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Liste des commentaires

Commentaire ajouté par kaliscrap 2017-06-06T18:02:50+02:00
Or

Après le coup de coeur de "Je me suis tue" je voulais retrouver la plume de l'auteur et je me suis plongée dans ce livre les yeux fermés.

Alors comment dire ... Encore une belle claque hein ! encore un livre remplit d'émotions en tout genre, encore une plume fluide ... bref encore un beau roman de Mathieu Menegaux !

L'histoire (tirée d'une histoire vraie) est très dure est une lettre de Daphné à sa belle mère Elise pour lui parler de sa vie, son histoire avec son fils parfait MAxime. Maxime l'homme parfait pour sa mère mais aussi pour sa femme et ses enfants ... Maxime qui laisse Daphnée s'épanouir professionnellement en gérant les filles Claire et Lucie.

Un jour Claire prononcera une phrase qui changera à tout jamais le destin de cette famille. S'en suit un engrenage infernal, une spirale psychologiquement intense et dure et les procédures judiciaires avec leurs failles ...

Ce livre m'a bouleversée, Daphné nous embarque dans son cauchemar à travers cette lettre où elle deverse sa haine et la perversité humaine auquel elle doit faire face.

Un vrai coup de poing au coeur ....

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Commentaire ajouté par Im-a-Sassenach 2017-08-02T15:12:22+02:00
Argent

Sans la merveilleuse Pauline de la chaîne Booktube Pinupapple & Books, je n'aurais jamais découvert ce roman ni cet auteur incroyable qu'est Mathieu Ménégaux donc déjà, je dis merci Pauline, t'assures ! ♥ Et deuxièmement, je me dois de remercier les éditions Grasset qui, après m'avoir donné ma chance avec la sublime et enrichissante lecture de la tresse, m'ont accordé un second service de presse avec le titre intriguant qu'est Un fils parfait. Ce roman, malgré son sujet très tabou et dur à digérer, à savoir le viol + l'inceste + la pédophilie (sympa, le combo), je m'y suis plongée la tête la première, à corps perdu. Cela m'a permis de me rendre compte de mon ignorance concernant le quotidien des personnes victimes et surtout, comment leur entourage et particulièrement la justice fait fi de leur situation : en pratiquant la négligence totale. A mes yeux d'individu sensible à la souffrance d'autrui, il me semblait évident que les membres les plus faibles de notre société, qui subissent des abus de toutes sortes, sont défendus face à leurs agresseurs, qui ont un comportement inhumain et digne du Malin. Eh bien, pauvre jeune fille naïve que j'étais, je me trompais lourdement et Mathieu Ménégaux m'a ouvert les yeux.

Certes, ce roman est fictif ; il n'empêche qu'il est basé sur des faits réels qui sont survenus dans l'entourage proche de Mathieu Ménégaux. Dans ma propre famille, de tels événements se sont produits et, rien que d'y penser, j'ai envie de vomir, j'ai honte et je me demande comment on peut survivre à ça, et pourtant... Et pourtant, il est si facile de détourner les yeux de l'horreur, passée ou présente... Daphné,_la femme qui nous livre son expérience révoltante de la lutte pour éloigner ses filles loin de leur dangereux père, confesse elle même avoir eu l'horrible tentation de ne pas croire aux dires de sa fille aînée afin de pas brusquer son quotidien parfait de maman working girl qui conjugue vie professionnelle active et mouvementée et vie de famille paisible grâce au soutien et à l'appui indispensable de son mari, qui va en abuser sans vergogne, tout comme il a abusé de sa propre progéniture, sous prétexte que c'était ainsi qu'il fallait montrer son amour à son papa (quel cauchemar...). J'ai oscillé entre indignation pour la malheureuse Claire, la pauvre choupinette de neuf ans qui a eu la force de dénoncer son paternel afin de sortir de cet enfer, et compréhension pour Daphné car honnêtement, qui a envie d'avouer que, oui, l'amour de votre vie est un beau salaud (et encore, le mot est faible) qui a commis des actes d'une atrocité sans nom sans que vous vous soyez aperçus de rien ?

