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Le chmilblik complet s'est avéré nébuleux, malsain et malaisant, plutôt qu'intriguant. Une corvée à lire. J'ai revérifié à plusieurs reprises sur la jaquette que l'autrice était bien Janine Boissard. (Bon sang de bois c'est une de mes autrices phares !) S'agit-il d'un essai de sa part ?
Qu'y a-t-il ici : Paranoïa, complot, folie ? Le problème ? On n'a aucune empathie pour le héros, victime de ses faiblesses mentales. Plus je m'obstinais à lire moins je l'appréciais, lui comme le récit d'ailleurs.
Pire à la fin du chapitre 29 j'ai eu envie de balancer le livre contre un mur puis de le piétiner au sol !
Bref après de l'incompréhension, puis de l'ennui, puis de l'agacement, et du rejet, c'est la rage qui m'a tenu pour venir à bout de ce (pas encore assez) court roman.
Aucun rattrapage possible. Détestable jusqu'à la dernière page.
Alambiqué de façon navrante pour conclure sur un cliffhanger qui se veut stupéfiant...mais nous fait juste jeté un ultime regard noir à l'ouvrage, que l'on est satisfait de refermer définitivement !
Si j'avais découvert l'autrice par cet unique rassemblement de feuilles je n'aurais rien lu d'autre d'elle ! C'est dire si je ne m'attendais pas à ça...et à quel point ma réaction négative fut épidermique.
Ciao, Bye, Next !
Parce que c'était écrit
L’Esprit de famille, tome 1: Les secrets du bonheur
en plus il est noté en page 141 que le chêne le plus vieux de France se trouve à Vernon dans le département de l'Eure. vivant dans cette région je suis allée vérifier sur plusieurs sources d'internet afin de pouvoir l'admirer à l'occasion et il s'avère qu'il n'y a aucune information à ce sujet.
je reste très songeuse, car la lecture est un moyen d'évasion mais aussi d'accéder à la culture. or le chêne le plus vieux de France est celui d'allouville en Seine Maritime
quand un livre coute 20.90€ en 2023 il serait bien qu'il ne contienne pas tant d'erreurs et fausse information. Même si l'histoire est bien écrite je suis déçue et ne le recommanderait pas
Elle parlait aux fleurs
Je ne connaissais pas du tout Janine Boissard. Dans sa présentation, il est écrit qu'elle a publié plus de 40 romans. Ce livre m'a attiré par sa couverture, son résumé et surtout parce qu'il se déroule à Grasse, ville que je connais. C'est toujours agréable d'avoir un roman qui se passe près de chez soi.
Ce livre se lit vite et il est parfait pour la saison estivale. La description de la vieille ville et ses terrasses, les allusions à la parfumerie et la saison à laquelle se déroule l'intrigue évoquent la Provence et le beau temps. Et pourtant la thématique principale abordée ne fait pas dans la légèreté.
Les deux premières parties sont réussies. On s'attache à Aude et à ses proches. On l'accompagne avec intérêt dans la recherche de sa mémoire.
Et puis après l'histoire bascule dans la facilité. L'autrice nous prend par la main jusqu'à la fin. Les révélations et les bons sentiments se succèdent rapidement. Je pensais que cela cachait quelque chose, mais non.
Il manque de la profondeur aux personnages et aux secrets révélés. Les explications sont pour moi trop simplistes. Je reste un peu sur ma faim au vu du potentiel de l'intrigue principale.
Au final, j'ai tout de même passé un bon moment avec ce roman d'été sans prise de tête.
Dis, t'en souviendras-tu ?
• L'histoire n'est pas très originale mais intrigante, une autrice de BD, un beau gosse mystérieux sur une île romantique. Astrid est à tour de rôle drôle et attachante et en même temps insupportable, notamment à cause de propos qu'elle tient et que je ne peux pas cautionner. L'exemple qui m'a le plus marqué en gros c'est qu'elle dit : avoir un rapport sexuel non protégé ce n'est pas grave tant que c'est avec le prince charmant (ce n'est pas une citation). Je pense que c'est une phrase particulièrement clichée et stupide surtout pas un exemple à suivre (encore plus quand le mec est presque un inconnu et surtout avec une réputation douteuse). D'autres choses m'ont fait lever les yeux au ciel autant par l'attitude de Erwan (oui l'histoire se passe bien en Bretagne), que celle d'Astrid ou des personnages secondaires (les méchants en carton) que dans des rebondissements parfois risible
• Selon moi, il y a un problème majeur dans ce livre et c'est un problème d'édition. Est-ce que ce livre a été relu ? Je ne suis pas une professionnelle de l'édition, ni de l'orthographe. Mais il y a pleins de fautes d'orthographe, certains mots sont mal employés, j'ai compris mais ça fait complétement sortir de la lecture, c'est frustrant et agaçant. En plus de tout ça certaines phrases sont mal construites. Et le pompon, le voilà, le nom du héros inversé avec le nom du méchant dans une phrase sensé être le most du romantique...
