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- Mme Anna Hancock… Tu es ma meilleure amie, ma meilleure complice pour les quatre cents coups, ma raison de vivre, la seule qui compte pour moi. Et jamais je ne porterai le moindre accroc à l’amour qui m’unit à toi pour la vie.
Afficher en entier- Tu es ma meilleure amie, lui dis-je. La seule qui me comprenne vraiment et qui m’aime. Et je ferais l’impossible pour te garder. L’impossible.
Afficher en entier- Je travaillerai dur pour ce groupe, répondis-je. Je sais à présent ce que signifie le travail d’équipe et je veux en être. Je ferai ma part du job… Je le promets.
Afficher en entier– Pas si vite ! D’abord, embrasse-moi et dis-moi que tu m’aimeras toujours.
Un sourire me monta aux lèvres, et je m’agenouillai sur la couverture où elle était allongée.
– Mme Anna Hancock… Tu es ma meilleure amie, ma meilleure complice pour les quatre cents coups, ma raison de vivre, la seule qui compte pour moi. Et jamais je ne porterai le moindre accroc à l’amour qui m’unit à toi pour la vie.
Incroyable ! C’était à se cogner la tête contre les murs tant j’étais devenu nunuche, mais je pensais chaque mot que je venais de prononcer et il fallait qu’Anna le sache. Des larmes lui brouillèrent les yeux.
– Moi aussi, je t’aime … Je t’aime tant, Griff. Je ne pensais pas que je pourrais aimer un jour une personne aussi fort que toi.
Alors je me penchai et l’embrassai.
D’abord avec lenteur, puis de plus en plus intensément jusqu’à ce que mon corps revienne à la vie. Arrachant mon pantalon des mains d’Anna, je le jetai délibérément cette fois par-dessus le toit.
J’entendis trois personnes m’injurier, mais je n’y prêtai pas attention, car seule Anna comptait. Oui, elle seule avait donné un sens à ma vie, et plus jamais je ne la laisserais s’envoler du nid.
Afficher en entier– J’étais vraiment perdu sans toi, Anna, insistai-je. Faisons en sorte que ça ne se reproduise plus jamais, d’accord ? Soit on coule, soit on nage, mais nos sorts sont définitivement liés.
Anna me décocha un sourire rayonnant qui me réchauffa jusqu’aux doigts de pied.
– Ton plan me convient. Vivre et former une équipe avec toi, c’est ce que j’ai toujours voulu.
Afficher en entierEn y repensant, il était évident que j’étais tombé amoureux d’elle lors de cette soirée, mais à l’époque, j’aurais préféré me faire couper la main plutôt que l’admettre. L’amour, c’était tellement cliché pour moi, galvaudé, conventionnel. Par principe, je détestais ce mot. Aujourd’hui encore, je ne l’avais jamais pron…
Je regardai brusquement mon assiette, et j’eus un déclic : je n’avais jamais dit à Anna que je l’aimais. Elle m’en avait même fait le reproche, mais j’étais resté crispé sur mon grand principe. Pourquoi était-il si dur pour moi de prononcer ce mot ? De le lui dire à elle, à mes enfants, à ma famille, à mon groupe… Ne m’étais-je pas rebell é contre une chose… contre laquelle il était inutile que je me rebelle ? Le mot était peut-être galvaudé, mais c’était sans doute aussi le seul qui permettait d’exprimer à une personne l’importance qu’elle revêtait à nos yeux. Ne jamais le prononcer, c’était comme nier l’existence du soleil et rester enfermé toute la journée. C’était à la fois ridicule et vain. Car même si je n’avais pas voulu le reconnaître, c’était bien de l’amour que j’avais ressenti ce soir-là dans la calèche. Et pour être honnête, j’avais éprouvé ce même sentiment toutes les nuits qui avaient suivi. D’ailleurs, il ne m’avait pas quitté, sauf qu’aujourd’hui il était mêlé de douleur, car la femme de mes rêves n’était plus assise dans la carriole à mes côtés. Elle était totalement hors de portée.
Afficher en entierJe fixai le téléphone, puis m’écroulai sur le canapé. Un jour je rencontrerais le succès ? Mais je l’avais connu bien avant de faire sa connaissance… Avec le groupe… Et j’avais précisément laissé tomber les gars à cause de lui. Parce qu’il était censé m’assurer un succès plus grand encore. Et maintenant, je n’avais même pas vraiment commencé que c’était déjà fini… Avec les D-Bags aussi, ça l’était, et je n’avais pas la moindre idée de ce que j’allais devenir… La boule dans mon estomac me torturait littéralement, et je me penchai en avant, la tête entre les jambes. Aspirant de longues bouffées d’air, je m’efforçai d’accommoder ma vision, mais tout semblait tourner autour de moi. J’avais tout misé sur cette série, quitté mon nid bien chaud au sein du groupe, créé de la tension dans mon couple, jusqu’alors parfait, et tout ça, parce que je n’avais pas vraiment voulu comprendre que cette série, c’était un pari. Qui pouvait rapporter… ou non. Putain, qu’est-ce que j’allais faire, maintenant ?
Afficher en entierCes enfoirés étaient toujours en train de me critiquer, et d’attendre l’impossible de moi. Pourquoi ne pouvaient-ils pas m’accepter tel que j’étais, au lieu de toujours chercher à me modeler selon leurs bons désirs ? Les amis n’étaient-ils pas censés tolérer la personnalité propre à chacun ?
Afficher en entier« – Je commence à me sentir mal, les gars, déclara Matt alors que j’ouvrais le frigo pour prendre une bière.
M’emparant d’une canette, je me redressai.
– Juste avant la tournée ? Tu fais chier, franchement. J’espère que tu auras soulagé tes intestins avant le départ.
Matt secoua la tête.
– C’était au sens figuré. Je suis nerveux, si tu préfères. »
Extrait de: S c Stephens. « Thoughtless - tome 5 Sauvage (NEW ROMANCE) (French Edition). » iBooks.
Afficher en entier« – À quoi ça sert, toutes ces fichues marches, Kell ? m’écriai-je, changeant Gibson de hanche. Tu aurais quand même pu faire monter l’allée jusqu’au sommet de la colline, comme ça, on n’aurait pas à gravir l’Everest chaque fois qu’on vient te voir.
Kellan fronça les sourcils.
– Ce n’est pas moi qui ai construit les plans, Griff.
Je me débarrassai du sac de Gibson en le laissant tomber dans un bruit sourd sur le sol.
– Tu pourrais peut-être y apporter des aménagements, non ? C’est vrai que tu n’es pas le chanteur du groupe le plus connu du monde, avec un compte en banque sur lequel des royalties tombent chaque jour, d’un montant que la plupart des gens ne gagneront jamais en toute une vie.
Après cette tirade ironique, je fis une pause…
– Mais attends, si, tu l’es ! ajoutai-je. Alors vire-moi ce fichu escalier ! »
Extrait de: S c Stephens. « Thoughtless - tome 5 Sauvage (NEW ROMANCE) (French Edition). » iBooks.
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