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Il s'agît de l'histoire d'une femme dont la vie manque de péripéties rythmées par la passion. La vie lui laisse entrevoir un monde luxueux mouvementé dont elle rêve éperdument. Elle se nourrit de chimères, imagine une vie meilleure.
Il s'agît de l'histoire d'un retour brutal à la réalité, d'un désabusement féminin et d'une vie ennuyeuse, et malgré l'apparition de passions amoureuses et de réconfort religieux, les derniers chapitres nous conduisent inévitablement vers une fin tragique.
J'ai apprécié le style d'écriture, cependant les descriptions des lieux sont longues. Le must étant la description des différents personnages... Je n'ai pas d'étude approfondie, mais je suis certain qu'il y aurait beaucoup à analyser dans cet ouvrage. On pourrait parler de Grand Art de Littérature.
Madame Bovary
Oui mais... Mais si c'était l'histoire informe, le synopsis qui faisait le roman, alors pourquoi s'embêter à lire ? Il faut parfois se salir les mains pour apprécier une mécanique, soulever le capot défraîchit, examiner les rouages du moteurs... Si le mécano l'a bridé... pourquoi ? Comment ?
Ce livre il faut le lire en prenant son temps, par morceau, par relecture, il ne faut pas vouloir le finir au plus vite : la fin, on la connaît déjà de toute façon.
Les détails, voilà le secret de ce roman :
Oui, les détails jusqu'au mot. Un ravissement sans pareil quand on prends la peine de se laisser emporter.
Il est certain que ce n'est pas un roman à lire comme beaucoup lisent : en voulant se mettre à la place de l'héroïne (et pour cause : cela ne donne pas vraiment envie). Il faut au contraire le lire avec sa tête, avec sa sensibilité et avec son cœur. Avec une patience d'ange. Et un bon vieux microscope...
Madame Bovary
Flaubert nous offre ici un livre sur la grisaille des amours bourgeois, la grisailles des cœurs inertes et sur la niaiserie des souffrances de gens trop bien naît. C’est aussi un roman de passions. Frédéric Moreau a une passion ardente, sublime mais platonique pour madame Arnoux ; une passion charnelle avec Rosannette, encore une autre, plus intéressée avec madame Dambreuse. D’autres personnages ont eux, des ardeurs pour leur carrière et la gloire comme Deslauriers. Arnoux à lui, l’appétit pour l’argent et les femmes tandis que Pelerin a une adoration pour l’art. Etc. … Ainsi, tous ses personnages (et bien d’autres encore ; ils sont très nombreux dans ce roman) ont pour point commun la recherche vaine d’un idéal et d’une félicité qui semble leurs être promise. Malheureusement, ses exaltations sont éphémères et c’est la vacuité, l’échec de leurs vies (sentimentales et sociales) qui prédomine. Flaubert pourfend ainsi la bourgeoisie de province, incarnée par tous ses jeunes gens séduisants mais décevants. Se sont les rois de l’occasion manquée, les fils d’une révolution trop ambitieuse pour eux. Les occasions se multiplient mais ils n’en saisissent aucunes. Leurs désirs s’étiolent ; leurs projets meurent par manque de volonté… Frédéric Moreau, le personnage central de l’éducation sentimentale est un homme médiocre, influençable, insignifiant, hésitant… Je l’ai même souvent trouvé pathétique ! Sa participation même à des événements politiques bouillonnants, terribles et tragiques comme la fin de la monarchie de juillet, la révolution de 1848 et l’avènement de la seconde république deviennent fade à son contact. Il est si imbu de lui-même et sa personne est si ennuyeuse !
Mais que j’ai apprécié ce très bel ennui…
L'Éducation sentimentale
Il ne m'a rien apporté et je n'est pas eu le plaisir que je peux avoir en lisant un livre, comment voulez-vous que des collégiens, des lycéens.. découvrent le plaisir qu'on à quand on lis un livre lorsqu'on nous fait lire des livres comme celui ci ? ^^
Un cœur simple
Madame Bovary
Madame Bovary
Cette lecture m'a été imposée pour mon année de Terminale et je dois admettre que je partais quelque peu défaitiste. J'avais lu '' Trois contes '' de Flaubert et cela avait été une véritable catastrophe. De plus, les nombreuses critiques sur le livre ne donnaient vraiment pas envie de lire l'histoire. Mais j'ai été surprise.
