Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
715 833
Membres
1 019 215

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode
Lire la suite...
Par Parthenia le 2 Mai 2017 Editer
Parthenia
J'avais découvert Thyia de Sparte à sa sortie, en 2004. La première et la quatrième de couverture m'avaient enthousiasmée, aussi, avais-je aussitôt acheté le bouquin que j'avais dévoré en deux jours. Quand on est fan d'histoire ancienne, difficile de résister à une telle tentation, surtout quand l'intrigue se déroule dans la Grèce ancienne du Vème siècle avant notre ère, période pas très souvent abordée en littérature à l'époque de mon achat... L'immersion avait été totale et le personnage d'Anaxagore juste "Rhââ lovely" !!!( En plus c'est un chevelu, que demander de plus ?...).
Du coup, quand ma binômette Cassie m'a proposée une lecture commune ai-je accepté avec un immense plaisir... d'autant que cela faisait des années que je ne l'avais pas relu (oui, j'adore lire et relire et re-relire les livres qui m'ont marquée, et celui-ci faisait parti de mes livres-doudou, avec Les Enfants de la Terre d' Auel).
J'ai donc savouré cette relecture. J'adore toujours autant le foisonnement de détails historiques qui s'intègrent parfaitement à l'histoire, nous immergeant complètement à cette époque lointaine, et ce, sans aucune lourdeur...
Et j'ai bien sûr à nouveau succombé pour la belle brute blonde ! Comment résister à ce personnage fascinant et mystérieux ? Et pourtant, au début, le portrait qu'en donne l'héroïne n'est pas vraiment flatteur. Le lecteur est en effet tributaire de la vision toute personnelle que Thyia porte sur l'orgueilleux guerrier spartiate, qu'elle juge arriviste, violent et auquel elle ne pardonne pas l'influence néfaste qu'il semble exercer sur Brasidas, son frère chéri.
Des circonstances dramatiques vont pousser la jeune fille à entrer sous une fausse identité au service d'Anaxagore pour mieux l'approcher et s'en venger. Or, au contact de son nouveau maître et de ses familiers, elle va aller de cruelles désillusions en révélations fracassantes, qui vont ébranler profondément ses préjugés.
C'était absolument passionnant de découvrir la personnalité du Spartiate en même temps que sa plus fervente ennemie. Des pans de son passé et de ses rêves brisés nous sont révélés, le rendant terriblement attachant.
Par contre, j'ai trouvé quelques longueurs dans la deuxième partie du roman, quand Anaxagore est enlevé et que ses amis se lancent à sa recherche. J'avais l'impression que tout s'enchaînait trop vite, rendant invraisemblables certaines situations !

Pour conclure, un roman palpitant qui nous transporte littéralement dans cette Sparte de l'Antiquité. A condition d'accepter le postulat de départ : une jeune fille travestie en homme arrive à vivre parmi des guerriers en jupette sans se faire démasquer (cela aurait été plus logique, vu l'époque et l'éducation spartiate, que le rôle de Thyia soit tenu par un jeune homme !). Personnellement, j'y ai adhéré sans conteste. Les personnages principaux comme secondaires ont tous quelque chose d'intéressant à montrer. J'ai d'ailleurs beaucoup apprécié Herpys et Méandre, deux protagonistes atypiques et attachants.
Bref, une relecture délicieuse. Et franchement, cet Anaxagore, quel homme !
A propos du livre :
Thyia de Sparte
Thyia de Sparte
Par Lunedy le 21 Février 2017 Editer
Lunedy
Efficace et rythmé.

On ne s'ennuie pas devant, l'intrigue est bien développé et construite. L'auteur m'a surpris à plusieurs reprises même si je m'attendais à certains rebondissement. Les personnages sont très ambigu, bien construit et on entre facilement dans ce livre. Sans être un des " grands " du genre il fait parti de ceux qu'on lit avec plaisir.

