Commentaires sur ses livres

J'ai beaucoup aimé cette bande-dessinée, pratiquant moi-même la danse.
Elle montre bien les réalités et les difficultés de cet art, l'exigence des ballets russes. Le personnage de Polina est très attachant, elle est forte, douée et courageuse. On nous montre une grande partie de sa vie et de sa carrière.
Le graphisme n'est pas très net mais incroyablement gracieux, et cela n'empêche absolument pas le scénario d'être génial !

En conclusion, tout le monde peut lire cette bande-dessinée pour découvrir ou bien en apprendre plus sur le monde de la danse, qui n'est pas seulement formé de jolis tutus et qui n'est pas toujours rose...

Une BD très sympa, très jolie graphiquement parlant. L'histoire est sympa, plutôt mignonne, mais la fin trop brusque ne m'a pas vraiment plu. Peut-être est-elle trop réaliste ?

Perplexe, c'est mon sentiment après avoir lu cette BD. Je comprends bien l'histoire de base, une jeune femme qui manque cruellement de confiance en elle et qui par le biais d'un vêtement gagne cette confiance. Pour ma part après tout est parti un peu dans tous les sens, tromperie, attentat ... Et la fin aussi me laisse perplexe, je ne sais pas trop quoi en penser !

Avec cette BD, dont j'ai beaucoup entendu parler, j'ai découvert les traits de Bastien Vivès. Ils sont très beaux, très simples, épurés; et correspondent très bien avec l'univers de la danse décrit ici. Il y a quelques cases magnifiques, où on voit juste un corps blanc fuselé dans un univers de gris -à ce moment là, on retient sa respiration.

Je ne suis pas du tout familière de l'univers de la danse; néanmoins c'est quelque chose que j'aimerais découvrir. Cette BD m'a offert un aperçu de ce monde, qui n'en devient que plus attirant.

On suit donc l'histoire de Polina, depuis son adolescence jusqu'à... je dirais jusqu'à ce qu'elle soit apaisée. Je ne connaissais pas du tout son histoire, mais j'ai pris grand plaisir à la découvrir. C'est un personnage qui ne sait pas très bien où elle en est, qui cherche un peu toujours ses marques. C'est un personnage très touchant.

Une belle découverte donc, en ce qui me concerne :)

Je n'ai absolument pas compris la fin. Je ne sais pas si c'est parce que finalement, il n'y en a pas vraiment et c'est à nous, lecteurs, de l'imaginer, ou si il y en a une, mais que je n'arrive pas à l’interpréter. C'est vraiment frustrant, parce que la réponse à la seule question que l'on se pose pendant tout la BD, on pense la toucher du doigt, presque l'atteindre, et hop, c'est la fin de la BD.
Donc, finalement, je n'arrive pas vraiment à savoir si j'ai aimé ou pas. Parce que j'ai un sentiment d'inachevé, comme si je n'avais pas fini cette BD, et comme si tout ce que j'y avais lu n'avait pas servit à grand chose, puisque à la fin, on a pas la conclusion.
Ceci dit, c'est une bande dessinée qui se lit très très vite, du fait que le peu de dialogue qu'il y a ne fasse pas plus d'une dizaine de mots à chaque fois. Elle est agréable à lire malgré tout. Même si les mouvements du corps dans l'eau sont parfois peu précis, peu réalistes, et un peu bâclés.

Beaucoup d'images pour peu de texte. Dommage donc, que les images ne nous renseignent pas toujours sur les émotions et les pensées des personnages. La fin m'a laissée perplexe, presque sur ma faim en fait.

Une BD qui semble inspirée d'une mauvaise blague graveleuse entre potes (des gros seins, des grosses bites, hohoho). Le ton se veut décalé mais je ne suis pas sûre que ce soit la meilleure façon de parler de viol - comme d'une blague.
Lecture dispensable.

Très déçue par cette bande-dessinée. Aucune profondeur dans l'histoire. Des personnages plats. Une histoire "d'amour" glauque (non, suivre une femme pendant des mois parce qu'elle lui a tapé dans l’œil ce n'est pas de l'amour, c'est être un énorme psychopathe).
Une fin somme toute banale au plus haut. Et niveau graphisme heureusement qu'il y a eu de l'évolution entre temps...

Très creepy comme album. De très jolies illustrations, mais elles sont aussi malaisantes.

J'ai du la lire en dix minutes, c'est assez perturbant, mais j'aime bien le côté ironique de la bd, le fait qu'elle se moque grossièrement. A ne pas mettre entre toutes les mains, vraiment X)

L'histoire est vraiment rapide, c'est un peu l'équivalent d'une nouvelle en bande-dessinée...

Oui…
Je ne sais trop que penser de ce livre…
On a des dessins aux contours un peu flou, fluctuant, avec des couleurs en nuances de noir et gris, des traits doux et ronds… C’est agréable à suivre, comme un rêve, un souvenir, un dessin qui correspond bien au récit…
Celui-ci, pourtant, reste une tranche de vie, quelques semaines avec un gamin et ses premiers émois pendant les vacances, la découverte d’un monde adulte…
Et si c’est bien fait, je dois avouer avoir lu ça comme une anecdote qu’on me raconte et qui ne m’intéresse pas beaucoup…
Plein de thèmes sont abordés : la fausse couche, les premières amours, la découverte du monde des adultes, la mort au final… Et pourtant, tout semble glisser sur le protagoniste.
Jamais de grands cris, de drames, de pleurs…
Antoine reste globalement très passif dans tout ce qui se passe et, du coup, rien ne m’a vraiment touché, ému, interpellé.
Je l’ai lu et puis voilà, un peu comme un fait divers…
Bien mais sans plus.

Une bande dessinée nostalgique sur le thème des vacances et des premiers amours. Le graphisme est délicat, ébauchant à peine parfois les traits du visage comme si le souvenir de la jeune fille désirée s'estompait dans son souvenir.

J'ai beaucoup aimé les illustrations mais pour l'histoire, j'ai trouvé que cela présentait peu d'intérêt.
Un film vient d'être adapté, je me demande comment il tient la longueur.

En conclusion, une bande dessinée sympathique mais sans plus.

Une excellente BD de combats.
On sent vraiment l'influence shonen, que ce soit dans l'histoire ou les plans très dynamiques, sans toutefois se reposer bêtement dessus et nous offrir un énième machin prémâché et sans personnalité comme c'est bien trop souvent le cas.
On sent également l'influence du métier respectif de ses auteurs, storyboarders, dans le trait du dessin. Les graphismes sont très proches de l'esquisse, ce qui leur donne beaucoup de mouvement.