J'ai trouvé que les descriptions de Flaubert n'étaient pas si longues qu'il n'y paraissait et qu'elles étaient parfois très belles. Il est vrai que pour certaines, Flaubert s'éloignait de l'histoire et je perdais un peu le fil. La lecture n'a, pour ma part, pas été pénible au niveau de la compréhension mais en revanche, très ennuyeuse. La vie d'Emma n'est définitivement pas passionnante et j'ignore si l'auteur a voulu donner cette impression aux lecteurs en écrivant une histoire longue et plate. J'ai bien ressenti l'ennuie du personnage, c'est sûr. Pourtant, je ne peux m'empêcher de la comprendre dans ses rêves qui malheureusement ne peuvent devenir réalité. Je n'ai pourtant pas aimé le personnage d'Emma et ai été plus proche de Charles, un homme qui aime vraiment sa femme et qui ne l'abandonne pas même jusqu'à la fin. L'auteur a su malgré tout capter mon attention à certains moments.
La fin m'a bouleversé, je n'ai vraiment pas apprécié pour Berthe.
Madame Bovary n'est pas un livre que je conseillerais de lire sauf si vous aimez profondément Flaubert, l'ennuie d'une vie ratée ou que vous voulez lire un classique de la littérature française.
Madame Bovary
Madame Bovary
Sans le challenge incontournables de livraddict, j'aurais certainement abandonné ma lecture à la fin de la première partie. A la place, j'ai persévéré en divisant ma lecture en trois fois puisque le livre est lui-même divisé en trois parties. Jusqu'à ce livre, il était pour moi, inimaginable de lire plusieurs livres en même temps mais là c'était inimaginable de lire ce livre d'une traite, sans faire de pause avec d'autres lectures.
Vous l'avez compris, je n'ai vraiment pas aimé cette lecture qui pourtant avant bien commencé. Et oui, les cents premières pages ne m'ont posé aucun problème, je me suis même dis : un livre qui va me réconcilier avec les classiques et bien j'ai parlé trop vite. En effet, Madame Bovary est une femme qui n'est jamais satisfaite de ce qu'elle a là mais en plus qui en fait des tonnes. Imaginez, vous vous faîtes plaqué par votre amant (même pas par votre mari, juste par l'amant) et vous tombez malade pendant des mois, vous êtes à la limite de la mort. Ne me dîtes pas que ce n'est pas de l'exagération. Et puis ce Monsieur Bovary, qui ne voit rien, ce n'est même pas qu'il ne veut pas voir, c'est qu'il ne voit rien !!
Venons en au style de l'auteur. En un mot : ennuyant. De longues phrases, de longues descriptions inutiles et des monologues d'une longueur à vous assommer. De plus, on a l'impression que les personnages ne s'écoutent pas ce qui appuie encore plus cette impression de monologues même lors de dialogue.
Alors que je suis d'accord qui suis-je pour dire que Flaubert est ennuyant ? Une simple lectrice qui n'a vraiment pas apprécié sa lecture mais qui conçoit tout à fait que certains lecteurs aient pu apprécier.
Pour conclure, un livre que je ne conseillerais pas mais bon il paraît qu'il faut lire des classiques.
Madame Bovary
Surtout quand on sait le nombre de personnes qui l'ont fait avant moi.
Alors je parlerai surtout de mes sentiments, j'ai été extrêmement touchée par les personnages, Emma évidemment mais aussi Charles.
Pour Emma, je l'ai comprise, cette lassitude de la vie, se besoin de vivre des choses incroyables est tellement commun, profond, et presque insoutenable.
Pour Charles, j'ai aimé son attention, ces efforts. Il demande peu de la vie et rien de lui ai finalement accordé.
Alors c'est une belle lecture, un peu dure et trop triste quand même...
Madame Bovary
C'est un cas désespéré. Je ne vois pas où est l'intérêt. Le personnage principal, Félicité, est débile et inintéressante au possible. Son histoire est juste pitoyable (je sais, comme le voulait Flaubert, mais quand même) : quand ses proches ne meurent pas, ils l'escroquent. Alors, pauvre petite chose, elle se réfugie dans l'amour de Dieu et de son perroquet empaillé. N'importe quoi.
Et là, me direz-vous : "D'accord, c'est chiant, mais le style ?"... Le style... rien d'extraordinaire (quand je pense que Flaubert mettait des heures pour écrire une phrase et quand je vois le résultat, j'ai des envies de suicide), RAS aussi au niveau de la narration, du cadre, aucune réflexion, si ce n'est que "Regardez cette pauvre fille, ayez pitié, vous qui vivez dans l'opulence" ce dont j'ai HORREUR, comme si on nous reprochait d'être heureux, bien nourris et en possession de deux neurones (d'ailleurs, tant qu'on y est, faites-lui en don, elle en a VRAIMENT besoin).