Un bon moment en perspective.
A propos du livre :
Accès refusé Erreur 403
Accès refusé Erreur 403
Par Parthenia le 31 Janvier 2017 Editer
Parthenia
J'avais découvert l'auteure en 2004 avec Thyia de Sparte (que j'avais adoré), puis j'avais dévoré dans la foulée Moi, Sporus, prêtre et putain ainsi que Le César aux pieds nus. Malheureusement, j'avais un peu perdu de vue l'actualité littéraire de Cristina Rodríguez, et c'est Cassie qui m'a donné envie de me replonger dans son univers à travers son billet sur le couple inoubliable formé par Kaeso et sa panthère Io !
Or donc, Kaeso Concordianus Licinus vient de passer onze mois dans les geôles de Rome suite aux manigances de Séjan, préfet du prétoire. Spolié de ses biens, il est obligé d'accepter la charge de centurion de la milice à Pompéi grâce à l'intervention de Nerva, un ami de son défunt père. Ayant perdu tous ses appuis au sénat et à la cour en étant condamné, Kaeso ne peut faire la fine bouche, même si cette mutation est vécue comme une rétrogradation : non seulement, Pompéi est une ville réputée pour sa tranquillité (horreur absolue pour ce jeune officier de 30 ans impétueux !), mais les hommes qui composent sa troupe apparaissent comme un ramassis d'incapables, indisciplinés et crasseux !
A peine a-t-il installé sa mère Hildr chez dame Olconia, une amie de sa cousine Concordia (jeune mondaine romaine amoureuse de lui et décidée à l'épouser), qu'il est appelé sur les lieux d' un 1er meurtre, commis sur la personne de Syagros, un artisan talentueux mais alcoolique ; quelques heures plus tard un 2è corps est retrouvé dans la crypte du temple d'Isis.
Septimus, préfet de la ville, est convaincu qu'aucun lien ne réunit ces deux meurtres, mais lorsque Kaeso exhume une affaire de fausse monnaie de grande envergure survenant au moment où l'empire souffre de manque de liquidités, il ne fait plus aucun doute qu'un complot, mouillant de hauts personnages de l'empire, ne vise à déstabiliser le pouvoir.

Les meurtres s'enchaînent à un rythme effréné, une rumeur calomnieuse est répandue sur Kaeso visant à le décrédibiliser, sa mère, prêtresse et guérisseuse barbare, est jetée en prison sur une accusation de sorcellerie.
Bref, le ou les comploteurs mettent tout en oeuvre pour empêcher Kaeso de remonter jusqu'au cerveau de la conjuration !

Je dois avouer que ce n'est pas l'intrigue en elle-même qui m'a intéressée, n'étant pas familière du genre, mais cette immersion totale dans la Rome du Ier siècle de notre ère. L'auteure nous entraîne aussi bien dans les quartiers mal-famés de Pompéi que dans les villas des riches patriciens en des tableaux extrêmement vivants et réalistes, nous restituant non seulement les couleurs mais aussi les odeurs (et même les tics nerveux de démangeaison quand le héros a la malchance de croiser un personnage mangé par la vermine !^^).

En outre, Cristina Rodríguez nous offre une galerie de personnages variés et suffisamment caractérisés pour éveiller notre intérêt (voire notre attachement !).
Kaeso est un officier déchu et offensé dont la droiture et la loyauté lui ont attiré de puissants ennemis, et comme si cela ne suffisait pas, il doit tenir à distance sa jeune cousine Concordia aussi entreprenante à son égard qu'envahissante.
Sa mère Hildr est une princesse barbare méprisée par l'aristocratie pour ses origines mais d'une grande force de caractère.
Sa panthère apprivoisée Io se prend pour un chien quand elle ne fait pas fuir ses conquêtes potentielles par accès de jalousie !
Et même la milice dissipée nous révèle des personnages attachants dans leur genre : Marcus, le quadragénaire bedonnant mais fidèle, Ludius, le jeune aveugle dévoué, Castor et Pollux les jumeaux que leur nouveau chef n'arrive pas à différencier, le discret Aulus, le jeune esclave Alexis tombé sous le charme de son maître....

