Fabiola Chenet

Ce roman est court mais à certain moment il devient long, j'ai eu du mal à adhérer pourtant l'histoire semblait prometteuse... je ne suis pas déçue mais je ne suis pas emballée non plus. Les personnages semblent ambivalent et il manque peut-être un peu de profondeur dans les émotions et une progression dans les sentiments.

http://www.gamesofbooks.com/2020/04/03/menaces-nocturnes-fabiola-chenet/

Je n’avais encore jamais eu l’occasion de découvrir la plume de l’auteure et c’est maintenant chose faite avec Menaces Nocturnes.

On fait donc connaissance avec les habitants de la ville de Kalmy, mais principalement avec Michael, un policier qui travaille sur une enquête importante, sa petite sœur Nathalie qui vient d’entrer à l’université ou encore une camarade de cette dernière prénommée Akemi.

On découvre à la fois une partie de l’histoire avec ce qui peut se passer habituellement entre jeunes étudiants, mais aussi plein de rebondissements qui m’ont tenue en haleine jusqu’à la fin !

Malgré quelques longueurs au début, j’ai réussi à entrer dans l’histoire et je dois reconnaître que le suspense était au rendez-vous pendant la seconde moitié du roman !

J’ai passé un bon moment avec cette lecture et j’espère avoir l’occasion de relire Fabiola Chenet avec d’autres romans ! ♥

Entonnement, la couverture m’a attiré avant même de lire le résumé.

Nous étions en message privé pour tout autre chose avec Fabiola Chenet. Elle m’a demandé si je voulais voir sa nouvelle couverture et là j’avoue cette ninja m’a fait de l’œil sur cette couverture noir et blanc.

Et le titre « Menaces nocturnes » me promettaient du suspens.

Du coup, elle m’a laissé lire le résumé et j’avoue de le lire à la façon petite annonce de voyage/mariage ça m’a fait sourire et me dire « Oh ! Oh ! le pire ».

Et je la remercie énormément pour ce S.P., cette lecture m’a littéralement transporté à Kalmy...

https://hearthaneasbook.wordpress.com/2020/07/06/menaces-nocturnes/

Assez déçue par ce premier tome, j'en attendais mieux au vu du résumé.

Je n'ai pas trop aimé l'écriture, je la trouvais assez basique et parfois incohérente (et ce n'est pas un problème de traduction vu que l'autrice est de langue française).

Alexandra ne sait pas ce qu'elle veut et change d'avis sans arrêt, en plus d'être beaucoup trop naïve et sensible au charme du héros. Elle prend de bonne résolutions, tout ça pour faire exactement le contraire cinq minutes après.

Quant à Edouard, je l'ai trouvé arrogant, assez égoïste et avec peu de scrupules. Le truc d'oublier une femme avec qui il a couché et a commencé à éprouver quelque chose juste parce qu'il l'a décidé, et ce en deux jours à peine, c'était vraiment n'importe quoi. Et lorsqu'il veut quelque chose ou quelqu'un, il se sert et ensuite le/la jette comme une veille chaussette quand ça lui chante (Alexandra mais aussi Vivian notamment).

Je trouve par contre le sort réservé à Vivian un peu trop gentillet par rapport à ses actes (très graves).

Je vais tout de même tenter la suite parce que tout n'était pas déplaisant dans ce roman.

Encore plus déçue de ce second "tome" qui n'en est pas vraiment un, c'est une nouvelle d'environ 60 pages.

Du coup, moi qui m'attendais à ce que Lydia fasse galèrer Georges après le coup qu'il lui a fait, j'en ai eu pour mes frais.

Tout se règle en cinq minutes avec quelques belles paroles, quelle déception.

Sans intérêt.

Je vais tout de même finir cette série, voir ce qui est arrivé à Vivian.

Ce dernier tome est au même niveau que les deux autres.

L'histoire de Vivian est finalement touchante et on est content qu'elle ait eu droit à une deuxième chance.

J'ai eu plus de peine avec Pierre, que je trouvais trop impulsif. Il se permet deux fois d'être vraiment très violent verbalement et mentalement avec l'héroïne, tout cela basé sur ses seuls préjugés, et elle lui pardonne beaucoup trop facilement à mon goût.

Il y a aussi énormément de naïveté sur les moeurs et acceptations de l'époque, c'était plutôt irréaliste.

Au final, une série passable, mais je ne la recommanderais personnellement pas, il y a bien mieux à lire dans les romances historiques se passant à cette époque.

Ce livre commence très bien. J'ai bien aimé les personnages principaux que sont Kate et John. J'avais même réussi à passer outre le fait que je trouvais la promesse de John à Arthur très stupide. (Je trouve même qu'Arthur est égoïste et immature de lui demander une telle chose mais bon...)

J'ai commencé à m'ennuyer au milieu et la fin...

Je ne m'y attendais vraiment pas et je n'ai pas apprécié

Spoiler(cliquez pour révéler)que l'auteur fasse de Charlotte une psychopathe.

