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Commentaires de livres faits par -Swan-

Extraits de livres par -Swan-

Commentaires de livres appréciés par -Swan-

Extraits de livres appréciés par -Swan-

Spoiler(cliquez pour révéler)
- Louise Vallère, tu es l'amour de ma vie. Tu me rends heureux tous les jours et j'espère pouvoir te rendre aussi heureuse jusqu'à la fin de ma vie. Acceptes-tu de devenir ma femme ?[/spoiler]
[spoiler]Elle sourit d'une oreille à l'autre. Ses yeux étincelaient.[/spoiler]
[spoiler]— Si tu imagines que je pourrais dire non, c'est que tu n'as pas bien suivi ce qui s'est passé jusque-là.
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Tourmenté par mes pensées, les sourcils froncés, je ne remarque pas tout de suite que Leah me fixe et lorsque son regard accroche le mien, je peux jurer que plus rien n'existe autour de nous.
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date : 05-11-2020
Je ne vois cependant plus, depuis quelques heures, mes seuls compagnons : les rats qui ont élu domicile dans la cale. Même s'ils ont appris à se méfier de moi, il viennent encore, parfois, mordiller mes chaussures lorsque je succombe au sommeil.
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date : 05-11-2020
***1 ***
Konstantin
Je ne me souviens plus depuis combien de temps je cours
dans cette forêt.
L’obscurité règne désormais en maître absolu et n’aide en
rien ma fuite. Mes pieds agissent de leur propre chef, glissant
sur les caillasses, trébuchant sur les racines affleurant des
arbres. J’ignore comment je parviens à avancer à ce rythme
fou. Probablement l’adrénaline qui me permet de puiser dans
mes ultimes forces afin d’échapper à ceux qui me
poursuivent.
La neige s’ajoute au vent glacial. Mon sweat noir et mon
treillis trempés de sueur collent à ma peau et forment une
coque de plus en plus désagréable. Mon souffle erratique
oblige mes poumons à un exercice pénible. Mon corps hurle
sa douleur, mes orteils sont crispés par le froid, mon crâne
pulse sous une migraine qui ne me quitte plus. Par réflexe, je
rabats ma capuche sur mes cheveux clairs trop repérables.
Je ne tiendrai plus longtemps.
Dans ce coin du monde, la nature est intransigeante et ne
pardonne pas. En dépit de ses allures irréelles, presque
mystique, la forêt de Paimpont en Bretagne, parfois assimilée
à Brocéliande, n’a rien d’accueillant en plein mois de
décembre.