Mais personnellement, celui qui m'a le plus touchée est indéniablement Donar, le garde germain (que voulez-vous, je ne pouvais résister à un beau barbare chevelu) qui ne cesse pourtant durant tout le livre d'être malmené et ridiculisé par son maître Caligula ; le futur empereur est désormais menacé à cause son statut de dernier héritier potentiel de Tibère, son frère aîné Néro, qui était le meilleur ami de Kaeso, ayant été assassiné et son frère Drusus emprisonné. Dans ce tome, Caligula prête main forte à Kaeso pour déjouer le complot, et son caractère instable et dangereux commence à émerger.
J'aurais tout de même quelques réserves à émettre : je n'ai pas été convaincue par le rôle de médecin légiste endossé par Hildr, trop anachronique à mes yeux ; en outre, j'aurais aimé que certains éléments de l'intrigue afférents aux divers meurtres soient plus développés et expliqués.

Mais fait plus qu'appréciable, le lecteur est entraîné dans une Pompéi antique qui échappe à l'éruption du Vésuve (le dieu forgeron Vulcain qui loge en ses entrailles en soit remercié !)

Pour conclure, une enquête haletante menée tambour battant par un très fringant et très séduisant héros (même si mon coeur a craqué pour son alter ego germain, que j'espère d'ailleurs voir apparaître dans le prochain tome et d'une manière plus assidue), le tout saupoudré d'humour. Je suivrai les suites de ses aventures avec beaucoup de plaisir !
A propos du livre :
Les mystères de Pompéi
Les mystères de Pompéi
Par Parthenia le 31 Janvier 2017 Editer
Parthenia
J'ai été ravie de retrouver Kaeso et sa panthère Io, même si j'ai mis plus de temps que prévu pour me procurer ce 2ème tome, d'autant que le fait de savoir que mon chouchou serait quasi - voire totalement - absent ne m'y avait pas plus encouragé que cela !!^^

Or donc, après la chute de Séjan, Kaeso a retrouvé sa place au sein de la garde prétorienne dans la Ville éternelle. Adieu douce Campanie et milice dissipée...

Malgré sa réhabilitation, les ennemis de Kaeso n'ont pas pour autant disparu et les survivants des purges impériales œuvrent dans l'ombre pour se venger de lui... Mais l'attention du fringant centurion est bientôt accaparée par le meurtre d'un gladiateur. Son cadavre, retrouvé devant la demeure palatine du mystérieux oracle d'Apollon fraîchement débarqué de sa province, Apollonius, est affreusement mutilé, cependant, le meurtrier a pris le soin pieux de cacher sous sa langue l'obole à Charon. Peu après, un deuxième crime est commis selon le même mode opératoire mais sur la personne d'un sénateur romain, Publius, joueur invétéré et couvert de dettes. Les deux meurtres semblent liés et les investigations de notre prétorien préféré vont le conduire des riches demeures patriciennes aux tavernes de Subure et maisons de gladiateurs où des combats clandestins ont lieu, malgré l'interdiction qu'en a faite l'empereur Tibère...

Nous retrouvons ici certains personnages du tome 1 : Concordia, la cousine de Kaeso, toujours aussi éprise de lui et envahissante, Hildr, la mère du héros, princesse bructère méprisée par l'aristocratie romaine, Hod, le bel officier de la garde germanique, Ludius, le jeune aveugle dévoué de Pompéi qui a suivi Concordia jusqu'à Rome pour entrer à son service et Caligula, bien sûr, qui est devenu questeur et dont le nom est indirectement associé au réseau de paris clandestins...

Et ô joie ! ô surprise, Donar apparaît au tiers du livre, et le chapitre 5 lui est presque entièrement consacré... moi qui croyais que j'aurais dû attendre le tome 3 pour le retrouver... En outre, on en apprend davantage sur ses états d'âme et sa relation avec Néron, le frère de Caligula, dont il a reçu les derniers mots au moment de sa mort... autant vous dire que j'étais aux anges... Bref, poursuivons la présentation des protagonistes...

