Akiko Higashimura
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Quelques chiffres
Note moyenne : 8.05/10Nombre d'évaluations : 583
0 Citations 259 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Globalement c’est une bonne série mais pour une fiction historique je suis un peu déçue, l’aspect historique est noyé et j’ai eu du mal à rester attachée au personnage principal dans les derniers volumes.
Afficher en entierUn grand final pour une femme d'exception
Afficher en entierJ'ai d'abord été séduite par les dessins d'Akiko Higashimura, aussi connue pour Princess Jellyfish. Les dessins sont magnifiques ; les traits fins et élégants, mais aussi expressifs. Ils accompagnent merveilleusement bien le récit qui peut s'avérer complexe.
La mangaka s'attaque à la théorie selon laquelle le célèbre et puissant guerrier de guerre japonais Kenshin Uesugi aurait été une femme. Tout est documenté, argumenté et si la densité des informations peut paraître difficile à digérer, l'autrice propose des explications simplifiées et saupoudrées d'humour qui permettent d'alléger le récit. Ainsi, chaque lecteur peut choisir ce qu'il préfère et profiter pleinement de l'intrigue. On assiste aussi bien à des scènes du quotidien que des scènes de guerre et de stratégie militaire : on a un bel équilibre qui profite également au côté moderne et féministe du récit.
J'ai été happée par l'histoire de Tora, les dessins et la construction de la narration. J'ai appris plein de choses durant ma lecture. Il me tarde de lire la suite.
Afficher en entierUn deuxième tome avec un rythme différent, plus de place à l'enquête et à l'énigme Mary Magdalena.
Le duo de choc est toujours aussi agréable et divertissant à suivre !
Afficher en entierALORS ce volume est tres original déja il est historique et ça c'est cool ensuite il prends un parti pris tres bien expliqué ! et n'est pas non plus trop dense avec trop de détails inutile il est fort agréable et tres fluide !
mais alors pourquoi ne pas l'avoir mis plus haut? car j'ai horreur du personnage principal ! kenshin !! et oui elle est détestable avec son frêre (celui de faible constitution) car elle EST SI forte et est la réincarnation de bishamonten OUUUh mais celon moi et bien ce n'est pas une raison de mal se comporté TOUT LE TEMPS
Afficher en entierTrois trentenaires célibataires amusantes et décalées qui se retrouvent régulièrement autour d'un verre d'alcool pour se raconter leurs déboires et se plaindre. Enfin, ceci jusqu'à ce qu'un jeune modèle vienne donner un coup de pied dans la fourmilière… !
Tokyo Tarareba Girls c'est un titre qui fait du bien, une tranche de vie qui change de ce qu'on a l'habitude de voir. Un manga incisif, sarcastique et très réaliste.
En suivant ces femmes dans leur quotidien, on est plongé dans une critique de la société dans laquelle la femme doit se caser avant un certain âge sinon il est trop tard. L'horloge tourne inlassablement, et le manga souligne avec ironie qu'il n'y a pas de place pour les excuses du type « y a qu'à, faut qu'on ». Tic tac tic tac.
Je me suis tout de suite identifiée à ces filles et j'ai été touchée en plein cœur.
Elles nous montrent aussi la solitude que peuvent ressentir les femmes qui ne cherchent pas forcément l'homme idéal, mais plutôt à ne plus être seules, quitte à faire des choix douteux.
Les personnages ne sont pas lisses, douces, gentilles et pailletées, on les découvre sous leurs pires jours (rarement dans le cliché stéréotypé féminin et délicat) les rendant tellement plus humaines.
J'adore retrouver les personnages tout au long des tomes que je déguste avec délice et frustration à chaque fois que j'en termine un. Même les dernières pages bonus où l'autrice se confie et raconte des anecdotes, mais aussi avec l'ouverture d'un faux courrier des cœurs, sont drôles et intéressantes.
Je conseille très très très vivement Tokyo Tarareba Girls. Merci à Akiko Higashimura et au Lézard Noir pour cette pépite.
Afficher en entierJ’avais fait une expérience malheureuse avec un manga il y a 2 ans et, dire que je trainais des pieds pour valider cette catégorie d’un challenge de lecture est un euphémisme. Dans ce manga, le postulat de départ est intéressant (l’un des plus grands chefs de guerre du Japon médiéval serait en fait une femme) et les graphismes assez beaux. L’histoire proposée se lit sans déplaisir si ce n’est quelques passages un peu niais. Je me laisserai presque convaincre de lire la suite !
