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Quand on sait, on sait. On peut invoquer toutes les raisons du monde, surtout les mauvaises, se mettre des œillères pour ne pas voir l'évidence, mais en vérité, le seul choix que nous ayons est de saisir notre chance ou de la laisser filer.
Afficher en entierIl y a tellement de gens qui se ratent pour de mauvaises raisons. Quel risque y a-t-il à voler un peu de bonheur ?
Afficher en entierLa seule chose impardonnable, c'est de ne pas pardonner.
Afficher en entierJe me suis trompée tant de fois que c'en est devenu pathétique. Je me suis trompée sur ce que je pouvais encaisser, sur cette idée que nous pouvions prétendre être encore ensemble. Je me suis trompée sur la façon de reconstruire ma vie, sur ce que j'espérais de notre histoire, je me suis trompée en me sentant redevable, je me suis trompée sur nous et encore plus sur moi. Mais voilà, je ne ceux plus me tromper, plus jamais.
Afficher en entier– Comment avez-vous trouvé le courage de fuir l'Inde ?
– Tu formules mal ta question. C'est la peur qui fait fuir les gens. Le courage, c'est ce qui vous pousse à aller de l'avant, à embrasser une autre vie... le courage, c'est d'espérer.
Afficher en entier- Arrête, ça ne se fait pas !
- Qu’est-ce qui ne se fait pas ?
- De dévisager une fille comme elle.
- Une fille comme elle ?
- En fauteuil !
Afficher en entier« – Et toi, oublie ce projet inconséquent. Et puis vois le bon côté des choses : quand l'ascenseur aura été modernisé nous pourrons enfin sortir le soir comme bon nous semble.
– Tu as certainement raison, dit-elle d'une voix calme.
– La raison est mon métier, répondit Julius, l'air affable.
Il lui promit de l'appeler dans la soirée, ils pourraient même dîner en tête à tête, par écrans interposés. Il l'embrassa furtivement, à cause des étudiants qui circulaient dans le couloir, et repartit vers sa salle de classe.
Chloé longea Washington Square Park par la 4e Rue. Elle était déçue, et contrairement à ce qu'elle avait laissé croire à Julius elle n'avait absolument pas renoncé à son projet... »
Afficher en entierLes halls témoignent de l'histoire d'un immeuble, de celles des occupants, de cet étrange voisinage des gens qui se connaissent à peine. Les grands moments de leur vies parcourent les cages d'escaliers. .. mais les épais murs des demeures bourgeoises ne laissent rien filtrer de leur intimité.
Afficher en entier- J'en ai assez de me retourner dans ce lit, lève-toi, il faut qu'on parle. Je vais nous préparer un thé.
Deepak se demanda si sa femme n'était pas en train de perdre la boule.
- Il est 4 heures du matin et je n'ai aucune envie d'un thé, protesta-t-il. Je sais depuis longtemps que tu es une femme exceptionnelle. Je te serais éternellement reconnaissant d'avoir fait de moi ton mari. Maintenant que c'est dit, puis-je finir ma nuit, pour le peu qu'il en reste ?
- Pas question, tu vas m'écouter, j'ai trouvé la solutions à nos problèmes.
- Tu ne vas pas recommencer avec ton projet saugrenu de devenir lifitière de nuit ?
- Moi non, mais je sais qui pourrait remplacer M. Rivera.
Deepak se pencha pour regarder sous le lit, souleva son oreiller, alla tirer les rideaux avant de les refermer.
- Qu'est-ce que tu fabriques ? Questionna Lali.
- Eh bien puisque tu as trouvé notre sauveur en te retournant dans notre lit, c'est qu'il ne doit pas être très loin, alors je cherche.
Afficher en entier- Arrête, ça ne se fait pas !
- Qu’est-ce qui ne se fait pas ?
- De dévisager une fille comme elle.
- Une fille comme elle ?
- En fauteuil !
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