Commentaires

Je n'ai pas du tout aimé, je me suis arrêté après quelques chapitres...c'est très vulgaire envers les femmes...et Clara qui tombe sous le charme d'un homme qui ne fait vrmnt rien de bien et tout ça en un rien de temps...J'ai refermé à jamais le livre. Le cliché de la femme amoureuse de l'ultra bad boy en trois lignes non merci.

Je n'ai pas été emballé par cette histoire ... L'héroïne était antipathique, je n'avais aucune pitié pour elle malgré son enlèvement , elle est incohérente dans ses réactions: un jour elle est vénale et intéressée le lendemain elle semble fragile ... j'ai limite préférer le héros qui me semblait plus sympathique et plus réel .L'histoire d'amour ne donne aucune émotion , ça ne prends pas . L'écriture ne rattrape pas le reste , on n'apprends rien, il n'y a pas de contexte original ... Sauf si vous voulez lire des scènes de sexe ce bouquin est bof

Nous avons une très bonne base, une bonne montée en puissance mais c'est tellement dommage que les scènes s'enchaînent trop vite.

J'espère que les personnages travaillés auront leur rôle dans le tome suivant.

Il fallait bien revenir sur ce livre et le film qui l’accompagne. Alors, je ne vais pas y aller par quatre chemins : c’est mauvais. C’est très mauvais. Le livre est très clairement écrit avec les pieds (du coup je comprends mieux pourquoi le film est aussi nul). Entre un syndrome de stockholm super mal développé et des abus sexuels à n’en plus finir alors que Massimo dit, je cite qu’il “ne la touchera pas”, désolé mais il faut tout revoir.

J’en ai lu des Dark Romance et des trash. Certains où j’ai adhéré, d’autres pas mais LA ! Mon dieu. Je n’ai même pas finis ce que je considère comme un torchon. Les personnages sont absolument plats, ce sont des clichés ambulants et le développement est nul mais nul !

Et pourtant, sur le papier le résumé donne envie. Le film m’avait clairement ôté pas mal d’espoir mais bon, l’espoir fait vivre. Et bien non, c’est aussi nul que le bouquin. Vous voulez du Massimo crédible ? Je vais vous en recommander, moi, des bouquins trash qui valent la peine d’être lus !

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Cette saga n'est pas pour moi, après avoir vu le film Netflix, je me suis dis: non, ça doit être une adaptation étrange, allons lire le livre voir d'où vient cette idée bizarre d'une romance qui part avec 0 consentement...

Et bah non, pour le coup Netflix chapeau... Un copié collé du livre...

Voilà... Donc je ne comprends pas... Le personnage féminin n'est à aucun moment d'accord avec ce qui lui arrive, elle a peur se débat... Non ce n'est pas de la romance...

Je suis vraiment très déçu de ce livre, qui pour moi ne mérite pas tout cet engouement autour de lui. Je n'ai pas du tout aimé la plume de l'auteur qui est très simpliste.

Lus en 2021:

365 jours est une trilogie écrite par Blanka Lipinska. Il s’agit d’une saga que j'orienterai dans le style de la dark romance, même si elle n ‘est pas réellement considérée comme telle.

Dans cette histoire, on suit Laura, en vacances en Sicile avec son petit-ami et deux de ses amis. Elle est kidnappée le jour de son vingt-neuvième anniversaire par le chef d’une famille de mafieux, le terrifiant et fascinant Massimo. Ce dernier lui donne 365 jours en la défiant de ne pas tomber amoureuse de lui pendant ce lapse de temps, au bout duquel elle sera libérée. Cette dernière lutte, pour ne pas succomber au charme sauvage de ce jeune mafieux.

Cette saga n'est évidemment pas à mettre entre toutes les mains.

Cependant, la plume est extrêmement facile d'accès, peut-être même trop peu recherchée à mon goût. Je la trouve presque aussi superficielle que les différents personnages de ces romans.

En effet, le personnage principal féminin est d’une superficialité alarmante, elle offre une vision tout à fait stéréotypée et dégradante de la femme. Est-t-elle réellement tombée amoureuse d’un homme au cours de cette saga ? Je ne saurais le dire. En revanche, elle tombe belle est bien amoureuse de l’argent et du sexe.

Globalement, tous les personnages manquent de profondeur, et sont soit blanc, soit noirs.

L’intrigue est plutôt intéressante, et à le mérite de rendre le tout très addictif. Même si j’ai trouvé les romans “pauvre” d’un point de vue qualitatif d’écriture et profondeur des personnages, je dois reconnaître les avoirs dévorés du début à la fin avec une addiction féroce.

Peut être que mon scepticisme vient du fait qu’il s'agisse de ma première saga dark romance, et que je ne sois pas une grande fan du genre.

Une chose est sûre, c’est un roman tout de même très divertissant qui se laisse dévorer l’été dans un bon transat ou à la plage.

Eh bien c'est une agréable surprise !

J'ai vu le film donc forcément j'ai été spoliée sur l'histoire.

Néanmoins j'ai passé un bon moment de lecture. La plume de l'auteure est fluide et elle nous propose une histoire de mafieux réussie.

La fin donne envie de connaitre la suite, je vais donc poursuivre la saga avec plaisir.