Source : https://www.bookelis.com/romance/43645-Et-un-jour-une-etoile.html
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date : 05-11-2020
— “C’est pas une tache, ça ??! Si c’est pas une tache, je m’appelle pas Hans Werner !!!”
L’homme hurle, fou de rage, rouge comme s’il allait… se transformer en bison !
— “Mon bon monsieur, ceci est une brûlure. Réfléchissez, on ne peut donc la laver…”
C’est Bao ! Ce cher Bao ! Ça fait si longtemps !
Kerry, qui suit attentivement l’échange verbal, les regarde, amusée, tout en tapotant amicalement la croupe de Hennie qui reste, obéissante, devant la blanchisserie. Elle reconnaît immédiatement le calme légendaire de son ami ; elle n’a jamais vu rien ni personne obliger Bao à monter le ton. Ce qui - par ailleurs – ne réussit pas toujours à calmer l’interlocuteur…
— “« Réfléchissez ?!!! » qu’est-ce que t’as dit, sale Jaune ?! face de pamplemousse !!! tu me prends donc pour un demeuré ?!!!”
— “Je ne sais pas encore… je n’ai l’honneur de vous connaître que depuis cinq minutes mais il se peut qu’effectivement je finisse par parvenir à cette conclusion malgré le peu d’informations dont je dispose pour l’instant.”
L’homme, monsieur Hans Werner donc, vire tellement au cramoisi, qu’il en arrive à ne plus pouvoir proférer un seul mot. Les veines de son cou sont tellement gonflées que ce serait plutôt en crapaud qu’il pourrait se métamorphoser.
Bao en profite pour faire un point qui - avec un peu d’espoir - sera salvateur :
— “Hans – je peux vous appeler Hans ? – je vous en prie, ne vous mettez pas dans un tel état ! Les cinquante cents de la note que vous me réglerez ne justifient pas une telle ire ! Allons ! j’ai lavé ce costume avec un amour débordant, comme tout ce que j’entreprends, et je vous assure que toutes les taches sont parties ! Mais ceci, que l’on pourrait, pourquoi pas, appeler « tache », mais qui n’en est pas une, je vous l’assure ! ceci est une trace de brûlure. Vous avez brûlé ce costume ! Je vous assure que cette tache – pardon ! - cette trace, n’est pas une tache ! - c’est difficile à prononcer pour moi, vous comprenez ; je suis Jaune – bref : ce-ci-n’est-pas-la-vable !”
L’homme, qui a écouté attentivement le blanchisseur (pendant qu’il cherchait à reprendre son souffle) poursuit en choisissant une tactique moins dangereuse pour son cœur fragile ; le ton se fait plus charmeur :
— “Mon petit monsieur, tu vois cette pétoire à ma ceinture ? Je vais percer six trous dans ta face d’agrume si tu ne me rembourses pas mon costume ! Car cette brûlure, c’est forcément toi qui l’as faite !”
Bao, droit comme un i, le regarde, tout sourire, muet.
Puis :
— “Non.”
— “Comment ça « non » ?”
— “Rappelez-vous, Hans : nous avions fait, lors du dépôt de votre costume, le point sur les taches ! Je note alors dans mon petit calepin des remarques pertinentes pour qu’il n’y ait pas de malentendus …comme celui-ci. Vérifiez par vous-même !” et Bao lui applique sous le nez un petit carnet tout noirci en soulignant les passages avec son doigt.
— “Face de rat, arrête de m’appeler par mon prénom ! Seuls les intimes en ont le droit, et toi tu n’en fais pas partie !!”
— “Un rat… n’est pas jaune !!? Un pamplemousse ? oui… encore qu’il y en a des roses ; un agrume ? hum… certains…oui, je peux donc le valider ; mais un rat !! à moins d’avoir la jaunisse… et encore ce n’est pas sûr…”
Bao le regarde du haut de sa petite taille, un sourire indescriptible s’égarant maintenant du coin de sa bouche (toujours à gauche, d’ailleurs…!). Il est fièrement campé sur ses jambes, les mains calmement posées à plat sur le comptoir de sa blanchisserie. Ses yeux, fendus, dissimulent un regard inaccessible. Mais Kerry, elle, le déchiffre. Le connaît bien.
