieuse et discrète, et c’est au tonnage ennemi coulé que l’on mesure les victoires. Le Hunley (1863) sera le premier sous-marin à couler un navire de guerre. Pendant les deux guerres mondiales du XXe siècle, les sous-marins seront une arme redoutable et les batailles sous-marines décisives, à l’instar de celles de l’Atlantique avec les U-Boote allemands, qui livreront une guerre totale. Mais l’histoire des sous-marins n’est pas seulement militaire, elle est aussi scientifique avec l’exploration des fonds sous-marins. Si les terres émergées ne réservent plus beaucoup de surprises, les profondeurs sous-marines restent pour partie Terra incognita ou plutôt Mare incognita. À bord de son bathyscaphe Le Trieste, Auguste Piccard réussit à descendre en 1960 dans la fosse des Mariannes, la plus profonde au monde (plus de 10 900 m). Conçu et illustré par deux dessinateurs d’exception, ce bel ouvrage raconte l’histoire des submersibles, depuis les premiers principes physiques posés par Archimède et le tonneau d'Alexandre le Grand au plan des sous-marins nucléaires modernes. Les grandes pages de l’histoire sous-marine, revisitées à travers une centaine de dessins.
Le nouveau rendez-vous de la collection À bord : la grande épopée des galères de l’Antiquité égyptienne au siècle des Lumières. Un voyage sur les mers et fleuves du monde, de la Méditerranée à l’Océanie, à travers plus de 80 dessins ! L’histoire des galères ne se résume pas à celle erronée et montrée dans les péplums où des galériens enchaînés à leurs bancs rament au rythme du tambour ou sous les coups de fouet. Dérivée des premières pirogues, ce bateau long sera l’un des premiers navires créés par l’homme, mu à rames mais aussi à voiles. Pendant plus de quatre millénaires, sous diverses dénominations et formes (trière, trirème, dromon, galée, etc.), il a accompagné le développement des premières civilisations méditerranéennes. On le retrouve sur toutes les eaux calmes et les grands fleuves et archipels, dans les brumes de la Baltique comme sur les côtes d’Extrême-Orient ou les îles océaniques. À partir de l’Antiquité, grâce à ce navire souvent repris sous le nom générique de galère, les hommes vont échanger idées, biens, techniques et développer le commerce. Car la galère, avant d’être un navire de peine ou de guerre, a aussi été un navire de commerce. Un navire qui n’a cessé de se transformer pour servir essentiellement des rêves de puissance et de prestige à partir de la Renaissance. De la même façon, le statut des galériens a fluctué : les chiourmes ont longtemps été constituées de volontaires contrairement aux idées reçues. Ne pouvant naviguer que par temps calme, les galères sont indissociables de leur port d’attache comme en témoignent les grands arsenaux des royaumes côtiers : Le Pirée, Carthagène, Venise, Gênes, Istanbul ou Marseille – la liste est longue et non exhaustive –, ou des plus petits comme Villefranche-sur-Mer. Et si aujourd’hui la galère appartient à l’histoire de la marine, on la retrouve encore comme reine de bien des parades navales. Pour tout savoir sur l’art de ramer en cadence, embarquez à bord de l’une d’elles !
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Le nouveau rendez-vous de la collection À bord : la grande épopée des galères de l’Antiquité égyptienne au siècle des Lumières. Un voyage sur les mers et fleuves du monde, de la Méditerranée à l’Océanie, à travers plus de 80 dessins ! L’histoire des galères ne se résume pas à celle erronée et montrée dans les péplums où des galériens enchaînés à leurs bancs rament au rythme du tambour ou sous les coups de fouet. Dérivée des premières pirogues, ce bateau long sera l’un des premiers navires créés par l’homme, mu à rames mais aussi à voiles. Pendant plus de quatre millénaires, sous diverses dénominations et formes (trière, trirème, dromon, galée, etc.), il a accompagné le développement des premières civilisations méditerranéennes. On le retrouve sur toutes les eaux calmes et les grands fleuves et archipels, dans les brumes de la Baltique comme sur les côtes d’Extrême-Orient ou les îles océaniques. À partir de l’Antiquité, grâce à ce navire souvent repris sous le nom générique de galère, les hommes vont échanger idées, biens, techniques et développer le commerce. Car la galère, avant d’être un navire de peine ou de guerre, a aussi été un navire de commerce. Un navire qui n’a cessé de se transformer pour servir essentiellement des rêves de puissance et de prestige à partir de la Renaissance. De la même façon, le statut des galériens a fluctué : les chiourmes ont longtemps été constituées de volontaires contrairement aux idées reçues. Ne pouvant naviguer que par temps calme, les galères sont indissociables de leur port d’attache comme en témoignent les grands arsenaux des royaumes côtiers : Le Pirée, Carthagène, Venise, Gênes, Istanbul ou Marseille – la liste est longue et non exhaustive –, ou des plus petits comme Villefranche-sur-Mer. Et si aujourd’hui la galère appartient à l’histoire de la marine, on la retrouve encore comme reine de bien des parades navales. Pour tout savoir sur l’art de ramer en cadence, embarquez à bord de l’une d’elles !
