Amy Jarecki

Cette saga est vraiment représentative des montagnes russes, on ne sait jamais à quoi s’attendre à chaque nouveau tome.

Pour celui-ci j’ai passé un bon moment, pas extraordinaire car j’avais une bin partie du schéma narratif qui faisait écho au tome précédent mais disons que les personnages prennent le dessus sur cette « simplicité » n’arrosai que.

J’aimerai bien en revanche que les personnages puissent montrer leur souffrance parce que oui quand t’as le bras cassé ça fait mal et t’as le droit de pleurer sapristi.

J’étais dès le départ mal parti pour apprécier cette histoire puisque la romance ce base sur lui homme veuf depuis 3 ans. Au final ce qui m’a le plus dérangé c’est les 16 ans d’écart entre les deux personnages et qui m’a freiné tout le reste de ma lecture.

Autrement il se passe des choses oui mais en même temps c’est à ce demandé si c’était si difficile puisqu’ils passent les obstacles sans soucis à chaque fois. Et clairement John qui passe son temps à comparer sa vie avec Margharet à celle avec Evelyn me fait grincer des dents.

Alors, voici le deuxième livre que je lis d’Amy Jarecki. Et pour ceux qui s’en souviennent, je m’étais plainte de la traduction du premier (S’aimer en dépit de tout) que j’ai lu. Ou plutôt, je m’étais plainte du style mais je me demandais si ce n’était pas plus à cause d’une mauvaise traduction que du vrai style de l’écrivaine. Et je confirme donc que la traduction du précédent livre était mauvaise car celle-ci était très correcte. Toutefois le style d’Amy Jarecki n’est pas celui que je préfère, mais franchement c’était beaucoup plus agréable à lire !

Ça ne sera pas un coup de cœur mais j’ai passé un très bon moment de lecture. L’histoire était mignonne avec des personnages principaux déterminés et sexy. Le héros m’a un peu fatiguée par moments mais bon, ses doutes et sa colère concernant l’héroïne restaient compréhensibles.

J’ai bien aimé le fait que l’héroïne soit intelligente, elle fait des erreurs mais sait les admettre.

Il y a beaucoup de rebondissements, c’était agréable à suivre.

Une bonne petite lecture détente !

Alors je suis un peu mitigée sur cette lecture. J’ai apprécié sans plus. Surtout à cause du style mais… je me demande si le problème ne vient pas plus de la traduction que du style original de l’auteur. J’ai trouvé le tout un peu « ampoulé » si j’ose dire par moments, un peu « trop » - et paradoxalement, parfois un peu cru. Et puis il y a pas mal de dialogues qui ne m’ont pas paru très naturels.

La palme revient cependant au « Prends-moi comme un étalon ! » exclamé en pleine scène sensuelle qui m’a totalement sortie du truc et m’a fait franchement éclater de rire… qui dit ça ?! Y en a qui disent ça ?? Pour de vrai ???

Pour en revenir à l’histoire, je l’ai trouvée mignonne mais pas inoubliable. Les héros sont sympas mais j’avoue ne pas m’être trop identifiée à eux. Je suis restée assez extérieure à cette histoire en fait et je ne pourrais pas dire exactement pourquoi, c’est très subjectif.

Pas trop aimé l’usage et « abusage » des termes « faible femme » pour désigner l’héroïne. Même dans un monde de machos, j’ai du mal à imaginer qu’on puisse autant l’utiliser et je n’avais franchement pas envie d’entendre le héros le dire.

Mais bon, y a des moments vraiment sympas ! J’ai particulièrement apprécié toute la course poursuite avec toutes les péripéties que cela a entraîné. Et la fin est mignonne.

Ça reste une lecture détente agréable, mais pas sûre de me laisser tenter par d’autres livres de cette auteure… à moins que je teste en anglais.

J'ai eu beaucoup de mal avec le personnage masculin, George... Pas la meilleure romance historique.

Une finira cette saga sur une note de «  bof ». Ce tome est vraiment d’une simplicité étonnante. La romance est mièvre à souhait, le gars il survit à tout et n’importe quoi et c’est limite si une bombe devait exploser dans ses mains il y survivrait. Vraiment crédibilité zéro.

Immense déception pour cette romance historique !

Prenant pour cadre l’Écosse du début du XVIIIe, le fils du laird Cameron est attaqué avec son bateau par des pirates lors de son retour sur ses terres, et échoue sur une île isolée où vit une jeune fille, seule survivante d’une famille de fermiers d’un clan rival et exilée à cause de la variole. S’en suivra une aventure qui les mènera au château ancestral des Cameron, jusqu’aux Caraïbes, avant de retrouver l’Écosse.

Le premier très gros défaut de ce roman est que l’auteure s’est assise sur le poids des classes sociales à l’époque : elle commence par les prendre en compte en plaçant l’héroïne dans une position de domestique au château, pour finir par tout jeter aux orties. D’habitude, les romances historiques se basent sur la réalité même s’il arrive que la vraisemblance soit malmenée, mais ici nous avons la pauvre bergère et le riche prince charmant. Ben voyons. Comme si ça pouvait arriver au XVIIIe siècle. Ça nous donne des dialogues où la candeur de la jeune fille confine à la stupidité et où la gentillesse du noble évoque un dessin animé de Walt Disney.

Le second très gros défaut de ce roman est que l’auteure ne sait pas raconter une histoire ; plus on avance dans le récit, plus le manque de talent dans ce domaine est flagrant. Aucune narration digne de ce nom. Une bataille sur les flots ? Deux phrases. Une rixe ? Une phrase. Une grande scène d’amour ? Ah, trois phrases, quand même ! Les événements ne sont pas racontés en détail ou montrés, et j’ai été très frustrée lors de la lecture.

Bien évidemment, je ne lirai pas les autres romans de la (longue) série.

Ce que je rechercher dans ce genre de livre c'est de passer un bon moment. Et c'est exactement ce qui s'est passé pour moi avec ce livre. Il fut très rafraîchissant !

A part quelques scènes « erotiques », on s’ennuie on ´s’ennuie mais qu’est-ce qu’on s’ennuiiiiiiiieeeee. Et quand on ne s’ennuie pas, c’est pour lire et relire et re re lire les mêmes choses que dans le chapitre précédent…. Et à nouveau, on s’ennuie et on s’ennuie à tel point que même le commentaire qu’on fait de ce livre est lui aussi ennuyeux et ennuyeux et ennuyeux 😴

Des les premières pages, on sait déjà comment le livre va finir. Trop mielleux.

Déception