L’homme, s’étranglant de rage, ébauche alors fiévreusement un geste vers son revolver mais Bao l’a devancé avec son katana, et Kerry… a aussi dégainé son katana …encore avant Bao !
Hans Werner se retrouve avec un sabre japonais effleurant sa jugulaire gauche et un autre sabre japonais - tout-à-fait identique - frôlant sa jugulaire droite (il va sans dire que les carotides ne sont pas rassurées non plus).
— “Mei !! ma chérie ! que viens-tu faire par ici ?”
— “Je passais par là… j’ai vu de la lumière !”
— “Dès que j’aurai déposé mon sabre, je t’embrasse !!”
— “Moi aussi, mon bon Bao, moi aussi ! Qu’est devenu ton père ?”
L’homme, qui transpire à grosses gouttes, est contraint d’écouter la conversation des deux amis - après tout, ils ont bien enduré ses propres réclamations ! - avec juste le petit inconvénient qu’il ne doit absolument pas broncher d’un poil, sous peine de s’ouvrir comme le goret suspendu par le boucher pour le boudin.
— “Il va très bien ! Il ne tient plus le magasin que pour me remplacer pendant mes rares absences et il file sa vie, tranquille, en allant à la pêche ou à la chasse. Qu’il adore comme tu le sais !”
— “Bien sûr ! Comme on a pu s’amuser tous les trois !”
— “Mais viens, ne reste pas là ! Entre prendre un verre !
…Ah c’est vrai, il faut que je libère monsieur…”
Bao se tourne vers Hans Werner :
— “Monsieur ? Où en étions-nous ?… Ah oui ! une tache… Il y a donc une tache qui n’est pas partie ?”
— “Non ! Non-non ! Non-non-non ! Il n’y a pas de tache ! c’est du brûlé ! c’est du brûlé !”
— “Oui, mais… le problème c’est que c’est moi !! qui ai brûlé votre costume !”
— “Non ! Je me souviens maintenant ! c’est moi !! j’ai brûlé mon costume !”
— “Quelle idée ? Pourquoi brûler un costume à cinquante dollars ? enfin ?!”
— “On… on m’a poussé dans… dans un feu !”
— “Pas trop douloureuses, les fesses ?”
— “Oh non, j’ai adoré ! adoré !!”
— “Bon. On en reste là, alors ?”
— “Oui ! Oui-oui ! Oui-oui-oui !”
— “C’est bon ! vous n’allez pas nous la refaire à l’envers !”
— “Non ! Non-non !…”
Bao le regarde avec son demi-sourire de crocodile.
— “Mais… vous ne comptez pas venir subrepticement vous venger, n’est-ce pas ?…”
L’homme, toujours encadré par ses deux sabres japonais, se concentrant de toutes ses forces pour ne pas bouger d’un cheveu et incommodé de ne pouvoir essuyer les grosses gouttes de transpiration qui perlent sur son visage écarlate, la tête levée comme au garde-à-vous, fixe Bao de ses deux yeux écarquillés. Puis, la voix étranglée et gémissante :
— “Non. Je vous le promets !”
— “Ça suffit, ça, une promesse, Mei ?”
— “J’aurais préféré mieux que ça.” répond Kerry avec un sourire copie conforme à celui de Bao.
Voyant que l’homme commence à vaciller, les deux sabres s’écartent légèrement.
Hans caresse alors douloureusement le tour de son cou.
— “Alors ?? hum ?… …pas de vengeance en vue ?”
L’homme, tout au tâtonnement de sa gorge, maintenant blanc comme les linges (propres) de Bao, ne répond toujours pas.
— “Vous préférez avoir la tête… coupée ou égorgée ?”
— “…Je …je vous le jure !! Sur la tête de mes canassons… je vous le jure !! Vous n’avez absolument rien à craindre ! comme je vous l’ai dit tout à l’heure lors du dépôt de mon costume, je ne suis que de passage et je pars de ce pas !! Je vous le jure sur la tête de maman…”
Hans, tout gémissant, a fini par murmurer, épuisé par l’émotion.
Un silence apaisant commence à s’installer.
Les deux sabres s’écartent complètement et l’homme, sans demander son reste – mais après avoir payé sa note – file, la tête basse.

