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Commentaires de livres faits par Psychorizo

Extraits de livres par Psychorizo

Commentaires de livres appréciés par Psychorizo

Extraits de livres appréciés par Psychorizo

Elle pivota, essayant de se repérer. Son exploration lui avait fait faire quelques détours. Elle était venue par Rockbury Lane, qui devait se trouver là-bas sur la droite. Elle se dirigea vers l’esplanade, fit quelques pas… et aperçut le garçon blond juché sur son vélo.
Il venait droit vers elle, appuyant comme un forcené sur les pédales.
Cette fois, elle n’avait aucune chance de lui échapper.
Et tandis qu’elle hésitait sur la conduite à tenir, il se mit à décrire des cercles autour d’elle. Des cercles concentriques, de plus en plus rapprochés.
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Ma chère amie,
Tu ne me connais pas, mais je te connais. Depuis ton premier souffle, je t’observe. Tes espoirs, tes craintes et les fautes que tu as commises, je sais tout de toi. Je suis l’Observateur, le Greffier. Je suis aussi le Bourreau. L’heure de ton châtiment est venue. Écoute bien ; le sablier se vide inexorablement.
Au bas de cet avis, tu trouveras une liste de noms. Le tien est en haut. Il n’est attendu de toi, pour le moment, qu’un modeste témoignage d’obéissance. Une fois que tu auras rendu ce petit service, tu rayeras ton nom du haut de la colonne I pour l’inscrire au bas de la colonne II. Puis tu feras une copie de cette lettre et tu l’enverras à l’individu dont le nom figurera alors en tête de la colonne I. Les détails du service attendu de toi te seront donnés dans les petites annonces classées du Times, dans la rubrique « Personnel ». L’individu dont le nom suit le tien sur la liste devra recevoir sa lettre d’ici à cinq jours.
Tu peux parler sans contrainte de cette missive aux autres personnes de la liste. Comme moi, ce sont tes amis et ils sont au courant des fautes que tu as commises. Ne parle pas de cette lettre à qui que ce soit hors de cette bande. Si tu le fais, le crime que tu as commis cette nuit-là sera révélé au monde entier.
Si tu n’exécutes pas le petit service indiqué dans le journal ou si tu brises cette chaîne de messages, il t’arrivera malheur. Je t’aurai prévenue.
Bien sincèrement.
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— C’est incroyable ! Pendant la réunion, j’ai vu Justin en grande conversation avec Meg Dalton. Si jamais il sort avec elle, je le tue !
C’est drôle, cette menace idiote fut la première chose qui me vint à l’esprit deux jours plus tard, quand nous apprîmes que Kelly avait disparu.
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Je m’appelle Nicole Darwin, et je ne suis bonne à rien. C’est du moins l’impression que j’ai, ces derniers jours. Même l’arrivée du printemps – les tulipes jaunes et rouges tout juste sorties de terre, la brise douce et l’odeur enivrante de l’herbe fraîchement coupée – ne peut me remonter le moral.
Ma vie est une catastrophe.
Je me suis cassé un ongle en m’habillant pour aller au lycée, ce matin, et j’ai éclaté en sanglots
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J’ai dix-huit ans. Père désire que je me marie bientôt. Il attend que je me décide entre James et Hamilton, les deux seuls partis qu’il juge dignes de moi.
Mais est-ce que j’aime James ? Est-ce que j’aime Hamilton ?
Je les aime bien, se dit-elle.
Je les aime bien pour leurs qualités respectives. James pour son physique, son charme, son sens de l’humour. Hamilton pour son sérieux, son intelligence, ses attentions pour moi.
Mais aimer bien n’est pas aimer. Et ai-je réellement envie d’épouser l’un ou l’autre ?
Plongée dans ses pensées, écoutant le doux bruissement de la brise dans les magnolias, Angelica arpentait le jardin.
Sa stupeur fut telle qu’elle ne put pousser un cri quand deux mains la saisirent par-derrière.
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Il était si beau à la lueur de la lune.
Il allait l’embrasser.
Elle voulait qu’il l’embrasse.
Il ne prononça pas un seul mot. C’était inutile. Ces yeux noirs intenses, si graves, si magnétiques, ces yeux-là disaient tout.
Et soudain ses bras l’encerclèrent.
Son visage se rapprocha. Plus près.
Une fois de plus, le charme de son regard opéra.
Puis elle vit sa bouche s’entrouvrir.
Découvrant des crocs pointus.
Luisants et acérés, étincelants sous la lune.
Avec douceur, Mel lui souleva le menton.
Et planta ses crocs dans sa tendre gorge blanche.
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Une sangle de cuir lui ceignait le cou. Quelqu’un la serra d’un coup sec.
Un autre coup sec et elle se resserra un peu plus. Il cessa de se débattre.
Un rire sonore ébranla le silence suivi d’un nouveau coup sec. Jamie eut un haut-le-cœur. Sa gorge le brûlait. Sa poitrine était douloureuse. Il étouffait.
Il leva ses mains ligotées et les porta à son cou pour essayer de desserrer le lien de cuir.
Mais il ne parvint qu’à le serrer davantage. Il s’épuisa à se débattre jusqu’à ce que ses bras retombent de part et d’autre de son corps, inertes. Il fut secoué d’un dernier soubresaut, puis s’immobilisa totalement.
Un brouillard rouge voila sa vision, et l’atroce vérité le frappa de plein fouet.
Il allait mourir.
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Fran prit le courrier dans la boîte aux lettres.
Elle remarqua aussitôt l’enveloppe violette.
Son cœur faillit s’arrêter. Elle laissa tomber le reste du courrier et déchira précipitamment l’enveloppe d’une main tremblante. Elle commença à lire.
 