De nouveaux personnages apparaissent dont on devine que certains joueront un rôle au tome suivant : le mystérieux et séduisant oracle d'Apollon, Apollonius, et son impressionnant serviteur nubien Malah, Mnester, le touchant mime amant de Ludius, les parents de Concordia, Torquatus le père bienveillant et Marcia l'insupportable matrone affligée de snobisme...

Comme pour le tome précédent, j'ai trouvé que, même si l'enquête est au cœur de l'intrigue, sa résolution arrive finalement assez abruptement, avec des événements qui se précipitent vers la fin... Par contre, je ne m'attendais pas du tout à la scène finale qui semble appeler une suite...

Ce que j'ai le plus apprécié, c'est que l'auteure nous présente sans complaisance la société romaine et ses mœurs. D'ordinaire, les romans se déroulant dans la Rome antique traitent soit des gentils chrétiens persécutés sous le règne du méchant Néron (et franchement j'ai eu ma dose, même si ces dits romans étaient de qualité) soit à Pompéi durant l'éruption du Vésuve (et là aussi j'ai eu ma dose), et à chaque dans la soie et le confort des familles patriciennes ou impériales !!! Mais là, nous pénétrons également dans le quartier mal-famé de Subure où les conditions de vie sont très difficiles voire cruelles, que ce soit pour le petit peuple ou (et surtout) pour les esclaves, dont certains sont poussés à se prostituer par leur maître... C'était très appréciable que la voix soit donnée aux laissés-pour-compte ou parias de la société romaine. En outre, j'ai trouvé très intéressant le thème de ce tome, à savoir la corruption et les combats clandestins de gladiateurs avec leurs paris truqués...

Par contre, j'aurais quelque réserve à émettre : à de rares moments, l'abondance de dialogues m'a un peu gênée dans ma lecture, et parfois je ne savais plus qui parlait...

Pour conclure, une enquête captivante menée avec brio par notre fringant prétorien ! Le monde décrit par Cristina Rodríguez est violent (et pas seulement à cause des meurtres), mais les passages saupoudrés d'humour apportent une bienheureuse légèreté à la cruauté de certaines situations (la punition que Kaeso inflige à sa cousine et la déconvenue de l'artiste infatué dont il requiert les services m'ont fait mourir de rire) ! Encore une immersion très agréable et bien documentée dans cette Rome du Ier siècle de notre ère... J'en redemande !
A propos du livre :
Meurtres sur le Palatin
Meurtres sur le Palatin
Par PtitLoupe le 3 Septembre 2016 Editer
PtitLoupe
Très bon roman sous la magnifique plume de Cristina Rodriguez.
A propos du livre :
Le baiser du banni
Le baiser du banni
Par selectionlivre le 18 Mai 2016 Editer
selectionlivre
Eh bien je n'ai pas aimé. Soporifique, lourd et...gonflant.
A propos du livre :
L'Amazone du Taygète
L'Amazone du Taygète
Par Louisev le 13 Mars 2016 Editer
Louisev
Je ne peux pas dire que j'ai apprécié, ni détesté. J'ai bien aimé les personnages, en particulier Thyia. Le milieu historique m'a plu. On apprend beaucoup sur le mode de vie des spartiates. Mais j'ai trouvé ça long, vraiment long. On se perd un peu avec le surplus de personnage et vers la dernière partie du livre, je ne cherchais qu'à terminer ce livre et à le refermer. Ce que j'ai réussi à faire en bâclant quelques passages.
Pourtant l'histoire était bien pensée, je pense qu'à partir de
Spoiler(cliquez pour révéler)
la disparition d'Anaxagore et Thyia qui le recherche partout
je me suis lassée de l'histoire qui ne m'avait déjà pas tant transporté que ça.
Ce n'est pas un livre que je conseillerai, à part aux grands passionnés de Sparte.
A propos du livre :
Thyia de Sparte
Thyia de Sparte
Par Louisev le 13 Mars 2016 Editer
Louisev
Je ne peux pas dire que j'ai apprécié, ni détesté. J'ai bien aimé les personnages, en particulier Thyia. Le milieu historique m'a plu. Mais j'ai trouvé ça long, vraiment long. On se perd un peu avec le surplus de personnage et vers la dernière partie du livre, je ne cherchais qu'à terminer ce livre et à le refermer. Ce que j'ai réussi à faire en bâclant quelques passages.
Ce n'est pas un livre que je conseillerai, à part aux grands passionnés de Sparte.
A propos du livre :
L'Amazone du Taygète
L'Amazone du Taygète
Par PrincesseSerenity le 29 Octobre 2015 Editer
PrincesseSerenity
Lu pour la 2eme fois après quelque mois d'écart entre les deux lectures, je n'ai pu que dévorer à nouveau le livre et l'histoire biographique de Sporus qui en aura vécu aussi bien dans son malheur que dans son bonheur !