Source : https://www.guyducheyronlesromans.com/winona/un-extrait/
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TRINITY
Quand Slade est entré dans mon bureau, il s’est immédiatement approché de moi, et m’a levé le menton. Il a examiné mon œil, cherchant les traces bleues sous mon maquillage.
– Ça te fait mal ?
– Non, plus maintenant.
– Ça se voit à peine. Au moins, ça guérit.
Il avait l’air préoccupé. Cela faisait des jours qu’il s’inquiétait pour moi. Il vérifiait constamment mon visage comme s’il avait peur qu’il se brise en morceaux.
– Ça va disparaître en un rien de temps, le rassurai-je.
Il s’est penché vers moi et m’a embrassée.
– Alors, pourquoi tu m’as fait venir ici ?
J’ai tripoté mon stylo.
– Tu te souviens que ma photographe t’a recommandé comme mannequin ?
– Oui…
Son sourire s’est élargi.
– Eh bien, on pourrait avoir besoin de toi. Enfin, si t’es d’accord. Si tu ne veux pas le faire, rien ne t’y oblige.
– Pourquoi je ne voudrais pas ? demanda-t-il en pointant son visage du doigt. Cette belle gueule mérite d’être admirée par le monde entier.
J’ai levé les yeux au ciel.
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SLADE
Je dormais à poings fermés quand Trinity m’a réveillé.
– Slade ?
J’ai immédiatement ouvert les yeux et je l’ai vue recroquevillée contre la tête de lit. Ses cheveux étaient ramenés d’un côté et mon t-shirt trop grand lui découvrait l’épaule.
– Hmm ?
J’étais ronchon quand je n’avais pas assez dormi. Je ne savais pas si j’apprécierais d’être réveillé toutes les nuits par des pleurs quand Olympia serait là.
– J’ai entendu du bruit.
– Bébé, c’est probablement le vent.
La terreur dans sa voix a augmenté.
– Non. J’ai entendu quelque chose.
– Abe est là, on ne risque rien.
Elle a tapé sur le matelas.
– Slade, je sais que j’ai entendu quelque chose et j’ai peur. Je pense qu’on devrait appeler la police ou parler à Abe.
Cette conversation n’était pas près de finir, alors je me suis assis. Mes yeux étaient lourds de sommeil et mon corps était épuisé. La paranoïa de Trinity était constante. Elle avait probablement fait un cauchemar et ne s’en rendait pas compte.
– Très bien. Je vais jeter un œil.
– Prends le flingue.
– Je n’ai pas besoin d’arme.
– Slade Sisco, prends le flingue.
Elle était hystérique cette nuit. J’ai ouvert la table de nuit et sorti le pistolet. J’ai enlevé la sécurité et je l’ai tendu à Trinity.
– Et si tu le gardais pendant que j’explore la maison ?
– Tu en as besoin pour te protéger.
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SKY
La porte d’entrée s’est ouverte et fermée, annonçant l’arrivée de Cayson après sa journée de travail.
– C’est moi, bébé.
J’adorais entendre ces mots quand il rentrait à la maison. J’aimais préparer le dîner pour deux au lieu d’un. La maison était de nouveau pleine de notre amour, et la chaleur de notre flamme rayonnait jusqu’aux pièces les plus éloignées. Je suis sortie de la cuisine pour me rendre dans l’entrée, me dandinant lourdement.
– Salut.
Tout comme avant, il m’a pris le visage entre les mains et m’a embrassée doucement, comme s’il se retenait d’être trop violent. Il avait envie de me serrer fort contre lui et de ne plus jamais me lâcher.
J’aimais quand il me dévorait ainsi, me goûtant comme si je lui appartenais corps et âme. J’étais gênée par mon ventre et le poids que j’avais pris. Mon assurance avait disparu, et je ne me sentais pas du tout désirable. Mais j’avais envie de Cayson, mon mari parfait. Son corps était tout en muscle. Ses bras étaient forts et puissants et ses hanches vigoureuses grâce à ses séances de sport. Son corps était absolument parfait.
– Qu’est-ce qui sent si bon ? souffla-t-il dans ma bouche.
– Des tacos.
– Miam. Tu peux laisser la cuisson sans surveillance pendant quelques minutes ?
Je savais exactement ce qu’il insinuait.
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SLADE
Arrivé à l’étage de Cayson, j’ai contourné le bureau de sa secrétaire.
– Excusez-moi, m’interpella-t-elle. Vous avez un rendez-vous ?
Je portais le pistolet de plastique sur mon épaule.
– On peut dire ça, répondis-je en ouvrant la porte du bureau de Cayson.
– Attendez, vous ne pouvez pas…
J’ai refermé la porte derrière moi.
Il était en pleine conversation téléphonique. Il a froncé les sourcils en voyant le jouet que j’avais apporté.
Je l’ai pointé sur lui en m’approchant.
– Ne me cherche pas aujourd’hui.
Il a fini sa conversation, puis raccroché.
– C’est quoi ça, bordel ?
– Bah, un flingue en plastoc.
J’ai tiré un projectile sur sa fenêtre. Il a fait un bruit sec en rebondissant.
– Waouh…
Cayson semblait impressionné.
La femme a ouvert la porte.
– Je suis désolée, M. Thompson. Je lui ai demandé de partir et…
– Ça va, la coupa Cayson. Je le connais.
Je me suis tourné et j’ai pointé le fusil sur elle.
Elle est immédiatement sortie du bureau en refermant la porte derrière elle.
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SKY
Slade et moi nous étions beaucoup rapprochés depuis le départ de Cayson. J’ai toujours su que c’était un type bien, mais je n’avais pas réalisé qu’il avait un si grand cœur. Chaque jour, il s’occupait de moi et s’assurait que j’allais bien. Je comprenais désormais ce que Trinity vivait au quotidien, et je n’étais pas surprise qu’elle soit tombée amoureuse de lui.
– Merci…
– Pas de problème, dit-il en prenant ses clés et son portefeuille sur le comptoir. T’es sûre que ça va ? C’est juste le stress ?
– Ouais… je crois que je gère mal la santé de mon père et l’absence de Cayson.
Il a opiné.
– Tu veux en parler ?
– J’ai parlé à Cayson il y a quelques heures.
– Super. Je suis sûr qu’il t’a remonté le moral.
– En effet, dis-je en inspirant profondément et contenant mes larmes. Mais il me manque encore plus maintenant.
Slade m’observait d’un regard triste.
– J’aimerais pouvoir le faire apparaître ici pour toi.
J’ai fixé le plancher.
Il s’est rapproché, puis il m’a enlacée chaleureusement. Sa large main m’a frotté le dos, entre les omoplates.
– Je sais que je ne suis pas Cayson, mais… je vais essayer de le remplacer de mon mieux jusqu’à son retour.
Je lui ai rendu son étreinte, éprouvant un peu de réconfort.
– Tu fais du bon boulot, Slade. Je ne sais pas ce que je ferais sans toi et Trinity.
Il m’a serrée de plus belle.
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ARSEN

