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Mon dieu, Dru. Tu n'as pas non plus brossé tes dents aujourd'hui. Négligée, très négligée.
J'aillais sûrement être couverte de boutons après tout cela. Il allait y en avoir partout sur le visage Anderson. Mais pour le moment, mes joues étaient emflammées et chaudes, que cela n'avait pas d'importance.
Afficher en entier-Au nom du ciel, peux-tu t'habiller ?
Papa se promenait torse nu quand il le voulait et j'étais sûre que je n'étais pas bégueule, mais quand même.
-Je pensais que tu essayais de me faire retirer mes vêtements.
Afficher en entierJe ne voulais pas faire ce que je pensais que j'allais faire.
Tant pis, ma beauté. Tu dois le faire.
Il cessa de s'agiter dans les cordes aussitôt qu'il me vit. Les couvertures avaient glissé et avaient laissé ses orteils découverts. La pièce était plus chaude, et la transpiration plaquait ses longs cheveux noirs comme la mort sur son visage.
Nous nous dévisageâmes pendant quelques instant. Puis, il leva ses doigts gercés -couché sur le côté, c'était à peu près la seule chose qu'il pouvait faire. Sa voix était rauque, et il me dit le dernière chose à laquelle vous vous attendez de la part d'un garçon qui a été mordu par un loup-garou, et qui est ligoté à un lit.
-Perverse.
Il leva une moitié de son sourcil unique, les yeux verts brûlant autour des pastilles de ses pupilles. Il ne semblait pas prêt à se voir pousser des poils et des crocs.
Presque douze heures avaient passé depuis qu'il avait été mordu.
-Je n'aurai jamais cru que tu étais une adepte du bondage, ajouta-t-il. Comme vais-je faire, pour aller pisser ?
Quel garçon intelligent.
Afficher en entier-Eh bien, vous êtes une fille intéressante, mademoiselle Anderson.
Voyant que je ne répondais pas, il gigota et cogna son épaule contre la mienne.
-M'as-tu caressé lorsque tu m'a ligoté ?
QUOI ?
Ma mâchoire menaça de tomber.
-Euh non. C'est ce que tu voulais ?
-Eh bien, cela aurait été agréable.
Afficher en entier-Hé, Dru. Tu étais en train d'embrasser un serpent ailé.
Horrible.
-Il lui volait son souffle, imbécile. Va chercher une serviette.
Chistophe le poussa, et Graves lui rendit sa bourrade. Le plancher émit des grincements sous leur poids. Si j'avais pu avoir une odeur dans le nez, cela aurait été la sécheresse légèrement huileuse de pur macho. Les lèvres de Graves se relevèrent, et ses dents étaient presque aussi blanche que celles de Christophe.
-Ne me donne pas d'ordres connard. J'étais là avant toi.
Mon Dieu. Les gars.
Je retrouvai ma voix.
-Taisez-vous tous les deux. Et sortez d'ici.
Il me fut difficile d'avoir l'air énergique, avec mon débardeur trempé et tous les muscles de mon corps mou comme des spaghettis humides, mais je fis de mon mieux.
-Descendez me préparer du chocolat chaud. Videz le lave-vaisselle. Rendez-vous utiles, plutôt que de disputer un match de testostérone dans ma chambre.
Pendant un long et sensuel moment, ils me regardèrent fixement, les yeux verts et le regard bleu brûlant.
Afficher en entierSpoiler(cliquez pour révéler)« Je me mis à pleurer.
Le babillage se transforma en un mot, répété encore et encore.
«Papa? Papa? Papa?»
Il gisait là.
Le zombie gisait là. »
Extrait de : Saintcrow, Lilith. « Les anges de la nuit. »
Afficher en entier- Merci, dis-je finalement en repoussant mes cheveux derrière mes oreilles. Les boucles étaient de nouveau devenues des frisottis.
-Pas de problèmes, répliqua-t-il en haussant les épaules. Le premier est gratuit. Regarde, tu ne peux vraiment pas rentrer chez toi? Que s'est-il passé?
Afficher en entierChapitre 25 page 295
Si vouloir était boire, les indigents seraient ivres continuellement.
Afficher en entierChapitre 21 page 249
Les gens ignoraient combien la nuit pouvait être noir et hostile.
Afficher en entierChapitre 21 page 236
Mon cœur avait un soubresaut douloureux, comme si on venait de l'empaler.
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