Appelez-moi Jimmy, Tome 2 : La Vie sur un fil
Auteur
- Maryse Tomczak-Hogard (Écrivain)
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extrait
Prologue
A travers le premier tome "L'enfant des solitudes", l'auteur invite à suivre le chemin tortueux de Jimmy, un gamin de cinq ans. Troisième d'une fratrie de cinq, le jeune héros, timide et solitaire, nous entraîne dans les années cinquante. Époque où la parole de l'enfant n'est pas entendue et où il est difficile d'imprimer sa différence sous le toit d'une famille nombreuse. Pour pallier les défaillances d'une mère débordée, l'enfant de la cité usinière est confié à la Titine, sa grand-mère maternelle. L'enfant de la ville découvre alors les us et coutumes du petit village lorrain sous la protection d'une grand-mère aimante, mais aussi très à cheval sur les principes !
Jimmy a grandi ! À travers "La vie sur un fil", l'auteure convie à gravir les marches de l'escalier qui mène le gamin de douze ans du pensionnat à la réalisation de son rêve.
Un rêve fragile dans le monde étroit de la télévision, dans les années 70.
Afficher en entierCommentaires récents
Un livre réservé aux personnes d'un certain âge. L'écriture comme l'histoire est assez vieillot. Sinon, je n'ai rien à reprocher à ce roman bien conçu, au style impeccable.
Ce n'est tout simplement pas mon genre de lecture habituel. Je le conseille néanmoins à ceux qui apprécient ce genre de littérature classique.
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Résumé
S'exposer sur les écrans de télévision est-il un remède pour guérir de la timidité ? La passion suffit-elle pour surmonter le handicap ?
Jimmy y croit suffisamment fort pour imposer un choix de vie qui sort du schéma tout tracé par les modestes parents d'une famille nombreuse ! "... Je n'avais pas tué, je n'avais pas volé, pourtant j'étais sur le banc des accusés. Si crime je devais commettre, ce serait de tuer l'espérance qui est mienne depuis que j'ai ressenti les effets fulgurants de la passion. Je ne suis pas mon tueur. Ni suicidaire au point de me sacrifier sur l'autel de la grande messe familiale pour respecter cette sorte de déontologie familiale qui me semble surannée..."
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