J'ai été déçu. Je m'attendais a mieux, je n'ai rien ressenti pour les personnages. J'ai trouvé le livre froid et impersonnel, je ne me suis pas senti investie dans l'histoire. J'ai aussi trouvé que le livre était truffé d'incohérence et le caractère de Laura est insupportable. Bref, même si l'histoire à du potentiel, je n'accroche pas au style d'écriture. Pour ma part c'était une lecture passable et oubliable.

Un immense merci à Hugo Roman pour l’envoi de ce roman.

C’est avec une immense curiosité que je me suis plongée dans la lecture de ce roman, sans vraiment savoir trop à quoi m’attendre. Il faut dire que je n’ai ni vu le film ni toute la polémique qu’il y a eu autour. J’ai vu énormément d’avis sur le film de Netflix, certains excellents, d’autres plus acérés.

Alors sans avoir vu le film, j’étais impatiente de me faire mon avis sur cette histoire, qui fait tant parler. J’avoue que j’avais quelques petites appréhensions. Déjà celle de passer à côté de cette histoire, de ne pas accrocher ou encore de me sentir mal à l’aise. Mais loin de tout cela, j’ai plutôt bien accroché à l’histoire.

365 jours est une Dark romance, et comme beaucoup de dark romance certaine scènes peuvent être dérangeantes, pour ma part je n’ai pas été spécialement choquée ou perturbée. D’ailleurs 365 jours à un fil conducteur assez classique au final mais agrémenté de petits quelques choses qui font que cela fonctionne, du moins avec moi.

Je comprends toutefois que cela ne plaisent pas à tout le monde, comme le genre auquel il appartient. Mais si vous aimez les dark romances, je pense que cette histoire peut vous plaire car elle reste assez basique.

Les thèmes sont nombreux et variés, sexe, beaucoup de sexe, drogue, violence et l’organisation de la mafia. Des thèmes qui restent classiques mais qui donne un petit plus au récit. Certes j’ai trouvé qu’il y avait pas mal de clichés mais en soit ça ne m’a pas spécialement dérangée.

Ici nous allons suivre Massimo et Laura. Massimo est la caricature du sicilien macho, dominateur, mystérieux et sûr de lui. Si le synopsis n’avait fait espérer une complexité au niveau de sa personnalité, je n’ai pas été déçue, bien que je l’ai trouvé drôlement cliché. Certains de ses actes m’ont fait sourire dans le sens où je n’ai pas trouvé cela spécialement crédible. Alors oui je n’évolue pas du tout dans le même monde que lui, le sien n’est que violence, sexe et pouvoir. J’ai eu l’impression qu’il souffrait de troubles psychiatrie, comme si il était morcelé et avait deux personnalités bien distinctes, une tendre et douce, l’autre dominante et violante. Je crois qu’aucune personne saine d’esprit enlèverai une femme en lui disant qu’elle a 365 jours pour tomber amoureuse de lui, si au delà de ce délai ce n’est pas le cas il la laissera partir... bref, en soi c’est un personnage que j’ai apprécié et je pense avoir juste effleuré du bout des doigts sa complexité.

Pour Laura, elle a un caractère fort et j’ai beaucoup apprécié sa personnalité, c’est une femme épanouie sexuellement et elle n’en pas honte. Bon clairement elle développe une sorte de syndrome de Stockholm envers Massimo, car il ne faut pas oublié qu’elle est retenue contre son gré et si la limite n’est franchit, elle est consentante à chaque fois, Massimo ne fait rien qu’elle refuse. J’ai compris son déchirement entre ses sentiments pour Massimo et l’envie de retrouver sa liberté ( qui est soyons honnête un symptôme du Syndrome de Stockholm) bien qu’au finale elle prenne l’ascendant sur lui.

Il y a beaucoup de sexe, vraiment beaucoup. comme je vous les déjà dit. Les scènes sont explicites et montrent l’attirance et l’alchimie qu’il y a entre Laura et Massimo. Je suis pas spécialement friande de ça, mais j’ai compris les choix de l’auteur, bien qu’il y en ait trop a mon gout...

Pour la romance, il faut dire qu’elle ne démarre pas sur une base saine, car il faut pas oublié que Massimo « séquestre » Laura. J’ai trouvé que Blanka Lipińska mène extrêmement bien son récit. Même si je me suis doutée fortement de la tournure de leurs histoire, j’ai bien aimé leur relation. La romance reste classique dans son genre, bien que le caractère de Laura rajoute un peu de piment.

Pour ce qui est de la plume de l’auteur, elle est piquante, crue par moment, intense et grave l’instant d’après. J’ai vraiment beaucoup aimé son style d’écriture, la fluidité de ses mots font que j’ai dévoré cette histoire. Certes il y a certains bémols, des répétions et autres petits points dérangeants, mais en soi l’auteur insuffle passion, intrigue et suspense à son récit.

Pour conclure, je dois dire que lorsque je l’ai terminé je ne savais pas du tout comment mettre les mots sur mon ressentie et j’espère ne pas vous avoir perdu. Ce livre ne plaira pas à tous, comme chaque roman, je pense. Pour ma part j’étais curieuse et je suis ravie d’avoir lu cette histoire malgré quelques petits points qui m’ont dérangé. Je suis impatiente de découvrir la suite de cette histoire qui a fait couler beaucoup d’encre.