Ma chère amie,
Tu croyais me connaître, mais tu te trompais. Tu croyais que j’étais ton ami, mais tu te trompais. Je suis le véritable Rédempteur, et je vais m‘occuper de toi.
Lis bien attentivement…
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date : 22-04-2019
Il n'y a rien de plus fort que l'âme . Si tu restes , je t'apprendrai à la faire revenir dans un corps mort . Je te révélerai comme elle peut tout soigner . Je te montrerai le pouvoir qui est le nôtre .
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date : 14-02-2019
Ces images, ce sont celles d’un peuple simple, bon et poli, avec l’exacte dose des exceptions requises pour que la vertu en acquière quelque relief. Il aimait les deux ou trois petits métiers essentiels qui lui assuraient la subsistance, les délassements de coût modeste comme le jeu de boules,le jeu de piquet, les frairies à la fois sacrées et profanes de la ducasse. Malicieux sans acrimonie, il cultivait le bon mot, la taquinerie pétillante, la farce, parfois énorme, mais jamais vexante, encore moins cruelle. Accueillant et serviable pour le petit monde des douaniers et gendarmes que le mouvement administratif envoyait et renouvelait en ses villages – tous et fatalement frontaliers – il l’adoptait et l’assimilait, si bien qu’un départ en devenait presque toujours un déchirement. En ce pays de glèbe ingrate et de ciel âpre, les gens portaient dans l’âme toutes les grâces qui séduisent et attachent.
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date : 29-07-2018
Dès qu’il eut posé ses yeux sur sa mère, si vieille et si triste, il comprit que la Maison de Hood leur avait joué un tour, un terrible tour. Car chaque journée qu’il avait passé là-bas valait une année dans le monde réel. Chaque matin, alors qu’il jouait au soleil printanier, il s’écoulait des mois. Même chose l’après-midi, tandis que la chaleur les écrasait. Et ces crépuscules sinistres, qui lui paraissaient si brefs, étaient un autre trimestre, tout comme ces nuits de Noël pleines de neige et de cadeaux. Le temps coulait avec une telle facilité, mais pendant qu’il passait un mois dans l’univers de Hood, ses parents avaient vécu trente et une années de tristesse, croyant leur fils perdu à jamais.

Et il s’en était fallu de peu. S’il était resté dans la Maison des Illusions, distrait par ses plaisirs futiles, une vie entière se serait écoulée dans le monde réel et son âme serait devenue la propriété de Hood. Il aurait rejoint les poissons qui tournaient dans le lac et passé l’éternité à sillonner ses eaux glauques. Cette idée le fit frissonner.

— Tu as froid, mon petit, dit sa mère. Rentre donc à l’intérieur.

Il renifla et essuya ses larmes du plat de sa main.

— Je suis si fatigué, dit-il.

— Je vais faire ton lit.

— Non, avant de dormir, je vais vous raconter ce qui m’est arrivé. C’est une longue histoire. Elle dure trente et un ans.
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