Je me suis réveillé et j’ai regardé Silke. Elle dormait paisiblement à côté de moi, les lèvres entrouvertes et les cheveux étalés sur l’oreiller. Ses traits étaient détendus et elle paraissait encore plus belle.
Me réveiller avec elle tous les matins était un rêve devenu réalité. Techniquement, nous ne vivions pas ensemble, mais elle était chez moi tout le temps. J’adorais partager mon lit avec elle. Je n’avais jamais aussi bien dormi de toute ma vie.
Comme si elle pouvait sentir mon attention, elle s’est étirée comme un chat et a tourné la tête vers moi. Quand elle m’a regardé dans les yeux, un sourire s’est dessiné sur ses lèvres. On aurait dit qu’elle se réveillait d’un rêve agréable pour en vivre un encore meilleur.
– Ma Belle.
Je me suis penché vers elle et j’ai posé un baiser humide dans la vallée entre ses jolis seins.
Elle a enfoncé une main dans mes cheveux.
– Ma Bête.
– Bien dormi ? demandai-je en continuant de l’embrasser, ma bouche remontant vers son cou et sa mâchoire.
– Magnifiquement bien, comme toujours.
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date : 10-11-2017
Mon fils, mon amour,
Quand tu étais enfant, pour t’endormir, je te chantais une chanson tellement souvent que je suis sûr que tu t’en souviens :
« J’ai découvert qui je suis, tout a changé le jour où je t’ai donnée la vie… »
Avant de t’avoir, je croyais tout savoir,j’étais pleine de certitudes et tu m’as forcée à voir la vie avec un nouveau regard. Tu es et tu resteras ma plus belle réussite, la meilleure chose que j’ai faite de ma vie. Ne doute jamais de l’amour que je te porte car il est éternel.
Je sais qu’aujourd’hui, tu souffres de mon départ. Avec le temps, la douleur s’estompera. Elle ne disparaîtra pas. Mais mon absence sera moins douloureuse. Sache que je suis toujours là, pas comme un fantôme, sapientone *. Je suis en toi. Je transparais en toi à travers toutes les choses, les valeurs que je t’ai enseignées, les moments et souvenirs que nous avons partagés. Ne sois pas en colère. C’est un sentiment inutile qui ne fait pas avancer. Je veux que tu penses à moi seulement avec amour, pas de tristesse. J’ai bien vécu grâce à toi, mon fils.
J’ai même eu la chance de rencontrer un ange. Nous savons tous deux que c’est à Suzy que je pense. Je l’ai aimée comme une fille. Je n’aurais pas voulu pour toi qu’elle le soit. Je vois, moi, l’amour qui vous lie et que vous refusez d’admettre. Tu n’es pas prêt à l’accepter mais je sais que tu y viendras. Elle est la femme qui changera ton existence, qui te fera la voir autrement, te sentir à la fois faible et fort. Elle sera ta compagne, ton seul et véritable amour. Je sais que tu ne fais que tromper ton cœur avec ces filles qui défilent dans ta vie. Le temps que vous soyez prêts .
Mon fils, n’attends plus pour lui avouer tes sentiments. Vous avez assez tant de choses à découvrir ensemble.
Vis, mon bébé et rends - la vivante, heureuse. Et, faites-moi, un jour, des petits - enfants.
Je t’aime plus fort que l’imaginable.
Ta mère à tout jamais.
Ambra
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— Elle a peur de moi. Elle a peur d’elle-même. Dans son cœur, elle sait que nous ne faisons qu’un, que je ne lui ferai jamais de mal, mais elle se refuse à l’accepter. Elle croit avoir perdu l’esprit.
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INDEX DES VAMPIRES