Condamné à une vie de misère, Sporus va se retrouver au milieu des galles sans pour autant subir un sort différent de ce qu'il vivait avant d'en arriver là.... Après tout être un esclave n'est pas facile et encore moins quand Néron portera son regard sur sa personne. Haï par tous au début, apprécié par beaucoup à la fin, la vie de Sporus n'est qu'une balance entre les gens cultivés et aisés sans compter son meilleur confident qui lui cache certaine chose .....

Une superbe histoire à mon humble avis qui ne cessera de me ravir .... pour encore de long mois.
A propos du livre :
Moi, Sporus, prêtre et putain
Moi, Sporus, prêtre et putain
Par Kysmeth le 28 Octobre 2015 Editer
Kysmeth
Je viens de terminer ce roman que j'ai lu sous le titre de "L'Amazone du Taygète" et je dois avouer que je suis tellement triste de l'avoir terminé aussi rapidement.
Ce livre m'a pris totalement par surprise, et je l'ai beaucoup apprécié.
Les principaux personnages sont bien campés et profonds. On y relate l'histoire d'une jeune Spartiate, Thyia, qui au fil de l'histoire perd ses nombreux préjugés. J'ai trouvé très intéressant d'apprendre le système Spatiate, à savoir leur code de l'honneur et leur société si différente.
Les coups rebondissants de l'intrigue m'ont tenue en haleine et je ne me suis pas ennuyée une seule seconde.

Définitivement, sur ma liste de livres préférés et à recommander!!!
A propos du livre :
Thyia de Sparte
Thyia de Sparte
Par cam881995 le 1 Juillet 2015 Editer
cam881995
Cristina Rodriguez délaisse ces romans historiques un peu osés et nous offre un thriller original qui mêle fantôme et maison hantée aux affrontements de deux grandes familles rivales. Non, nous ne sommes pas chez les Capulets et les Montaigus. Ici il s'agit de savoir qui des deux familles va payer le prix fort pour retrouver les restes de deux anges déchus. Original, oui, quoique un peu tiré par les cheveux pour ma part...Trop d'esprits parleurs, trop de manoirs, trop de codes familiaux.
Toutefois, les personnages hauts en couleurs, profonds et décris avec finesse comme toujours, les descriptions glaçantes et les négociations haletantes qui se déroulent dans plusieurs pays, donnent une dimension vraiment mondiale à l'intrigue et rattrape le tout!
L'histoire se termine un peu bizarrement, mais laisse le lecteur libre d'imaginer la suite qu'il veut.
A propos du livre :
Le baiser du banni
Le baiser du banni
Par Inukisama le 11 Juin 2015 Editer
Inukisama
J'ai lu ce roman avec un plaisir immense, et impossible de le lâcher avant d'arriver à la fin (c'est pourtant un impressionnant pavé) !

L'intrigue est riche en rebondissements et suspense, je suis tombée sous le charme des personnages et surtout de Thyia, indépendante et forte, puis amoureuse, passionnée et déterminée. La narration était dynamique, entraînante, captivante.

L'introspective dans la vie des citoyens de Sparte, notamment ses guerriers formés à l'art de la guerre, pétris de croyances et de principes, m'a fascinée. Aux côtés de Thyia, nous suivons l'armée des 300 aux Thermopyles, nous voguons vers de nouveaux rivages exotiques, nous rencontrons des personnages tous aussi attachants les uns que les autres (parfois même très loufoques), que du bonheur !