J'aurais encore plus aimé ce livre avec une fin différente.

Spoiler(cliquez pour révéler)C'est d'ailleurs horrible pour Arthur. Une épouse dans un asile. Il ne peut pas divorcer et ne pourra pas se remarier.

Je le mets quand même en bronze car j'ai bien aimé la personnalité de Kate même si tout ce qu'elle arrive à accomplir est un peu tiré par les cheveux.

J’adore les romances historiques et ce résumé me tentait énormément.

Sans parler de cette couverture qui est vraiment très jolie. La nouvelle charte des éditions Diva Romance pour leurs différentes collections est vraiment un succès ! L’histoire commence doucement, avec des chapitres accordés à un peu tous les personnages qui seront présents pendant toute notre lecture. Nous apprenons à les connaître, à apprendre leurs problèmes et leurs attentes. Ces chapitres premiers sont vraiment importants et aident réellement à la bonne compréhension de l’histoire dans sa globalité. Chaque protagoniste a des problèmes et le fait de tous nous les présenter nous donne une bonne vision globale de l’histoire. Le récit est narré à la troisième personne du singulier, du point de vue du personnage qui est l’acteur principal du chapitre. Comme cela change à chaque fois, nous sommes donc dans les pensées de plusieurs personnages et j’ai bien aimé cette alternance.

Interessante introduction au livre qui suit :Honorables intentions Cette nouvelle nous fait découvrir un passage évoqué dans "Honorables intentions" : l'enfance de Kate. On comprend mieux quel lien est établi entre Kate et sa grand mère. Le seul petit bémol, c'est qu'on a envie d'en avoir plus.

J’ai rarement lu une romance dans laquelle, les premières pages nous proposent une histoire où tout s’aligne : une rencontre fortuite, une attraction immédiate, une complicité qui s’épanouit… Des personnages qui se nourrissent d’amour et d’eau fraîche. C’est doux, c’est rafraichissant… mais il faut se méfier de l’eau qui dort, alors, forcément, en avançant dans ma lecture j’ai fini par avoir peur de tourner la prochaine page… Et évidemment, quand tout d’un coup, une promesse donnée ressurgit et fait valser à vau-l’eau l’équilibre de nos héros, Hector et Lenora, et ça fait mal !

À partir de là, on avance avidement dans l’histoire pour savoir ce qu’il adviendra de l’idylle des personnages.

Aux complications dues à cette promesse, s’ajoutent les contraintes de la société dans laquelle ils évoluent. En effet, Hector et Lenora sont issus de catégories sociales qui ne sont pas compatibles, et pour bien leur rappeler les limites de leur rapprochement, l’autrice nous propose des antagonistes vicieux et solides. Il y a un petit air de Kathleen E. Woodiwiss dans la construction de ces derniers. Ils sont calculateurs et sans scrupule. Ils bousculent l’intrigue avec des rebondissements loin d’être prévisibles au point de mettre le lecteur en PLS. D’ailleurs, Hector aussi, rejoint le peloton des personnages à abattre par moment tant il est agaçant, plein de certitudes et nombriliste… Franchement, plus d’une fois j’ai eu envie de le secouer (violement) !

Une fois de plus, l’autrice n’a pas chômé ! Elle nous propose une histoire addictive, loin des carcans de la romance historiques, ici il n’est pas question de malentendu, de quiproquos, de mensonge par omission. L’histoire se base sur le principe du choix, l’émancipation du contrat social et l’autodétermination.

Pour mon plus grand bonheur, l’autrice n’hésite pas à glisser des sujets sensibles : Poids de la filiation, mariage de convenance, inégalités sociales, marginalisation de « normalités alternatives ». Thématiques qu’elle traite avec bon sens et intelligence.

J’ai passé un excellent moment de lecture !

Mention spéciale à la contextualisation solide de l’histoire à base d’anecdotes précises et pointues qui donne de la profondeur.

« Ils allèrent également au théâtre de Drury Lane, qui avait subi plusieurs transformations depuis 1812, avec notamment l’éclairage au gaz dans toute la salle ainsi que sur la scène. Tout l’intérieur avait été réagencé trois ans plus tôt, rendant le bâtiment plus moderne et plus attractif. Les pièces de William Shakespeare étaient à la mode et ils purent assister à une représentation d’Othello, dont le personnage principal était joué par le grand acteur Edmund Kean. »

Cette mise en contexte est également réussie grâce à l’intelligence d’écriture de l’autrice, notamment quand elle s’abstient de nommer une maladie dont le nom n’a pas encore été révélé au moment de l’histoire (précision qu’elle donne en fin de roman). Franchement, pour la lectrice assidue de romance historique que je suis, ça fait toute la différence.

Mention exceptionnelle à la critique délicate, tout en scepticisme, qui est fait plusieurs fois sur la problématique que représente une relation déséquilibrée présentée dans le roman. Je n’en dis pas plus, et je dis surtout : BRAVO !