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LE livre qui me fait encore rêver...Une histoire d'amour comme on aime croire très fort qu'il en existe!

J'ai adoré ce livre que j'ai lu pour la première fois en tant qu'ado. Je l'ai relus par la suite et je l'ai aimé tout autant. J'aime beaucoup les histoires dans le temps. À lire.

Très belle histoire d'amour qui fait rêver ! C'est génial de voyager d'un temps à l'autre avec les personnages. Il y a beaucoup de scènes très drôles et j'ai été très émue par la fin.

Un roman plaisant à lire, mais un peu naïf.

Celui-ci nous fait vraiment voyager dans le temps.

D'abord en 1988 où se passe la première partie et qui apportera sa dose de nostalgie aux personnes nées vers ces années-là (comme moi).

Puis en 1560 dans la deuxième partie, en pleine Renaissance.

Et c'est là que l'autrice s'est un petit peu mélangée les pinceaux, puisqu'elle situe l'action à la Renaissance mais parle d'époque médiévale (donc le Moyen-Age)...

D'ailleurs, si Jude Deveraux présente certaines choses positives de l'époque (car tout n'était pas négatif quand même), son héroïne vit clairement dans un milieu totalement protégé pour l'époque et surtout ne se retrouve pas confrontée à beaucoup d'obstacles, ce qui est en fait le propre de l'entier du bouquin, le couple s'en sort toujours hyper bien dans toutes les situations (avec beaucoup d'argent tombé à pic aux bons moments, quelle chance !).

Concernant les personnages, je les ai trouvés sympathiques, même si Dougless était un peu trop pleurnicheuse par moments (et que fiche-t-elle avec un mec aussi con qui la traite si mal ?!?) et Nicholas un peu trop buté à d'autres.

Sinon, leur histoire d'amour est très belle et j'ai apprécié que Nicholas traite toujours bien Dougless, malgré qu'il vienne d'une époque où le statut des femmes est très inférieur à celui des hommes.

Mais... je ne suis pas pleinement satisfaite de la fin, j'ai trouvé ça trop "pratique et facile". Spoiler(cliquez pour révéler)Et ça fait de plus de Dougless un vrai coeur d'artichaut, qui passe de Robert à Nicholas en quelques jours, puis instantanément au nouveau à la fin (même si ce sont des âmes qui se sont reconnues).

Au final, j'ai passé un bon moment mais il ne me restera pas plus que ça en mémoire.

Ca ferait un bon film familial, typique des années 90 par contre.

PS : il y a un bug avec le résumé, qui nomme l'héroïne Marian alors qu'elle s'appelle Dougless.

un bon livre a l'eau de rose

Deux mondes parallèles que Jude Deveraux nous fait partager sont très bien décrit. Un amour séparé par le temps et l'espace...

Un livre extraordinaire ! Le premier que je lis de cette collection qui soit fantastique. Un pari risqué, car il est difficile de ne pas perdre en cohérence dans les méandres du temps, cependant l'auteur réussit avec brio ce pari. J'ai vraiment cru jusqu'à la fin qu'ils finiraient séparés pour de vrai, mais bon dans cette collection tout est toujours bien qui fini bien. Ouuf.

Il y a aussi beaucoup de comique, de situation souvent, du fait que chacun des protagonistes se retrouve catapulté dans une époque à laquelle il n'appartient pas.

vraiment un superbe livre........ rien d'autre a rajoute juste parfait ,exquis, splendide.

http://leslecturesdeveralice.blogspot.com

Mince alors ! C'est peu de dire que je suis triste de n'avoir pas apprécié plus que ça ce roman, qui a l'air d'avoir plu à une grande majorité. Je m'attendais à autre chose, je pense, un roman peut-être plus maîtrisé, et, comment dire, un roman à la fois plus profond et plus dramatique.

En fait, les changements de tons permanents m'ont beaucoup gênée, jusqu'à la fin. Impossible de m'investir, impossible d'y croire ou de me sentir, moi aussi, transportée dans un autre espace-temps. Que l'auteur joue la carte de l'humour, soit, mais autant la jouer à fond et pas dans cette espèce d'écriture en demi-teinte qui ne sait pas trop sur quel pied danser.

Pour tout dire, durant les cent premières pages, j'avais l'impression qu'une pas très fute-fute un rien bécasse (comment peut-on craquer pour un aussi sombre crétin que ce Robert?) jeune femme maternait un grand ado mal grandi, ce chevalier groggy qui lui tombe dessus sans tambour ni trompette : elle lui offre des glaces, lui raconte des histoires le soir en lui papouillant les cheveux, l'emmène chez le dentiste, ou le calme avec des jeux vidéos : Douglass la mère-poule.

Quant au héros, le côté ébaubi-grand-benêt m'a, soit, un peu charmée, mais au bout d'un moment, je me suis aperçue que non, décidément, la mayonnaise ne prenait pas. Bon, disons, que là, on jouait sur le terrain de la farce, avec les objets-magiques, les gentils, les méchants, et les sots. D'accord, c'est sympa, le décalage qui prête à rire ou à sourire, mais à mon avis ça ne fait pas une romance...

-> La suite sur mon blog si le cœur vous en dit...

Je pense l'avoir lu au moins une demi douzaine de fois et chaque fois je suis triste de le terminer.