N'importe qui avec un semblant d'honneur et de dignité, et de confiance en ceux qu'il aime, nierait les faits en bloc. Or, c'est bien la dignité et la confiance bafouée De Claire, en tant de femme dupée, épouse trompée et méprisée, et en tant que maman violée (la chair de sa chair a été privée du droit d'avoir son corps et sa pureté respectés, cela revient donc au même pour moi de manière symbolique) et rendue cruellement et abjectement impuissante face à cette menace, coupable aussi, la culpabilité étouffe Daphné, et on suit donc la lutte acharnée de cette dernière afin de regagner son statut d'être humain qui peut encore se regarder en face et pour protéger les siens et l'humanité au sens stricte du terme. Au fil de ses lettres rédigées à l'attention de sa belle-mère, Elise, qui vénère son fils unique qui ne l'a jamais déçue,_se dévoile une chute aux enfers dont Daphné n'aurait pu ne jamais se relever si elle n'était pas repartie à l'attaque avec la conviction qu'on aurait dû lui apporter soutien et justice pour préserver le peu d'innocence brute qu'il restait à ses filles entachées. Au fur et à mesure, la stratégie macabre de Maxime se révèle. Ce dernier a fait sombrer sa femme dans la culpabilité de n'avoir pas agi plus tôt. Mais pas seulement !

Aussi dans les décombres de son passé d'adolescente aux troubles psychologiques. J'étais de plus en plus abasourdie et effarée par la tournure réelle que prenaient les événements, par la cruauté sans fin qu'emploie ce grand méchant loup afin de sauver les meubles et que son crime ne soit jamais puni. Comme je vous l'ai dit plus haut, moi qui pensais que la voix de Daphné, mère sans défense et désespérée appelée à l'aide, serait entendue à corps et à cris par notre Justice française, je m'étais fourrée le doigt dans l'oeil et j'ai senti comme le ciel qui me tombait sur la tête. Mathieu Ménégaux m'a rappelé que la corruption,_les relations haut placées, la respectabilité de certaines personnes dans les hautes sphères de la société, empêchent aux innocents d'être entendus et de se sentir en sécurité dans le pays des Droits de l'Homme, qui ne reconnaît même pas l'inceste en tant qu'adjectif, relation incestueuse.

Oui, car ce roman, s'il se définit bien en tant que telle, histoire fictive engageant des personnages de fiction dans une trame inventée par l'auteur, il fait aussi office de roman d'information. Au fil des pages, j'ai pu apprendre beaucoup de choses, notamment concernant les lacunes dans la justice française, et cela m'a donné envie de creuser le sujet. Par exemple, comme je l'ai énoncé plus tôt, jusqu'à très récemment,_la justice française, contrairement à de nombreux pays dans le monde, ne reconnaissait pas l'inceste,_et l'une des raisons est, je cite approximativement, "que l'on ne sait pas précisément combien et quels sont les membres concernés au sein de la famille".

J'en reste les bras ballants, révoltant ! Quant on pense que quatre millions de personnes de tous les âges sont victimes de ce qui a été pendant longtemps complètement ignoré et aujourd'hui à peine mentionné en tant qu'adjectif et pas en tant que nom. Alors moi, je vais l'écrire en gros : INCESTE. Voilà. 4 millions de personnes sont victimes de viols au sein de leur propre famille et pour moi, c'est comme si on leur crachait à la figure de le renier noir sur blanc. Je vous laisse découvrir dans ce roman qui m'a définitivement marquée de façon indélébile si Daphné et ses princesses Claire et Lucie s'en sortiront face au grand méchant loup que Maxime n'aurait jamais dû devenir envers les femmes de sa vie. Sachez juste que, malgré le monde sombre prêt à nous piétiner sans vergogne dans lequel on vit, il y aura heureusement toujours des gens remplis de lumière et d'espoir qui ne laisseront pas ces crimes impunis.

Et qui auront la main tendue pour ceux dans le besoin. Ce qui découle des lettres de Daphné à sa belle-mère m'a beaucoup surprise, alors que cela semble tout à fait logique mais j'étais tellement concentrée sur la survie de Daphné et son cheminement semé d'embûches que cela m'a prise de court. J'ai l'impression que ma chronique a été faite de mots confus se succédant, et je m'en excuse si vous le ressentez comme ça, mais c'est le genre de lectures dont on ne ressort pas indemne et où on reste en apnée après avoir refermé le livre. Je suis impatiente de me procurer Je me suis tue, premier titre de l'auteur, sa plume m'a captivée et m'a rendue plus forte et je ne peux qu'avoir envie de le retrouver dans d'autres belles et suffocantes pages.

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Commentaire ajouté par Sara-Rose 2017-08-29T15:37:25+02:00
Diamant

Un terrible coup de cœur !

Après "je me suis tue" dévoré en 2 heures, je me suis jetée avec confiance sur "un fils parfait" et ne l'ai pas lâché avant la dernière ligne !