Rose de sang, Rose d'Ouessant
La Poison a bien grandi et déclenche ici notre attachement autant que notre...inquiétude !
Grandir ne se fait pas sans douleur.
Avoir l'âme d'un Saint-Bernard peut s'avérer nocif, surtout quand un néfaste auto-destructeur apparaît. Tout le monde ne désire pas être sauvé...pire certains veulent juste couler et emmener le maximum de personnes dans leur chute.
Il y a donc beaucoup de naïveté bienveillante (qui se brûle les ailes) et de mal-être dans ces pages.
Concernant "Pauline" : la dernière autobiographie que j'ai lu de Janine Boissard donne un nouvel éclairage sur ce personnage. Mais c'est aussi le cas pour les Moreau dans leur ensemble.
Forte de ce "savoir" relire la saga "l'Esprit de Famille" va être d'autant plus prenant. :)
L’Esprit de famille, Tome 5 : Cécile, la poison
Les coulisses (qu'elle nous révèle) de sa vie donne un nouvel éclairage sur son œuvre. Impressionnant, à bien des égards, son parcours connaîtra autant de remous que de joies.
Je suis ravie d'avoir pu jouer les petites souris grâce à ses anecdotes d'écritures. J'ai d'autant plus envie de relire tous ses titres, en connaissance de ce qui se cache dans ses mots !
Comme toujours l'émotion affleure sous le sourire. Mme Boissard est décidément une grande Dame.
Une femme
Bébé couple
Chuuut !
Croisière
C'est un roman dans lequel on s'attache beaucoup au personnage principal. Chez Aude, il y a une fragilité doublée d'une détermination qui captive, et on suit son combat avec une pointe d'appréhension. D'un côté, il y a ce sentiment obscur lié à l'amnésie, et une certitude malaisante qui s'impose à elle. Ses recherches l'orientent sur le passé de son mari avec ses failles et les tragédies dont il a été le témoin insaisissable.
L'écriture est fluide, et on est partagé par les sentiments de la jeune femme, en proie à de troublantes obsessions. On parle ici de violence familiale, sujet tabou dans un milieu aisé de surcroît. La vérité se dessine sous nos yeux, un peu trop facilement ou évidente.
Aude nous surprend avec une volonté inébranlable de répondre de ses actes. Et puis le dénouement arrive comme un soulagement sur lequel on avait peu de doute finalement.
Ce roman ménage le suspense et ses effets, sans grand développement pour une prise en main immédiate et une lecture somme toute agréable.
Dis, t'en souviendras-tu ?
Puisque tu m'aimes
Jolie phrase au milieu de tant d'autres dans ce livre.
J'ai aimé l'histoire !
J'ai aimé l"écriture !
J'ai aimé les mots !
J'ai aimé les personnages !
La, les vies des enfants blessés... pas aimés... ou mal aimés.
Mais il y a des gens qui sont là ! POUR EUX !
Très bonne lecture.
La maison des enfants
🌸Aucun
Point positif :
🌸L’écriture
J’ai bien aimé ce livre facile à lire et très bien écrit ont pourrais même penser à une histoire vraie alors que non.
Les personnages sont attachants chacun à leur manière.
N'ayez pas peur, nous sommes là
J’ai aimé retrouvé dans la majorité du livre le style de Janine Boissard qui me touche toujours autant. Ainsi que ses personnages toujours vrais, beaux et imparfaits. Qu’il ne faut jamais juger au premier regard mais creuser, comme dans la vie.
Ah Thomas! tellement adorable. Mon personnage préféré.
Mais pour une fois j’ai eu un peu de mal à rentrer dans l’histoire et j’avais l’impression qu’il y avait comme des coupures et des juxtapositions de situations, pas une continuité dans le récit.
Et surtout ce qui m’a dérangé et que je n’ai jamais vu dans un seul de ses livres, ce sont les nombreuses incohérences. Les enfants qui changent d’âge entre deux passages, et les discussions, les autorisations de sortie et les films correspondent plus à des adolescents de 15/17 ans qu’à des enfants de moins de 10 ans. Hervé qui meurt d’un accident et à la moitié du livre on parle d’un cancer. Le chien qui mange du chocolat et tout le monde applaudit au lieu de lui enlever et foncer appeler le vétérinaire….
Elle parlait aux fleurs