Je ne comprends pas, je trouve que c'est inutile, une perte de temps, ce n'est pas représentatif de ce qu'est la littérature, le plaisir de lire... Un Cœur simple peut vous dégoûter à jamais de la lecture !
En fait, si, il y a un seul point positif : le roman ne dure "que" 50 pages. Flaubert aurait-il eu un pressentiment ?
Un cœur simple
En creusant un peu cette œuvre, c'est fou ce que l'on découvre ! C'est comme un véritable trésor enfoui au fond de l'océan. Les personnages, en apparence fades, sont en fait tellement intéressants à analyser lorsque l'on se penche sur le sujet !
Cette œuvre est extrêmement riche mais je pense qu'il n'est possible de remarquer cela qu'en ayant un regard très expérimenté sur ce genre d'auteurs ou qu'en l'étudiant vraiment avec de bons professeurs de Lettres passionnés par ce roman.
Bien que je l'aie déjà lu deux fois, je ne me priverai pas de relire "Madame Bovary" encore de nombreuses fois...
Madame Bovary
Je viens seulement de le terminer cet après-midi, et vous ne pouvez pas vous imaginer à quel point je me sens libérée, maintenant que je peux - enfin - lire ce qui me plaît.
En effet, même si ce roman fait parti des classiques les plus importants de la littérature française, et même si j'admire le travail de Flaubert, j'ai vraiment détesté cette oeuvre, du début à la fin. Contrairement à d'autres ici, je n'ai ni préféré l'une des trois parties, ni apprécié ne serait-ce que l'un des nombreux chapitres.
Il y a même des moments où j'ai du lire à haute voix - ce que je ne fais jamais, d'habitude - pour me forcer à ne pas décrocher.
L'écriture est peut-être très recherchée, ponctuée de mots savants, et incomparable à celle qui caractérise les romans contemporains, mais elle n'est ni fluide, ni accessible à tous. J'ai trouvé certaines phrases vraiment lourdes, inutiles et interminables, et c'est pour moi l'un des défauts majeurs de cette oeuvre. Quand on ne parvient pas à comprendre tout ce qu'on lit, quand on a envie de fermer le livre juste parce que le style d'écriture nous fatigue, et quand on arrive à la fin d'une phrase et qu'on ne se souvient déjà plus de son début, je crois bien qu'il est impossible d'apprécier et surtout de s'imprégner de notre lecture.
De plus, les descriptions longues et inutiles sont trop nombreuses, et au final, elles ne nous aident même pas à visualiser les lieux où se trouvent les personnages. Il faut d'ailleurs ajouter que malgré l'épaisseur du livre et la longueur des trois parties, l'action est presque inexistante. Personnellement, j'ai attendu tout le long du roman qu'un événement surprenant et intéressant se produise, mais je n'ai rien lu de tel.
Enfin, ce ne sont pas les personnages qui aident à relever le niveau. L'héroïne est plus qu'insupportable, et je crois que je n'ai jamais autant détesté un personnage fictif. D'ailleurs, je crois même que mon opinion concernant Emma Bovary est encore plus mauvaise que celle que j'avais à l'égard de Bella dans Twilight. Et franchement, je ne pensais pas que quelqu'un pourrait dépasser cette gamine idiote et détestable. Mais grande nouvelle ! J'ai trouvé pire ! Emma, qui semblait pourtant calme et réservée au début du livre - mais vraiment, au tout début - m'a très vite agacé, et je n'ai pas tardé à l'exécrer quand elle a commencé à regretter son mariage, à critiquer Charles sans arrêt et à commettre des adultères. Ses mensonges, le fait qu'elle trouve de nombreux défauts à Charles alors qu'elle en possédait bien plus que lui, et ses passions illusoires pour ses amants m'a vraiment agacé
Le seul et unique personnage que j'ai apprécié ? Le seul qui m'a plu et qui parvient à peine à relever le niveau ? Charles Bovary. Eh oui, ce personnage que tout le monde doit rapidement oublier, que tout le monde doit détester afin de suivre l'opinion stupide d'Emma, est mon préféré. C'est le seul dans ce livre qui semble avoir de vrais sentiments pour quelqu'un, qui n'aime pas que lui-même, qui fait passer les autres avant lui, et qui réagit comme n'importe quel être humain. Il n'est peut-être pas parfait, mais qui l'est ? Personne, et certainement pas Emma. Il a d'abord suivi les demandes et requêtes de sa mère, avant de se dévouer totalement pour Emma, qui le détestait et qui ne remarquait jamais tout ce qu'il faisait pour elle. Mais bon, je suis presque sûre que la plupart des lecteurs n'ont jamais prêté attention à sa gentillesse non plus. Et pourtant, combien de fois a-t-il cédé aux caprices de sa femme ? Combien de fois s'est-il interposé à sa propre mère pour défendre Emma ? Combien de fois lui a-t-il acheté ce qu'elle désirait, sans se soucier des dépenses ? Combien de fois a-t-il accepté qu'elle sorte, et même en compagnie d'autres hommes ? De plus, il ne faut pas oublier qu'Emma a eu le choix de se marier avec lui ! Son père ne l'a même pas forcé, et elle aurait très bien pu refuser, alors qu'on sait très bien qu'à l'époque, peu de femmes avaient cette possibilité ! Et qui l'a relevé de son statut de fille d'agriculteur ? Charles était médecin, et c'est grâce à lui qu'elle a pu assister au bal de la Vaubyessard, etc, etc... Mais malgré toutes ses qualités, elle ne lui en a trouvé aucune et n'a cessé de se plaindre du début à la fin. D'ailleurs, je pense avoir trouvé le moyen de résumer cette oeuvre en quelques mots : l'interminable et "passionnante" - c'est évidemment ironique - plainte d'Emma Bovary.