Par ordre alphabétique de clan
*vampires doués d'un tallent surnaturel quantifiable
- couples (le plus âgé en premier )
°° décédé avant le début du présent roman

CLAN DES AMAZONES
Kachiri
Senna
Zafrina*

CLAN DE DENALI
Eleazar*-Carmen
Irina-Laurent°°
Kate*
Sasha°°
Tanya
Vasilii°°

CLAN EGYPTIEN
Amun-Kebi
Benjamin*-Tia

CLAN IRLANDAIS
Maggie*
Siobhan*-Liam

CLAN D'OLYMPIC
Carlisle-Esmé
Edward*-Bella*
Jasper*-Alice*
Renesmée*
Rosalie-Emmett

CLAN ROUMAIN
Stefan
Vladimir

CLAN DES VOLTURI
Aro*-Sulpicia
Caïus-Athenodora
Marcus*-Didyme*°°

GARDE DES VOLTURI (LISTE PARTIELLE)
Alec*
Chelsea*_Afto*
Corin*
Démétri*
Félix
Heidi*
Jane*
Renata*
Santiago

NOMADES AMERICAINS (LISTE PARTIELLE)
Garrett
James*°°-Victoria*°°
Mary
Peter-Charlotte
Rendall

NOMADES EUROPEENS (LISTE PARTIELLE)
Alistair*
Charles*-Makenna
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-Je t'aime, lui dis-je. Plus que tout au monde
-Je t'aime aussi, maman' répondit-elle.
Elle effleura le médaillon à son cou, lequel renfermait à présent une photo de nous trois, et ajouta :
-Nous serons toujours ensemble.
-Dans nos coeurs, oui, rectifiai-je. Mais aujourd'hui quand je te l'ordonnerai,il te faudra me quitter.
Avez vous apprécié cet extrait ? +4
- Te prendre pour cible m'est impossible
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-Nessie, Nessie, Nessie! roucoulai-je
Jacob partit de son gros rire de loup avant de planter son museau dans a nuque.
-La ferme ! marmonnai-je
-Je reste avec vous? s'enquit Nessie.
-Pour l'éternité, promis-je
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LIVRE 3: BELLA

Prologue

Cessant d'être un cauchemar, la ligne noire avança vers nous, cepandant que les foulées de ceux qui la constituaient agitaient la brume glaciale.
"Nous allons mourir", songeai-je, paniquée.J' était au desespoir pour l'être précieux que je défendais. Toutefois, y penser maintenant détournait mon attention et je n'était pas en mesure de me le permettre.
Ils se rapprochèrent tels des fantômes, leurs capes noires doucement agitées par leurs mouvements. Leurs mains se recroquevillèrent en couleurs d'ossements. Ils se séparèrent, afin de nous cerner de toutes parts. Nous étions coincés. Nous allions mourir.
Puis comme sous l'éclaire d'un flash, la scène se modifia brutalement. Rien n'avait changé, pourtant. Les Volturi continuaient de venir à nous, menaçant, prêts au massacre. En revanche, ma perception de ce qui se passait était tout autre. Soudain, j'avais hâte. Je voulait qu'ils attaquent. Ma panique se sublima en soif sanguinaire, alors que je tapissait, un rictus au lèvres, mes dents dévoilées, et qu'un grondement s'échappait de ma gorge.
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