Dès les premières lignes, j'ai su que j'allais aimer cette lecture.

Ce roman tiré d'une histoire vrai est limpide, actuel, fluide et glaçant, horrible et captivant à la fois.

D'un réalisme foudroyant, c'est un récit très bien écrit, facile à lire qui est très addictif et que j'ai adoré.

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Commentaire ajouté par Jenna95 2018-03-07T17:08:51+01:00
Or

Des sujets toujours glaçants et abominables, et l'auteur s'en sort avec brillance.

Après "Je me suis tue", c'est le thème de l'inceste qui est abordé.

Un récit très réaliste, qu'il en devient d'autant plus poignant. La noirceur humaine n'a vraiment aucune limite. Et le système judiciaire français totalement absurde. Un récit aux allures de témoignage, qui est un écho à des situations qui ont dû se produire plus d'une fois, et c'est d'autant plus triste. La réaction des personnages semble tellement vrai : entre la mère qui passe par plusieurs étapes : le déni, le doute, la colère... Et le mari, pervers narcissique et manipulateur de génie qui arrive à prendre la situation en contre-pied pour la tirer à son avantage, c'est absolument angoissant.

Ce livre fait réagir, et fait réfléchir. Il nous prend aux tripes, nous met mal à l'aise. Tout commence bien : une famille heureuse, un mari parfait, une femme épanouie. Et puis soudain, les doutes, et une descente aux enfers qui nous fait nous sentir mal. Avec ce sentiment d'oppression qui ne nous lâche qu'à la fin de la lecture. On s'identifie facilement à Daphné, et on est indigné avec elle de ce qui lui arrive.

Quant à la fin, bien qu'attendue Spoiler(cliquez pour révéler)en même temps, ça serait tellement sinistre une histoire de ce genre qui se finit mal, reste appropriée malgré un dernier twist prévisible.

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Commentaire ajouté par Granny-1 2018-04-11T07:40:27+02:00
Lu aussi

Bonjour les lecteurs ...

Après " je me suis tue" ( à découvrir !!) , voici le 2° livre que je lis de cet auteur.

Daphné a une vie parfaite, un mari amoureux, deux jolies filles et un travail qui la passionne.

Une vie trop parfaite ? .... Jusqu'au jour où tout bascule en quelques minutes dans l'horreur.

Daphné va brusquement se réveiller face à la réalité et va devoir se battre et ne rien lâcher.

Petit à petit le piège se referme sur elle et un engrenage infernal s'enclenche.

On ne peut que sortir bouleversé de cette lecture.

On a envie de hurler avec Daphné, de se battre avec elle.

On ne peut éprouver que rage et dégoût face à tant d'injustice et de "non écoute" rencontrées tout a long de son parcours pour établir la vérité.

Ce livre se présente sous une forme de lettre que Daphné écrit sa belle-mère pour lui raconter sa version des faits.

Le récit est captivant et bouleversant, la lecture fluide et addictive.

Inspiré d'une histoire vraie, ce récit retrace le combat que mènent de nombreuses femmes et qui se souvent souvent démunie et impuissante face aux autorités, leurs lois obsolètes et leurs aprioris.

Un livre aussi puissant que le premier si ce n'est pas plus ...

A LIRE et auteur à suivre !

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Commentaire ajouté par Helene-111 2018-11-10T01:32:16+01:00
Or

Bonjour les lecteurs,

Premier livre que je lis de Mathieu Menegaux. Je ne connaissais pas du tout cet auteur et j'ai tout de suite été subjuguée. Mathieu Menegaux m'a touchée par ce livre que j'ai lu d'une seule traite. Par certains côtés, il me fait penser à Chanson douce de Leïla Slimani.

L'auteur parle au nom d'une femme et révèle par une lettre écrite à sa belle-mère sa version des faits.

On est pris dans ce récit et dans ce mécanisme machiavélique.

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Commentaire ajouté par benerogue 2019-05-26T15:50:32+02:00
Argent

On a à faire à une femme, Daphné à qui la vie sourit. Un mari amant, deux petite fille magnifique, et un travail important qui l’amène à faire de nombreux déplacements. Mais un soir tout s’effondre. Sa fille lui dit de ne pas la laisser, qu’elle a peur du « loup ». Le loup, un animal effrayant dans l’imaginaire des enfants. C’est celui qui s’attaque au petit chaperon rouge. Dans ce cas là, le loup c’est le père de famille. Le père qui impose à ses filles des actes sexuels pendant l’absence de leur mère. Le père c’est également le fils parfait, le fils d’Elise, cette femme et grand-mère à qui Daphné écrit cette longue lettre pour lui expliquer les actes de son monstre d’enfant. Parce qu’Elise n’y croit pas, et continu de défendre son fils coûte que coûte. C’est Daphné qui ment, qui a monté les filles contre leur père. Alors Daphné décide de tout lui raconter.

