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– Elle ne viendra pas ici, Hardin. Elle sait que tu l’y trouverais.
[...]
– Mon fils, je crois que tu devrais lui donner un peu de champ.
Putain, pour qui il se prend ?
– Du champ ? Elle n’a pas besoin de champ ! Elle a besoin de rentrer à la maison !
~~ Chapitre 6, Hardin et son père.
Afficher en entier"J'appuie ma tête contre la vitre. Chacun de nos baisers, chacune de nos caresses ont été partagés avec les amis d'Hardin, chacun de nos instants révélé. Mes moments les plus intimes. La seule intimité que je n'aie jamais eue avec quelqu'un ne m'appartient plus, plus du tout." Tessa
Afficher en entierJe t’aime ! Je ferais n’importe quoi pour toi, pour que tu voies qui je suis, l’homme qui t’aime plus que son propre souffle, l’homme qui danse aux mariages et te regarde dormir, l’homme qui ne peut pas commencer sa journée sans que tu l’embrasses, l’homme qui préférerait mourir plutôt que de vivre sans toi.
Afficher en entierMolly, action ou vérité ?
Tout le monde se crispe, Steph me lance un regard interrogateur. Visiblement surprise de son audace elle croise son regard
- action ou vérité ?
- vérité. Repond molly
- est ce que c'est vrai... Entone Tessa avant de se pencher en avant et de poursuivre... que tu est une pute?
Partout on peut entendre des petits rires et des gens suffoquer. Je plaque mon visage dans le dos de tessa pour étouffé mon éclat de rire
- je te demande pardon
Molly est bouche bée
- tu m'a bien entendu, est ce que c'est vrai que tu n'es qu'une pute?
Afficher en entier- J'aimerais beaucoup.
Elle me sourit et prends le t-shirt que j'ai porté aujourd'hui au-dessus du panier de linge sale.
- Bien.
J'essaie d'avoir l'air détaché, mais je vois ses seins jaillir du balconnet en dentelle lorsqu'elle lève les bras. Arrête de mater. Doucement, elle veut y aller doucement. Je peux y aller tout doux... doucement... entrer et sortir de son corps. Bordel, qu'est-ce que j'ai ?
Afficher en entier- Peut-être que tu n'aurais pas dû autant boire.
- Je bois ce que je veux, pour les raisons que je veux, comme je veux et quand je veux. Merci.
Il lève les yeux au ciel et s'affale dans le fauteuil.
- Tu es chiante quand tu es bourrée.
Afficher en entier-Comment est-ce possible ? Ce qu’il y a de divin avec la lecture, c’est qu’on peut s’évader, on peut vivre des centaines de milliers de vies. Seuls les romans ont ce pouvoir, il n’y a qu’eux pour te changer de cette manière.
Afficher en entierIl s'est éloigné, essayant de ne pas la regarder, comme si elle était le soleil, puis il la vu, comme le soleil, même sans la regarder.
Afficher en entierHardin
Nous descendons de la voiture de mon père pour nous diriger vers la mienne.
- Je te vois à la maison, à plus.
Landon fait signe à Tessa.
Je le regarde et marmonne un gentil " Va te faire foutre" dans ma barbe.
- Laisse le tranquille!
Tessa monte dans ma caisse. Quand je suis à l'intérieur à mon tour, j'augmente le chauffage et lui jette un regard plein de reconnaissance.
- Merci de rentrer à la maison avec moi, même si c'est seulement pour la soirée.
Tessa hoche simplement la tête et appuie sa jour contre la vitre.
- Tu vas bien? Je suis désolé pour aujourd'hui, je...
Elle m'interrompt en soupirant.
- Je suis fatiguée.
Deux heures plus tard, Tessa dort à poings fermés dans le lit, serrant dans ses bras mon oreiller, les genoux repliés contre sa poitrine. M^me dans cet état, elle est à couper le souffle. Il est trop tôt pour que j'aille dormir, je décide d'aller chercher l'exemplaire d'Orgueuil et Préjugés qu'elle m'a offert. Il y a bien plus de Post-it jaunes que j'imaginais. Je m'allonge à côté d'elle et lis les passages qu'elle a noté. L'un d'entre eux attire mon attention :
"Il y a fort peu de gens que j'aime sincèrement, et encore moins que je puisse estimer; plus je vois le monde, moins il me plaît, et chaque jour me fait mieux juger l'inconstance du coeur humain, et combien il faut peu se fier à quelque apparence de mérite ou de bon sens."
Ca doit remonter aux débuts de notre relation. Je me l'imagine très bien, emmerdée et agitée, assise sur son petit lit de la cité U, un marqueur fluo dans une main, le bouquin dans l'autre. Je jette un regard vers elle et réprime un rire gentiment moqueur. En parcourant les pages, je vois des tendances se préciser; elle me méprisait. Je le savais à l'époque, mais le voir ainsi rappelé est étrange.
" Une alternative bien cruelle se présente à vous, Elisabeth; il vous faut être étrangère à l'un ou l'autre de vos parents; votre mère ne vous veux plus voir si vous refusez M. Colins, et moi je vous défends de paraître en ma présence si vous l'acceptez."
Afficher en entier« De quoi que soient faites nos âmes, la sienne et la mienne sont pareilles1. » Ça décrit parfaitement mes sentiments pour lui. Nous sommes si différents et pourtant exactement pareils, tout comme Catherine et Heathcliff. J’espère simplement que nous ne partagerons pas le même destin qu’eux.
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