Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 791
Membres
1 013 858

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

On pouvait voir se refléter dans les yeux de Renfri la lueur de la chandelle, ses perles dans l’échancrure de son corselet et le médaillon à gueule de loup qui tournoyait au bout de sa chaîne d’argent.

Afficher en entier
Extrait ajouté par x-Key 2017-05-30T13:48:59+02:00

« Si la Reine vous ordonne de vous déshabiller entièrement, de vous peindre le fondement en bleu et de vous pendre dans le vestibule la tête en bas pour jouer les candélabres, faites-le sans manifester votre étonnement et sans hésiter ! »

Afficher en entier

Le Mal est le Mal (...). Petit, grand, moyen, peu importe, ses dimensions ne sont qu’une question de convention, et la frontière entre ces mots n’existe pas.

Afficher en entier

- Ça suffit, marmonna Geralt. Ça suffit, grand-mère. Merci.

- Non, non! Protesta Jaskier avec un sourire fielleux. Comment ça continue? Ce livre est passionnant! Dites nous la suite, grand-mère! Dites!

- Euh.. il faut se garder de toucher le sorcereur car on peut attraper la gale. Et il faut mettre les jouvencelles à l’abri car le sorcereur est un chaud lapin, au delà de toute mesure...

- C’est bien ça c’est exactement lui, fit le poète en riant.

Afficher en entier

- Les gens, dit Geralt en détournant la tête, aiment bien inventer des monstres et des monstruosités. Ça leur donne l'impression d'être moins monstrueux eux-même. Quand ils boivent comme des trous, qu'ils escroquent les gens, les volent, qu'ils cognent leurs femmes à coups de rênes, laissent crever de faim la vieille grand-mère, qu'ils assènent un coup de hache à un renard pris dans un panneau ou criblent de flèches la dernière licorne qui subsiste sur terre, ils aiment se dire que la Moire qui entre dans les chaumières au point du jour est plus monstrueuse qu'eux. Alors ils se sentent le cœur plus léger. Et ils ont moins de mal à le vivre.

Afficher en entier

« - Si je comprends bien, dit-il, je dois me battre en duel parce que si je ne le fais pas, je serai pendu. Si je combats, je dois laisser mon adversaire me blesser parce que si c'est moi qui le blesse, je serai condamné au pilori. Quelle joyeuse alternative ! Mais je pourrais peut-être vous épargner des ennuis ? Je vais me fracasser la tête contre le tronc d'un pin et me réduire ainsi moi-même à l'impuissance. Cela vous satisfera-t-il ? »

Geralt (traduction de Laurence Dyèvre).

Afficher en entier

Mon premier monstre, Iola, était chauve et avait des dents particulièrement laides, toutes gâtées. Je l'ai rencontré sur la grand-route, ou associé avec des monstres collègues, des soldats pillards, il avait arrêté une charrette de paysans et en avait fait descendre une fillette qui pouvait avoir treize ans, peut-être même moins. Ses copains retenaient le père de la fille pendant que le chauve lui arrachait sa robe en hurlant que l'heure était venue pour elle de savoir ce qu'était un homme. Je me suis rapproché, j'ai mis pied à terre et dit au chauve que pour lui aussi, l'heure d'apprendre ce qu'était un homme avait sonné. Je me trouvais très spirituel. Le chauve a lâché la gamine et s'est jeté sur moi avec une hache. Il était très lent, mais coriace. Il a fallu deux coups pour qu'il tombe. Les coups que je lui ai portés n'étaient pas spécialement nets, mais ils étaient je dirais, très spectaculaires, au point que les copains du chauve ont pris leurs jambes à leur cou quand ils ont vu ce qu'un glaive de sorceleur pouvait faire d'un homme...

Afficher en entier
Extrait ajouté par Mijak 2015-01-11T17:09:17+01:00

"Le Mal est le Mal, Stregobor, dit gravement le sorceleur en se levant. Petit, grand, moyen, peu importe, ses dimensions ne sont qu'une question de convention, et la frontière entre ces mots n'existe pas. Je ne suis pas un saint ermite, je n'ai pas fait que le bien dans ma vie. Mais à choisir entre deux maux, je préfère ne pas choisir du tout."

Afficher en entier

-Qu'est ce qu'ils font ? redemanda Jaskier, curieux. Dis le donc, par tout les diables !

L'elfe sourit. D'un sourire triste, très triste.

-Je n'aime pas les grands mots, dit-il. Et c'est une chose qu'on ne saurait dire sans employer de grands mots.

Afficher en entier

-Je ne sais vraiment pas ce qui peut arriver si je lâche ce pot sous tes pieds, Tailles, fit-elle sans perdre son calme. Il est possible que tes poumons explosent. Ou que tu te couvres de poils. A moins que ce soit les deux à la fois. Qui le sait ? La seule à le savoir est probablement Sa Majesté Melitele.

-Tu prends des risques en me menaçant de tes sortilèges, prêtresse ! Nos hommes...

-Si l'un où l'autre des vos hommes lève la main sur la prêtresse de Melitele, il sera pendant aux acacias qui bordent la route de la ville, et cela avant que le soleil est atteint l'horizon. Ils le savent très bien. Et tu le sais, toi aussi, Tailles. Alors, arrête de te comporter comme un manant ! C'est moi qui ai accouché ta mère, satané morveux, et ça me ferait de la peine pour elle. Mais ne tente pas le sort ! Ne me force pas à t'apprendre les bonnes manières !

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode