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Dans la longue série des couvertures ratées, qui me font un effet repoussoir, voici celle de la réédition de 2021. Les éditions J'ai Lu ont une longue carrière de couvertures bizarres, anachroniques, racoleuses et j'en passe. Celle d'un "Mari féroce" est l'exemple d'une longue liste, même s'ils s'étaient améliorés ces derniers temps. Mais comme je ne lis quasiment que des livres d'occasion...
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Sinon ce livre est toujours aussi plaisant à lire. Julie Garwood surfe sur les archétypes masculins et féminins avec virtuosité et beaucoup d'humour. Et elle ne manque jamais de pointer le statut de la femme dans l'histoire. Ici, elle explique pourquoi l'église de l'époque justifiait les souffrances de l'enfantement. De même au Moyen-âge (jusqu'à quand ?), les femmes mortes en couche étaient enterrées dans le lopin des "âmes damnées" (celles qui allaient direct en enfer).
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