Bon, je pense m'arrêter ici, même si je sais parfaitement que je pourrais encore continuer longtemps, puisqu'il y a tellement de choses à critiquer dans ce roman.
Pour conclure, même si certains clament que Madame Bovary est un "classique à lire absolument", je ne le conseille à personne. Premièrement, il vous ennuiera, mais surtout, il vous énervera. Alors vraiment, ne le lisez que si vous en êtes véritablement obligés.
Madame Bovary
Emme est une personne si attachante et exécrable en même temps que sa fin ne m'a pas surprise. J'avoue même avoir rit, honte à moi. Les 80 dernières pages m'ont semblé inutiles, mais qui suis-je pour remettre en cause Flaubert ?
Si vous pouvez ne pas le lire, je vous assure que vous survivrez !
Madame Bovary
mais après plusieurs lectures, quand on n'attend plus vraiment rien de l'histoire (car il n'y a, à proprement parler, pas d'intrigue), on se retrouve submerger par la virtuosité de l'écriture et les nombreux sentiments que véhicule ce roman. On peut même être amusé par les moeurs campagnards que nous décrit Flaubert : la ponctualité de Binet, le pédantisme de Homais, la médiocrité de Charles, les rêves et les illusions d'Emma...
En même temps, on ne peut s'empêcher d'avoir de la peine pour cette jeune femme qui ne parvient pas à trouver le bonheur... ou pour son mari, qui l'aime éperdument mais ce montre maladroit !
L'histoire n'est donc pas compliqué en elle-même, et la difficulté de l'écriture n'est nullement un obstacle. (D'ailleurs, les chapitres sont plutôt court, ce qui rend la lecture agréable. ) :
Emma est la fille d'un paysan normand, élevée au couvent. Charles, un jeune homme qui vient de terminer ses études de médecine, s'est marié à une veuve et exerce sa profession dans un petit village. C'est quand le père d'Emma se casse la jambe que les deux jeunes gens se rencontrent. Charles tombe amoureux d'elle, et à la mort de sa première femme, il la demande en mariage. Emma, dont l'enfance a été bercée par de mauvais romans, rêve d'amour et de s'élever dans la société : elle accepte.
Mais très vite, elle se rend compte qu'elle s'ennuie avec Charles. Et alors, elle rêve d'autres amours, d'autres hommes, d'autres sphères sociales qu'elle ne parviendra jamais à atteindre
la fin est très sombre : les anciens amants d'Emma sont peu touchés par sa mort, Charles meurt de chagrin, sa mère et le père d'Emma aussi, la petite Berthe part travailler dans une filature. Les vainqueurs sont Lheureux qui a réussi à ruiner l'argent et la vie des Bovary, et Homais, le pharmacien désinvolte qui se croit supérieur à tout le monde...
Comme le thème de ce live ne m'est pas cher, ce ne sera pas un de mes livre préféré. Cependant, je recommanderais à tout le monde de lire Madame Bovary non pas une, mais au moins 2 fois. Pas parce que l'histoire est difficile à comprendre, mais parce que la recherche du style ne se voit qu'une fois qu'on a dépassé l'histoire, qu'on la connait et qu'on ne s'en étonne plus.
Madame Bovary