Christos Tsiolkas

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Il y a certains livres, on ne sait qu’à la toute dernière page qu’ils nous ont profondément marqués. Puis, il y a des livres comme Barracuda, où il suffit de lire un seul chapitre pour le savoir : ce livre ne nous laissera pas indemne. Ce roman nous touche, nous remue dès les premiers mots. Dès le départ, le roman se démarque par la structure même du récit. On suit en parallèle le présent du personnage principal, Danny, et son adolescence. C’est toute sa vie qui défile devant nos yeux.

Au fil des pages, on découvre un garçon perdu, coincé dans « l’entre-deux », entre deux univers opposés. Dans son lycée privé, où il n’est là que grâce à sa bourse, Danny est seul. Il se forge alors une carapace et se jette corps et âme dans la natation. Il ne nage pas. Il vole. Et porté par la main de maître de l'auteur, on vole avec lui.

On comprend vite que la piscine est l’exutoire de Danny, sa seule échappatoire aux moqueries et aux dédains que lui accordent les autres lycéens. Nager devient vite une nécessité. C’est un personnage dont j’ai beaucoup apprécié la force de caractère : c’est un battant qui ne voit son avenir qu’aux JO. Pourtant, il se perd tant dans la compétition que l'on se dit que, inexorablement, il va craquer…

Danny ne voit pas son avenir sans eau, et pourtant, dans le présent qui nous est décrit, il n’est pas le nageur exceptionnel qu’il souhaitait être. En effet, c’est un adulte brisé que l'on découvre, et qui ne nage plus du tout. On sent que quelque chose de grave s’est passé durant son adolescence, mais on redoute de savoir quoi… Le contraste est frappant entre le Danny du passé, qui a des rêves plein la tête et des ambitions démesurées, et le Dan du présent qui est brisé et dévoré par la honte et la culpabilité. Que s’est-il passé ? On essaie de deviner comment Danny a pu en arriver là. Les pièces du puzzle s’assemblent petit à petit, nous tenant en haleine jusqu’au bout.

Il y a une violence difficilement contenue dans ce roman. Un mélange de violence et de souffrance qui vous prend à la gorge, sans jamais vous lâcher. Même après avoir refermé ce roman, Barracuda hante vos pensées.

Si vous devez lire un seul livre de la rentrée littéraire, c’est bien Barracuda.

Il vaut le détour.

Je ne sais pas si j'aime ce livre. Le style est simple et familier. Par contre la forme est intéressante, un chapitre égal un personnage et sa pensée.

Sujet est intéressant, comment un incident peut totalement bouleversé une famille, des amitiés...? Mais roman un peu long avec beaucoup de personnages début (j'ai fait une fiche) et des actions qui n'apportent rien à la trame. Je voulais juste savoir comment cette histoire allait se finir, mais je suis restée un peu sur ma faim.

Une fois encore, je me suis laissée prendre au thème classique cher à la littérature américaine: un enfant issu d'un milieu plus que modeste est propulsé dans un collège de haut niveau parce que l'on perçoit en lui un future médaille d'or au niveau sportif. Il se retrouve dans un milieu qui n'est pas le sien, avec tout ce que cela suppose de harcèlement, de brimade, d'ironie, voire même parfois de malveillance. Evidemment, il n'atteint pas le niveau espéré et c'est l'effondrement avec comme toujours des conséquences dramatiques. L'étude psychologiques des différents intervenants est parfaite et la fin peut parfois tirer un petite larme d'un lecteur attentif. L'amérique nous présente environ tous les deux ans un livre sur ce sujet avec très souvent avec très souvent une étude très intéressante sur ce sujet.

J'ai beaucoup aimé la construction de ce livre, un chapitre par personnage. On a le point de vue et le ressenti de chaque personnage pour la même scène vécue. Le thème est à la fois universel et original. Personnellement j'ai adoré!

Il n'y a pas de doute ce roman est extrêmement bien maîtrisé.

Et pourtant il m'a manqué quelque chose pour en faire un coup de cœur. Le sujet est peut être trop classique. Un pauvre dans une école de riche qui doit se faire sa place dans un monde qui ne fait pas de cadeau. Ce thème déjà vu et revue n'est pas abordé de manière novatrice. Dommage.

Sinon l'histoire est prenante, on aurait envie que Danny, bien qu’antipathique, réussisse. On a envie de le secouer, de faire ouvrir les yeux a ce personnage égocentrique.

Un roman sympathique à qui il manque un souffle, une rage, qui aurait pu renouveler le genre.

J'ai arrêté ce livre après environ 20% car je l'ai trouvé très malsain, Spoiler(cliquez pour révéler)tous les hommes qui ont des érections en matant des adolescentes et n'en ressentent pas de gêne m'a grandement déranger au point que j'ai préféré cesser ma lecture.

Garry le père de Rocco donne une gifle au petit Hugo âgé de 4 ans lors d'un barbecue familial et ce geste va provoquer un séisme dans cette famille.

Ce roman choral est parfois dérangeant car l'auteur emploi des mots durs et parfois "crus".

L'écriture est directe, sans fioriture et certains passages peuvent choquer.

Il faut parfois s’accrocher et l'on peut être tenté de refermer le livre.

On aime ou l'on n'aime pas mais ce roman ne laisse pas indifférent.

Ce roman est criant de vérité et on ne peut nier que c'est une brillante étude de notre société moderne et de la dégénérescence de notre civilisation.

Ce roman frappe juste et parfois, c'est vrai, ça fait mal et cela peut déplaire !

Il n'est ni lisse, ni convenu, c'est un grand roman contemporain.

On y retrouve tout les sujets qui dérangent : le racisme "ordinaire", l'enfant-roi, l'argent-roi, les relations familiales délicates, l'alcoolisme, la télé-reine.

Ce roman est difficile, dur mais réaliste et après l'avoir lu, lorsqu'on ferme le livre, on trouve matière à réfléchir.

Au cours de la lecture de ce livre qui fait 500 pages, je me suis arrêtée à de nombreuses reprises, j'ai réfléchi et en cela, moi, ce roman, je l'ai trouvé fabuleux !

Ce roman nous tiens sur la brèche, nous fait réfléchir, nous provoque, nous interpelle, pour tout cela c'est une lecture passionnante que je vous recommande.

J'avais lu plusieurs livres de cet auteur; ils m'ont toujours plu tant par l'écriture que par le thème. Ici, il s'agit de nouvelles, le ton va crescendo pour terminer par la porno à l'état pur à travers des scènes de la vie de tout les jours, scènes qui ne manquent pas d'une certaine émotion. Pour ceux que ce genre intéresse.

j essai en général de faire un petit effort pour mes commentaire mais j avoue que la a pars dire que je n est pas apprécier se livre que je l es trouvé ennuyeux et que je me suis forcé a le finir j avoue ne pas savoir quoi ajouter

J'ai adoré suivre la vie, durant quelques jours, dans la peau des différents personnages

Un très bon et beau roman qui parle d'alcoolisme, de jeunesse, de sexualité, de mariage...