Ivan Sergueïevitch Tourgueniev

N'étant pas une grande fan de romance, je redoutais un peu cette nouvelle. J'avais pourtant envie de découvrir la plume de Tourgueniev, cet auteur incontournable de la littérature russe. Malheureusement, l'histoire ne m'a pas convaincue. Je me suis un peu ennuyée, il ne se passe rien d'autre qu'un amour naissant, et c'était loin d'être passionnant pour moi. De plus, je ne sais pas pourquoi mais la relation entre les personnages m'a beaucoup dérangée.

J'ai trouvé la plume de l'auteur assez compliquée et j'ai dû arrêter ma lecture de la version russe parce que j'avais beaucoup de mal à m'y faire. Je relirai sans doute d'autres oeuvres de l'auteur pour me faire une idée plus globale du style de l'auteur. Je reste pour l'instant sur une déception.

Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages non plus que je n'ai pas trouvé assez profonds. C'est dommage, il a manqué quelque chose à ce livre pour que les personnages m'emportent dans leur histoire.

Ce fut mon premier grand classique de la littérature russe. Un véritable coup de foudre livresque, qui me fit rapidement adorer la Russie du XIXème siècle et abhorrer celle de 1917 jusqu'à ce jour.

J'adore lire, vraiment, mais l'histoire est trop longue.

Enfin, c'est une nouvelle, donc c'est cours, forcément.

Mais j'ai mis longtemps à le lire, l'histoire n'est pas très accrocheuse, pour moi.

Fantômes est une nouvelle gothique.

Toutes les nuits, une jeune femme emmène le narrateur dans les airs, là où il le souhaite. Elle l'aime, il croit la connaître. La peur ressentie au début s'estompera et fera place au besoin de la voir mais sa place n'est pas de ce monde.

Une histoire fantastique, romanesque avec de jolies descriptions. Une fin mystérieuse et mystique.

Ivan Sergueïevitch Tourgueniev sait charmer et intriguer ses lecteurs avec un style fluide et agréable, une courte nouvelle qui donne envie de lire d'autres textes.

Fan de littérature Russe depuis la fac après avoir pris une option j'ai trouvé cette nouvelle assez décevante.

Tout est prévisible, Zinaïda est égoïste et m'a énormément fait penser à Estella de Dickens dans "Les grandes Espérances" et la fin est arrivé tellement rapidement qu'il a fallu que j'aille vérifier si l'histoire se termine réellement comme ça !

Lu lycéenne. J'avoue une grosse lacune dans ma connaissance de la littérature russe, mais j'avais assez bien aimé Premier amour, précisément.

Nous sommes en plein coeur du romantisme, au XIXème siècle, avec son lot de sentiments exacerbés, d'amours déçus, d'intrigues aventureuses, de personnages solaires, mais aussi de figures souvent tourmentées par les affres de la passion !

(niveau 2nde)

Des classiques, j'en ai dans ma pile à lire... Des qui me tentent, et vers lesquels je ne me tourne pourtant que rarement, car je trouve toujours une lecture plus attrayante... Mais là je me suis dit, c'est une nouvelle de 90 pages, ça se lira vite, vas-y, sors de ta zone de confort !

... Bon, si je puis me permettre l'expression, c'était pas ouf.

Loin de moi l'idée de critiquer des classiques, ç'a été écrit à une autre époque, pour un autre public. Et honnêtement, l'auteur avait de bonnes idées. Le héros est en pleine transition entre l'adolescence et l'âge adulte, son rapport à ses parents était vraiment intéressant. Et il y a un côté très "lyrique" dans la description de la nature, de la langueur amoureuse, etc.

Mais le cœur de ce récit, c'est la passion du héros pour Zinaïda, sa nouvelle voisine : une jeune femme parfaitement abjecte qui a tous les hommes à ses pieds. Ils n'ont tellement pas de personnalité que je les confondais tous...

Même si c'est une nouvelle, les scènes sont assez redondantes. Je ne suis même pas sûre d'avoir tout compris. On est face à des nobles et bourgeois qui ne font pas grand-chose de leur vie à part leurs petites soirées mondaines. Une histoire pas vite lue, mais vite oubliée.

Bref, je ne le conseille pas trop pour les personnages ou le scénario. Mais c'était franchement intéressant du point de vue de la plume de l'auteur et de la découverte de la littérature russe, et au fond, je n'en recherchais pas plus dans cette lecture !

L’histoire n’est pas très intéressante en elle-même mais elle reste facile à lire. En fait je ne comprends pas quel est l’interêt du bouquin, enfin bon. (J’ai du lire ce livre pour le lycée)

Assez banal en apparence mais j'ai été complètement happée par l'histoire et je l'ai fini d'une trait (il faut dire que c'est très court), la littérature russe a une telle patte... c'est vraiment agréable à lire.

Plus qu'une amourette estivale languie et morose, c'est d'une leçon de vie dont il est question, et je n'exagère pas, les dernières lignes sont bien assez explicites comme cela..

J'ai lu ce livre quelques semaines avant mon bac, afin d'élargir mes connaissances sur le modèle économique et social russe pour mon Grand Oral ; j'en suis sortie certes un peu plus instruite, mais surtout bien trop bouleversée.

« Premier Amour » le simple titre de cette œuvre évoque la nostalgie, et l'insouciance de la jeunesse, où amour est synonyme de douleur, de transport et de déconvenues. L'amour noble du XIXème siècle dans toute sa splendeur, avec son lot de paradoxalité et de complexité. Un père trop jeune qui ne porte qu'une « tendre indifférence à son fils », et l'épineuse Zinaïda dont la beauté n'a d'égale que son intransigeance. Même les dernières lignes ne nous laissent pas de répit, et ne nous permettent pas de fermer ce livre sans regrets, rêveries, la tête dans les nuages et l'esprit ailleurs. Les derniers mots du père raisonnent encore en moi. Alors c'est ainsi, tout ne pouvait se finir autrement, finalement..? comme quoi l'amour est universel, incontrôlable et incontrôlé, irraisonnable et irraisonné.. et pourtant, ce n'est pas un tableau désagréable et rebutant que Tourgueniev a dressé, mais un tableau plein de délicatesse et d'espoir pour ma part, et c'est à chaque fois avec plaisir que je constate que ce livre plaît toujours autant autour de moi. Quelle belle œuvre, et ce Tourgueniev, quel romantique poète..!