Et là on découvre l’horreur des actes d’un père. Cet homme sensé protéger ses enfants envers et contre tous et qui se révèle loup dans la bergerie. Qui se révèle également un fabuleux manipulateur. Alors Daphné décide d’agir et de saisir la justice.

Mathieu Menegaux pour ce roman a fait de nombreuses recherches sur le système judiciaire, ce qui en fait un des avantages du roman. On plonge, en même tant que l’auteur, dans l’enfer du système judiciaire, qui se retourne contre elle. Alors c’est vrai qu’elle que la narratrice n’a pas forcément entamé les bonnes procédures ; mais c’est un véritable désaveu qui se met en place contre elle. Et les rôles s’inversent. Le père monstrueux devient le parent idéal alors que la mère sauveuse est considéré comme irresponsable.

Ce roman résonne ne moi comme une claque. L’auteur s’inspire d’une histoire vraie pour mettre en avant la bataille judiciaire que livre des centaines de parents chaque année contre l’inceste : la nécessiter de prouver, de parler de l’innommable. L’écriture est simple, fluide mais percutante. Le fait de lire une lettre permet d’avoir l’impression que la narratrice nous parle, et met ses sentiments à nue. Elle nous parle de sa culpabilité de ne pas avoir été souvent là, de sa culpabilité à ne pas pouvoir les protéger, de sa culpabilité d’avoir douté de sa fille. Parce que oui, la mère a aussi des défauts. En particulier celui de na pas avoir cru sa fille, d’avoir préféré faire confiance à ce mari, si admirable, si remarquable, si parfait. Mais elle a réalisé et se décide à agir, et il n’est jamais trop tard pour ce genre de cas. Le pire c’est ce besoin qu’elle a de se justifier pour prouver que ce n’est pas elle la méchante. Elle affronte la terreur de chaque parent sur cette planète : voir son enfant abusé. Mais dans son cas, il s’agit en plus d’une personne de confiance, d’une personne qu’elle aime. A aimé. Elle doit donc se défendre, et défendre ses filles. Mais parfois, la justice n’est pas la meilleure solution …

La grande force de ce roman, à mon sens, c’est également sa fin. En effet, ce récit sinistre propose un dénouement surprenant, et percutant. Mais je n’en dirais pas plus …

https://lecariboulitteraire.wordpress.com/2019/04/19/mathieu-menegaux-un-fils-parfait/

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Commentaire ajouté par Stephanie-Arsigny 2019-06-19T17:11:04+02:00
Argent

Un livre très bien écrit je suis tout de suite rentré dedans. Le combat d’une mère pour protéger ses filles. Maman de deux enfants je me suis mis à la place de cette mère seul face à un manipulateur un livre poignant, bouleversant qui m’a touché.

Voir comment marche la justice alors qu’on est persuadé de son bon droit merci de nous montrer toutes ses failles.

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Commentaire ajouté par AlexandraD 2019-08-26T23:08:58+02:00
Or

Livre intéressant mais trop perturbant et poignant , très prenant qui soulève le problème de résolution d enquête sur des agissements incestueux sur des enfants . Combat d une femme perdue dans les rouages de la justice...Une mère prête à tout pour protéger ses enfants malgré toutes les embûches. Formidable le courage qu'il faut pour affronter tout le monde

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Commentaire ajouté par Melina83 2019-12-24T17:24:24+01:00
Or

Livre très prenant qui soulève le problème de résolution d'enquête sur des agissements incestueux sur des enfants . Combat d'une femme perdue dans les rouages de la justice...Tant de femmes sont aux prises avec ce genre d'hommes et même si la fin du roman est trop romancée pour refléter ce qui se joue dans ces situations , l'enfer des rouages de la justice, aveugle à ce type de problématiques, est magistralement bien décrite. De quoi perdre confiance en nos institutions qui ont peine à ne pas se faire manipuler par ces personnages machiavéliques et qui ajoutent, en toute bonne conscience, beaucoup de souffrance aux enfants concernés. Intéressant mais pas distrayant ..Un peu du genre chaine d'info continue , mis en fiction...Lecture assez déprimante ! Bien écrit néanmoins.

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