Hareng, morue, thon : l’épopée de la grande pêche en quatre-vingts dessins Il est une marine qui peut paraître moins prestigieuse, elle a pourtant animé tous les ports du monde et permet encore de nourrir d’innombrables populations. C’est celle des marins-pêcheurs, dont l’histoire se confond avec celle des civilisations. Impossible de dresser ici un inventaire de tous les bateaux de pêche, tant ils sont variés. Ils se sont développés aussi bien en fonction des espèces pêchées que de la configuration des côtes ou de la distance à parcourir. Ce beau livre s’en tient à ceux qui partaient pour des campagnes de plusieurs semaines, quand cela ne se comptait pas en mois : ceux de la « grande pêche » et de la pêche hauturière. Il se concentre également sur les trois espèces de poissons les plus emblématiques : morue, hareng et thon. Préparez-vous donc pour une campagne de pêche sur l’une des goélettes à hunier décrites par Pierre Loti dans Pêcheur d’Islande, à moins que vous ne préfériez embarquer à bord d’un terre-neuvas. Remarquablement illustré et expliqué par Jean-Yves Delitte et Jean-Benoît Héron, cet ouvrage vous invite à embarquer sur des dizaines de bateaux de pêche, de la chaloupe sardinière aux grands thoniers senneurs, pour mieux saisir l’histoire de la grande pêche et ses enjeux.
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Hareng, morue, thon : l’épopée de la grande pêche en quatre-vingts dessins Il est une marine qui peut paraître moins prestigieuse, elle a pourtant animé tous les ports du monde et permet encore de nourrir d’innombrables populations. C’est celle des marins-pêcheurs, dont l’histoire se confond avec celle des civilisations. Impossible de dresser ici un inventaire de tous les bateaux de pêche, tant ils sont variés. Ils se sont développés aussi bien en fonction des espèces pêchées que de la configuration des côtes ou de la distance à parcourir. Ce beau livre s’en tient à ceux qui partaient pour des campagnes de plusieurs semaines, quand cela ne se comptait pas en mois : ceux de la « grande pêche » et de la pêche hauturière. Il se concentre également sur les trois espèces de poissons les plus emblématiques : morue, hareng et thon. Préparez-vous donc pour une campagne de pêche sur l’une des goélettes à hunier décrites par Pierre Loti dans Pêcheur d’Islande, à moins que vous ne préfériez embarquer à bord d’un terre-neuvas. Remarquablement illustré et expliqué par Jean-Yves Delitte et Jean-Benoît Héron, cet ouvrage vous invite à embarquer sur des dizaines de bateaux de pêche, de la chaloupe sardinière aux grands thoniers senneurs, pour mieux saisir l’histoire de la grande pêche et ses enjeux.
Une autre histoire des paquebots. Titanic, Normandie, France ou Queen Mary. Lorsqu’on parle de « paquebots », ces noms surgissent aussitôt. Et dans leur sillage, une multitude d’images véhiculées par le cinéma et la littérature : celles de voyages luxueux, de longues traversées dans des palaces flottants. On les associe au rêve américain qui s’empara de tant de migrants européens. Sans oublier les fortunes de mer qui coûtèrent la vie à des milliers de passagers et de marins. Prestigieuse, la ligne transatlantique concentrait tous les efforts d’imagination en matière d’architecture navale et de progrès technologique. C’était à qui construirait le paquebot le plus rapide, le plus grand, le plus moderne, le plus luxueux ! On ne peut cependant résumer l’histoire des paquebots à ces seules traversées transatlantiques. Il faut remonter à la naissance des services de messageries qui assuraient les liaisons entre les îles et le continent ou entre les colonies. De « packet boats » (navires de colis), ils sont devenus « paquebots » avec l’apparition de la vapeur. En temps de guerre, plusieurs furent transformés en bateaux de transports de troupes, en casernes ou en hôpitaux flottants. Aujourd’hui détrônés par l’avion et cantonnés aux croisières, ils font pour certains l'objet de recherches en termes de décarbonation. Ce sont donc toutes ces facettes qui seront racontées dans ce nouveau volume de la collection À bord, superbement illustré par Jean-Yves Delitte et Jean-Benoît Héron.
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Description
Une autre histoire des paquebots. Titanic, Normandie, France ou Queen Mary. Lorsqu’on parle de « paquebots », ces noms surgissent aussitôt. Et dans leur sillage, une multitude d’images véhiculées par le cinéma et la littérature : celles de voyages luxueux, de longues traversées dans des palaces flottants. On les associe au rêve américain qui s’empara de tant de migrants européens. Sans oublier les fortunes de mer qui coûtèrent la vie à des milliers de passagers et de marins. Prestigieuse, la ligne transatlantique concentrait tous les efforts d’imagination en matière d’architecture navale et de progrès technologique. C’était à qui construirait le paquebot le plus rapide, le plus grand, le plus moderne, le plus luxueux ! On ne peut cependant résumer l’histoire des paquebots à ces seules traversées transatlantiques. Il faut remonter à la naissance des services de messageries qui assuraient les liaisons entre les îles et le continent ou entre les colonies. De « packet boats » (navires de colis), ils sont devenus « paquebots » avec l’apparition de la vapeur. En temps de guerre, plusieurs furent transformés en bateaux de transports de troupes, en casernes ou en hôpitaux flottants. Aujourd’hui détrônés par l’avion et cantonnés aux croisières, ils font pour certains l'objet de recherches en termes de décarbonation. Ce sont donc toutes ces facettes qui seront racontées dans ce nouveau volume de la collection À bord, superbement illustré par Jean-Yves Delitte et Jean-Benoît Héron.

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