Afficher en entierLe côté historique m'a beaucoup ennuyé surtout avec tous les noms Japonais qui sont très difficiles à assimiler. En dehors de ça l'histoire de la jeune fille est assez intéressante mais ça ne m'a pas non plus passionné. Les dessins sont captivants et gracieux, ils donnent beaucoup de caractère aux actions et aux personnages.
Afficher en entierune grosse déception que ce manga. en lisant le pitch je pensais lire une histoire inspirante et épique, mais ce n'a pas été les cas. outre les dessins, beaux pour les décors mais moins pour les personnages, l'histoire a été très crispante à lire. le père est odieux, la mère pleurnicharde et inutile, le frère sympa mais trop soumis et effacé, mais alors l'héroïne, c'est le pompon: elle est imbue d'elle-même au dernier degré, agressive, impolie, bref détestable en tous points. en conclusion je vais tenter de revendre ce tome au plus tôt et oublier cette amère déception
Afficher en entierDrôle et plein de mal entendus, cette série est vraiment très sympa à lire.
On se régale des galères de Shôko, qu'elle enchaîne vraiment de manière maladroite. Mais à force de jouer avec le feu, c'est l'amour qu'elle finit par trouver.
La petite tranche de vie romantique est très sympa à suivre, et le format est agréable à lire. D'ailleurs ça fait très plaisir de suivre l'autrice dans ses nouvelles aventures livresques.
Alors oui, par contre, c'est 19€/tome, ce qui est un gros budget, mais ce sont des tomes couleur (vu que c'est un webtoon à la base), et surtout ce sont des tomes doubles, donc on finit par s'y retrouver.
Afficher en entierOn parle de Akiko Higashimura ici :
2020-02-20T22:28:01+01:00
Les gens aiment aussi
Dédicaces de Akiko Higashimura
et autres évènements
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Editeurs
Le Lézard noir : 34 livres
Kodansha : 33 livres
Delcourt : 22 livres
Shûeisha : 19 livres
Akata : 18 livres
Bungeishunju : 7 livres
Delcourt / Tonkam : 6 livres
Shogakukan : 2 livres
Biographie
Née le 15 octobre 1975, dans la préfecture de Miyazaki.
C’est en 1999 qu’Akiko Higashimura fait ses débuts dans le numéro spécial « Nouvelle Année » du magazine Bouquet (l’ancêtre du magazine Cookie !!), avec une histoire courte intitulée « Fruits Koumori ». Elle monte sur Tokyo, afin de continuer sa carrière de mangaka. Elle n’a alors que 23 ans.
Il ne faudra que très peu de temps pour qu’elle se fasse remarquer. En 2000, elle dessine une histoire courte, dans les pages de Cookie : « Kisekae Yuka-chan ». Plébiscitée par les lecteurs, cette nouvelle devient alors une série, dans les pages du même magazine. Le succès est rapide, d’autant que Shoko-tan, une idole particulièrement en vogue au Japon, soutient activement la série sur son blog !
En 2004, Akiko Higashimura va faire la une de la presse, d’une manière plutôt surprenante : elle épouse IKKAN, véritable célébrité au Japon (acteur, doubleur, comédien comique, présentateur..). Un an plus tard, de leur union, naît un adorable petit garçon : Goku. Mais les problèmes ne tardent pas à venir, et c’est finalement en 2008 que le couple divorce.
Désormais mère célibataire, la jeune femme décide de redoubler d’efforts pour subvenir aux moyens de son fils ! Heureusement qu’entre temps, elle avait travaillé d’arrache pied, en imaginant deux séries : 1/ « Himawari, Kenichi Legend » (dans Morning de Kodansha) très largement inspiré de sa propre vie, et qui raconte les aventures d’une jeune femme, juste à la fin de ses études. 2/« Mama ha tenparist » (« Ma mère travaille à mi-temps »), dans les pages de Chorus de Shueisha, et qui raconte l’histoire d’une jeune mère célibataire !
En 2009, elle lance ensuite Princess Jellyfish dans les pages de Kiss (Nodame Cantabile, Kimi wa pet...). La consécration ne tarde pas à venir, puisque ce manga reçoit dès 2010 le prix de « Meilleur Shôjo » de l’année, et bénéficie quelques mois après d’une adaptation en anime, par le studio Brain’s Base.
Peu de temps après la fin de « Himawari, Kenichi Legend », elle enchaîne – toujours dans les pages de Morning, et en parallèle de la publication de Princess Jellyfish et « Mama ha Tenparist » - avec une nouvelle série : « Omo ni naitemasu », qui seulement après deux volumes sortis est déjà nominée pour le grand prix culturel Taisho 2011...
Son site officiel :
http://www.higashimurapro.com/
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