Je me suis régalée de ce récit riche et conséquent, d'autant plus qu'il y avait de quoi lire ;)
A propos du livre :
Thyia de Sparte
Thyia de Sparte
Par Joyeux-Drille le 5 Mars 2015 Editer
Joyeux-Drille
La vie d'un personnage réel et méconnu, né esclave et qui va, parfois malgré lui, gravir les échelons pour intégrer la cour de Néron. C'est aussi un portrait de cet empereur que nous propose l'auteure, sans manichéisme, mais sans éluder les côtés sombres. C'est surtout un roman sur des solitudes qui se croisent et des destins insatisfaisants qui s'unissent. Comme si tout avait été écrit à l'avance.

http://appuyezsurlatouchelecture.blogspot.fr/2014/03/le-destin-coutume-de-donner-detranges.html
A propos du livre :
Moi, Sporus, prêtre et putain
Moi, Sporus, prêtre et putain
Par Joyeux-Drille le 5 Mars 2015 Editer
Joyeux-Drille
Un thriller ésotérique qui ne se contente pas d'aligner les conspirations, comme c'est souvent le cas, mais offre une vision "spirituelle" alternative extrêmement culottée. Qui sont les anges et qui les commandent ? Qu'attendent-ils des hommes ? Deux camps, deux clans s'affrontent mais ont-ils vraiment une idée des enjeux ? Au milieu, Dalach joue les traits d'union, ambivalente à tous les niveaux.

http://appuyezsurlatouchelecture.blogspot.fr/2013/05/concevoir-le-diable-comme-un-partisan.html
A propos du livre :
Le baiser du banni
Le baiser du banni
Par kaminari le 23 Décembre 2014 Editer
kaminari
Une bonne surprise. Je connaissais jusqu'ici Cristina Rodríguez par ses fictions publiées sous le pseudonyme de Claude Neix, qui peuvent s'avérer riches sur le plan de l'imaginaire mais sont rarement bien écrites. Avec "Sporus", je découvre un roman prenant, qui vous entraîne, ne vous lâche plus, et écrit avec une finesse d'expression et une richesse de détails, en particulier dans la première partie, auxquelles je ne m'attendais absolument pas de la part de cette auteure. On sent que l'historienne est dans son domaine, la Rome du Bas-Empire, et elle le traite avec une clarté, une précision et un luxe de détails qui nous rapprochent plus d'une fresque chatoyante que d'un roman yaoi lambda... Un bémol, cependant : si les détails de la vie quotidienne sont riches et bien documentés, Cristina Rodríguez prend toutefois de grandes libertés avec le peu que l'on connaît de l'histoire de Sporus. "Puer delicatus", il ne fut jamais prêtre, mais fut en réalité castré sur l'ordre de Néron, qui ordonna l'ablation de ses "testicules"; à partir de là, on se demande si, dans la réalité, les relations entre Néron et son affranchi furent aussi tendres et romantiques que dans ce récit !

J'ai toutefois beaucoup apprécié le début (donc la partie la plus romancée) sur l'enfance de Sporus dans Suburre et sur son bref passage parmi les prêtres de Cybèle. L'approche de la religion dans ce récit lui fait une place aux côtés de l'"Héliogabale" d'Antonin Artaud, des pièces de Sénèque ou de la "Médée-Kâli" de Laurent Gaudé, et l'explication que Cristina Rodríguez propose aux mariages de Néron avec ses affranchis ne manque pas d'intérêt. À découvrir, donc ! :)

Et pour ceux qui voudraient poursuivre sur des personnages analogues, ce roman me fait un peu penser à "Porporino ou les Mystères de Naples" de Dominique Fernandez, ou à "La Voix des Anges" de Anne Rice.
A propos du livre :
Moi, Sporus, prêtre et putain
Moi, Sporus, prêtre et putain
  • aller en page :
  • 1
  • 2
  • 3

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode