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Toutes les séries de Joël Schmidt

542 livres
476 lecteurs

Quel âge les étoiles ont-elles ? Comment prévoir les éclipses ? Qui étaient Hubble, Lemaître, Kepler, Hawking ? La vie extraterrestre existe-t-elle ? L'Univers observable est-il unique ?

Sous la forme d'un abécédaire de 100 mots, à jour des connaissances les plus récentes, Jean Audouze nous invite à partir à la découverte des objets du ciel, des méthodes et des instruments d'observation, des grands noms qui ont fait l'astronomie et des grandes questions qui taraudent les amateurs et les curieux.

Arcs gravitationnels, comètes, galaxies spirales, inflation cosmique, pulsars ou quasars n'auront plus de secrets pour vous !

310 livres
284 lecteurs

Après avoir été pendant longtemps au service de la pratique architecturale, l’histoire de l’architecture est devenue récemment un enjeu dans la légitimation culturelle d’une profession. Cette histoire elle-même, depuis le milieu du XIXe siècle, n’a cessé de gagner en autonomie : problématiques nouvelles, territoires et objets diversifiés, posent à l’historien des questions fortes. En retraçant l’histoire de l’architecture jusqu’au développement de ses démarches les plus contemporaines, ce livre nous aide à mieux comprendre les orientations actuelles d’une discipline dont les enjeux esthétiques, mais aussi sociaux et politiques, se révèlent fondamentaux dans notre monde moderne.

3 livres
10 lecteurs

Les Jeux olympiques sont l’un des plus grands spectacles mondiaux. Nous venons y contempler les dieux du stade accomplir des exploits, vivre des tragédies, rechercher le geste parfait. Nous y observons aussi – le sport n’est pas hors du monde – les enjeux géopolitiques et économiques, les progrès techniques, et puis les mesquineries, la corruption, le dopage, etc. Un concentré de notre société et des destins individuels mélés.

Du poing ganté de cuir noir des athlètes Carlo et Smith à Mexico aux courses irréelles d’Usain Bolt, du parcours de la flamme olympique à l’attentat de Munich contre l’équipe israélienne, d’Alain Mimoun et son mouchoir blanc à Nadia Comaneci et à tous ces moments célèbres ou un peu oubliés qui habitent notre mémoire collective, voici 100 histoires qui ont fait celle des Jeux olympiques.

Tous les livres de Joël Schmidt

Le Dictionnaire de la mythologie grecque et romaine est un outil de référence pour les nombreux passionnés de mythologie. Avec près de 900 entrées claires, simples et précises, ce dictionnaire offre une large documentation sur les généalogies des dieux et des héros, sur l'évolution des mythes, leur résonance dans la littérature moderne, et la correspondance des noms grecs et romains.

Que seraient le christianisme et plus largement notre monde, sans la figure lumineuse de saint François, si populaire par son souci de la paix, son sens de la nature, son ardent désir de voir l'Église de son temps renouer avec la pauvreté ? Avec le talent du conteur, Joël Schmidt nous entraîne sur les chemins d'Ombrie à la suite du saint d'Assise. Mais il ne faut pas s'y tromper : François ne recherche pas d'abord la sainteté pour elle-même, dans un but de salut personnel, mais entend avant tout réveiller son Église pour qu'elle retourne à l'Évangile, dans un mouvement de ressourcement intérieur. En cela, il préfigure déjà à sa manière la révolution religieuse qui sera lancée trois siècles plus tard par les grands réformateurs, tels Luther et Calvin.

«Les Mémoires de mon trisaïeul Tobbie Schmidt (1804-1899) que je publie dans ce récit sont authentiques. Écrits en langue allemande, ils ont été traduits par mon grand-père (1863-1943). Ce document m'a servi de repère et de greffe pour imaginer, dans le personnage de Frédéric, un autre moi-même, mon double et mon rêve, historien, essayiste et romancier, tributaire de cette Allemagne qui n'a cessé de l'inspirer. Ce récit ausculte, tel un praticien, l'âme allemande et les tribulations, au XIXe siècle, d'une famille sur plusieurs générations. Il chante sans retenue la magie allemande de ma voix intérieure, évoque la splendeur du Rhin et des villes qui la bordent, Mayence, Coblence, Boppard, Wesel, Cologne. Le Rhin, cette colonne vertébrale de la Germanie, ce fleuve tout à la fois frontière et marqueur d'identité, qui est peut-être le vrai héros du livre.»

Pendant près d'un siècle, de 418 à 507 de notre ère, les Wisigoths occupent le sud-ouest de l'actuelle France, avec l'accord explicite des empereurs romains, incapables de défendre ce vaste territoire, qui s'étend de Poitiers à Narbonne et de Bordeaux à Clermont-Ferrand, puis atteindra la Provence et l'Espagne. Venus d'Orient, les Wisigoths, guidés par de remarquables rois (Théodoric Ier, Théodoric II, Euric), tout en imitant les institutions romaines ou en les conservant, vont introduire dans cette France méridionale une civilisation dont les singularités religieuses, politiques et sociales, comme le rayonnement de Toulouse, contribuent au premier " âge d'or " de l'Occitanie.

Elle était la " séduction même ", une " polyglotte extraordinaire ", sa voix était " suave et chantante ", son esprit " merveilleux d'intelligence ", son sein " d'une blancheur exceptionnelle, à travers le voile de Sidon ", ainsi s'expriment les contemporains de Cléopâtre (69-30 av. J : C.). Ni César ni Marc Antoine ne surent résister à ses charmes. Cruelle, perverse, manipulatrice, assoiffée de pouvoir, Cléopâtre VII Philopator semble réunir en elle tout ce que la beauté sans retenue, l'esprit sans conscience, la passion sans frein peuvent produire de plus lumineux et de plus sombre. Nul besoin d'accuser ou de réhabiliter Cléopâtre : la vie de la reine d'Egypte, qui nous fascine depuis deux mille ans, parle d'elle-même. C'est celle-ci que Joël Schmidt nous restitue, impudique et féroce, dans toute son humanité.

Au fil d'un roman intimiste bouleversant, Joël Schmidt imagine l'histoire d'un amour absolu autant qu'improbable. Un frère séparé de sa soeur à la naissance croit reconnaître, des années plus tard, celle qu'il n'a pas eu le temps de découvrir et d'aimer. Attiré par cette femme à la fois inconnue et familière, il va tout faire pour la rejoindre et réparer la déchirure originelle qui a brisé son existence. Dans la grande tradition romantique, un récit troublant, hanté par la quête d'infini.

Quoique le concernant bien des mystères demeurent - son tombeau n'a jamais été retrouvé, ses écrits ont été perdus -, Alexandre III de Macédoine dit le Grand (356 - 323 av. J.-C.) reste un des plus fascinants héros de tous les temps. Roi de Macédoine à vingt ans, qui se lancera deux ans plus tard à la conquête d'un empire allant de la Grèce jusqu'à l'Inde, guerrier, certes, mais aussi administrateur et visionnaire, Alexandre le Grand était un homme au caractère contrasté qui, en élève du philosophe Aristote, pouvait se montrer d'une extrême clémence envers les vaincus, commue donner libre cours à sa colère et à sa cruauté. Rêvant d'une fusion entre l'Occident et l'Orient, d'un métissage entre les peuples, d'un brassage des cultures, des arts et des religions, on peut se demander quelle aurait été sa destinée s'il n'était mort. à trente-trois ans. à Babylone, vaincu par la malaria.

Dépravé, mégalomane, sans morale ni scrupule… La postérité a été impitoyable avec l’empereur Néron. Les meurtres de sa mère Agrippine, de Britannicus ou bien encore du philosophe Sénèque, l’incendie de Rome dont il serait responsable, ou bien encore la persécution des chrétiens, autant de crimes qui, aux yeux des historiens romains et de leurs successeurs, font du règne de Néron, un temps de décadence et de violence. Le cas est entendu, la condamnation prononcée. Néron, un fou criminel ? Pas si sûr. En fait tous les récits que nous avons de cette époque ont été écrits par des historiens membres de la classe sénatoriale, à laquelle justement Néron s’est attaqué pour réformer les institutions romaines. Dans un livre à la plume alerte, Joël Schmidt dresse le portrait d’un homme complexe et visionnaire, dont le règne peut être assimilé à une véritable Renaissance qui sort Rome de ses habitudes ancestrales et archaïques.

Le récit de la guerre inexpiable que se livrèrent Gaulois et Romains pendant mille ans, de 390 avant J.-C. au Ve siècle de notre ère.

Sur le conflit qui oppose les Gaulois aux Romains, on ne connaît généralement que l'épisode de la conquête des Gaules racontée par César et qui se déroula au milieu du Ier siècle av. J.-C. Or, c'est dès 390 av. J.-C. que le Gaulois Brennus et ses troupes occupent durablement Rome et prononcent l'humiliant vae victis, " malheur aux vaincus ".

A partir de cet événement majeur, se succèdent pendant dix siècles les péripéties d'une lutte inexpiable, au cours de laquelle les Gaulois s'allient par les armes et la diplomatie à tous les adversaires des Romains.

Toujours vaincus parce qu'ils opposent leur masse aux tactiques éprouvées des légionnaires, ils ne renoncent jamais à harceler par tous les moyens possibles l'occupant romain, jusqu'à la chute de Rome au Ve siècle de notre ère.

Joël Schmidt, critique littéraire et historien, spécialiste de l'Antiquité, a notamment publié Le royaume wisigoth d'Occitanie et Lutèce.

«La vertu produit le bonheur comme le soleil la lumière.»

Une image d’Épinal nous fait de Maximilien Marie Isidore de Robespierre (1758-1794) le portrait suivant : fils d’un avocat d’Arras, il fut élu député aux États généraux, se rendit populaire aux Jacobins par la rigueur de ses principes, et s’opposa à la guerre contre l’Autriche. Joël Schmidt propose un autre regard. Robespierre, jeune juge hésitant à signer un décret de peine de mort, est transformé par la Révolution qui lui donne une pensée brillante mais déshumanisée. Admirateur enthousiaste des héros de l’ancienne Rome, il se veut tantôt Cicéron abattant les Catilina de la Révolution française, tantôt Brutus, envoyant Louis XVI à l’échafaud. Tel Caton d’Utique, il pousse son idéal jusqu’au crime et finit par approuver la Terreur. Le soir du 10 thermidor, la Révolution à laquelle il s’est tant donné le dévore à son tour : il est guillotiné avec vingt-deux de ses partisans.

> Est-il possible au XXIe siècle de vivre un amour courtois ?

C’est le rêve de Johann, professeur de lettres, spécialiste de la littérature du Moyen Age. Il multiplie en vain les rencontres amoureuses jusqu’au jour où il est séduit par Aurore, une de ses étudiantes. Ensemble, ils vont suivre les 31 codes du fin’amore et traverser le temps. A travers les méandres pervers et souvent piégés de ces codes, la douleur et l’extase, ils découvriront le cérémonial sensuel d’une Cour d’amour. Entre manipulation et envoûtement, ils passeront par toutes les épreuves de la passion, de la dévoration à la négation d’eux-mêmes, pour que leur rêve devienne réalité. Mais le temps, ainsi défié, reprendra ses droits et brisera tragiquement ces chimères.

Voici un livre neuf, suggestif et nécessaire. On a pris l'habitude en effet d'associer la mythologie grecque et la mythologie latine, au point de tendre à les confondre. Joël Schmidt a pris un parti tout différent, et il a eu raison. Il a traité, dans un volume séparé, d'une mythologie romaine distincte, qui trouve en elle-même - sa raison d'être. Par la culture dont nous avons hérité, Jupiter, Junon, Mercure, Vesta nous sont devenus aussi familiers que l'étaient à Montaigne les rues de la Rome antique. Mais il faut se perdre aussi avec délices dans la multitude des divinités familières, des divinités locales et agricoles, des divinités allégoriques qui donnent à la mythologie romaine sa saveur particulière. Judicieusement, l'auteur du présent livre a commencé par là. Parmi ces divinités prétendues mineures, j'aimerais retenir, plutôt que Vertumne, représentant le changement et les métamorphoses, le dieu Terme (Terminus). Il dessine la limite qu'historiquement les Romains ont eu le tort de vouloir franchir, par excès. Mais il représente surtout celle par laquelle leur mythologie si riche et toujours vivante ne pouvait se laisser enfermer.

Dans la République du Ponant, à la veille d’un troisième millénaire, Sigismond est la victime d’une tragédie familiale qui se répercute de siècle en siècle. Après avoir longuement vécu prisonnier de l’oubli et du silence, aux côtés d’une mère démente, Sigismond se trouve soudain plongé dans une Histoire impitoyable dont son père est le tyran et le magicien invisible, à la tête des Niebelungen. Ceux-ci, rameau d’une ancienne nation vaincue, se livrent à un combat incessant contre le Peuple Innommé, voué depuis le commencement des temps aux holocaustes et aux résurrections perpétuels.

Arraché à son immense cauchemar, violenté par des événements dramatiques, transporté à Noroit, ville étrange que son père rêva comme un monde à sa mesure, Sigismond trouvera-t-il en Myriam Jonathan, jeune danseuse du ghetto de Borée, fille de la détresse et de l’espérance du Peuple Innommé, la rédemption qui le purifierait des fatalités et des maléfices de son passé, qui briserait l’étreinte d’une mère à jamais geôlière, et le délivrerait du pouvoir diabolique d’un père magnifié ? Sigismond pourra-t-il vivre avec Myriam l’amour ablatif et fuir tous les cachots qui l’enserrent sur La Ténébreuse, caravelle à la voile noire, symbole des deuils et de l’errance humaine ?

Fidèle aux thèmes de ses précédents romans : Le Fleuve des Morts et Casino des brumes, Joël Schmidt, avec La Ténébreuse, enveloppe d’un monde utopique une intrigue singulière et riche dont les anecdotes et les personnages ont une réalité et une présence intenses. Il nous raconte ainsi, grâce à l’autorité envoûtante d’une imagination souveraine, la fable de notre temps où l’homme et la femme tentent de s’opposer aux totalitarismes de l’esprit et de la cité.

Karoline et Jean se rencontrent à l’université de Marburg. Elle est allemande, lui est d’une famille bourgeoise bordelaise. Solitaires et rêveurs, passionnés par le Romantisme, ils sont faits l’un pour l’autre. Ils se marient et Gunther naît. Mais la Seconde Guerre mondiale éclate, et avec elle, la fin de leurs illusions. Ils fuient l’Allemagne pour s’installer en Corrèze, dans le château des parents de Karoline. Ils traversent comme ils le peuvent les épreuves de la guerre et de l’Occupation, tiraillés entre deux pays, deux cultures. Gunther, lui, grandit fasciné par l’Allemagne. Après-guerre, la situation ne s’apaise nullement, à l’esprit de revanche des Français s’ajoute le durcissement des blocs Est et Ouest. Des années plus tard, Gunther décide, avec son épouse berlinoise, de faire du château familial un centre culturel allemand.

Mais la guerre est trop récente dans les esprits, et une campagne de calomnie s’abat sur eux.

Germania, cette Allemagne idéale, est morte, et avec elle, le rêve d’une réconciliation des deux patries.

(Source : Albin Michel)

" On voit donc unis dans notre famille et la majesté des rois qui sont les maîtres des hommes et la sainteté des dieux qui sont les maîtres des rois. " Avocat, écrivain, homme politique, général, descendant de la déesse Vénus, Caïus Julius César (100-44 av. J.-C.) joua de tous ses dons pour abattre la République romaine, cultivant tour à tour ou dans le même temps le cynisme et la clémence, la cruauté et la courtoisie, l'hypocrisie et la civilité, la ruse et le franc-parler, la modestie et l'orgueil. Quel homme d'Etat peut-il se vanter d'avoir laissé son nom à tous les empereurs romains qui lui succédèrent et d'être à l'origine des mots Kaiser et Tzar...

Il est d'usage de prétendre que l'approche de la mort reflète toute une vie. Les empereurs romains, dans les derniers jours sont racontés dans cet ouvrage, n'échappe pas à cette contastation. Ils sont 70, depuis César en 44 avant Jésus-Christ - qui n'en a pas la dignité, mais laisse son nom et sa renommée à tous ses successeurs - jusqu'à Romulus Augustule en 476 après Jésus-Christ. Assassinats, maladies,lentes agonies, suicides ou par fois même fins glorieuses face à l'ennemi rythment les derniers souffles de ceux qui régnèrent pendant un demi millénaire sur l'ensemble du monde connu. Pour chacun de ces empereurs c'est le bilan de leurs vies et de leurs règnes qu'au milieu de leurs fièvres, de leurs cauchemars et de leurs rêves, de leurs souffrances, de leurs peurs, de leurs remords et de leurs colères, ils tente de dresser.

Les femmes ont-elles eu une influence essentielle sur les moeurs et la politique de la Rome antique ?

Oui, quand on découvre Messaline et Agrippine jouer à la fois du poignard, du poison et de l'exil pour asseoir leur puissance.

Oui, quand on voit la seconde pratiquer l'inceste avec son fils Néron afin d'assurer son emprise sur lui, et la première collectionner les amants pour détruire la réputation de son époux, l'empereur Claude.

Oui, quand tant de femmes, dans la Rome royale ou républicaine, par une volonté de fer, parviennent à élever leurs enfants au sommet de l'Etat.

D'autres, certes, montreront aux hommes l'exemple de la vertu, comme l'impératrice Hélène, mère de Constantin. Mais plus généralement, les femmes, lorsqu'elles s'emparent du pouvoir à Rome, transforment les palais impériaux en antichambres de meurtres innombrables, en lupanars où coule le sang, règnent le stupre et une débauche sans frein. Une forme de féminisme, tantôt exemplaire – incarnée par Cornélie ou Octavie –, tantôt intransigeante, à l'image de Livie, est née à Rome : beaucoup s'en inspireront par la suite.

Source éditeur

" Voici un livre neuf, suggestif et nécessaire. On a pris l'habitude en effet d'associer la mythologie grecque et la mythologie latine, au point de tendre à les confondre. Joël Schmidt a pris un parti tout différent, et il a eu raison. Il a traité, dans un volume séparé, d'une mythologie romaine distincte, qui trouve en elle-même sa raison d'être. Par la culture dont nous avons hérité, Jupiter, Junon, Mercure, Vesta nous sont devenus aussi familiers que l'étaient à Montaigne les rues de la Rome antique. Mais il faut se perdre aussi avec délices dans la multitude des divinités familières, des divinités locales et agricoles, des divinités allégoriques qui donnent à la mythologie romaine sa saveur particulière. " Pierre Brunel

Un grand voyage dans la mythologie et les mythes du monde entier à travers une double approche :

. Une histoire de la mythologie dans toutes les grandes civilisations : Égypte, Grèce, Rome, mais aussi Perse, Inde, Chine, Japon, Europe, Amériques ou Afrique noire...

. Un dictionnaire de 1300 entrées, qui fait découvrir les mythes, les dieux et les héros : du fil d'Ariane à zodiaque, en passant pas Énée, Odin, Œdipe, Quetzalcóatl, Susanoo, Thot, Vichnou,et Zoroastre.

Un index général, des illustrations et des cartes facilitent en outre la recherche d'informations.

Aude et Jean sont très proches depuis leur enfance. Inséparables, fusionnels, Aude va bercer son petit frère, l'aider à grandir, elle l'élève brillante, lui le cancre. Elle est son double, celle sans laquelle il ne peut vivre. Jean va embrasser la même carrière de pianiste que son aînée, et bientôt, jumeaux dans la musique, tous deux vont devenir célèbres pour leur interprétation des pièces à quatre mains pour un ou deux pianos. Complicité scénique ou passion sans pareille ? Elle fera leur gloire, mais brisera à jamais, un soir de concert, le cours de leurs destinées qu'ils avaient souhaitées similaires.

Dans ce roman audacieux, onirique et sensuel, Joël Schmidt renoue avec le romantisme allemand qui lui est cher.

Et si la France était devenue protestante ? Cette hypothèse, qui semble a priori absurde au pays de la Saint-Barthélémy, de la révocation dramatique de l'édit de Nantes et des dragonnades de Louis XIV, a cependant bien failli être une réalité.

En septembre 1561, un colloque réunit à Poissy protestants et catholiques, sur convocation de Catherine de Médicis. L'intention de celle-ci, alors régente du royaume pendant la minorité de Charles IX, était bien de se rapprocher de la Réforme à laquelle étaient déjà acquises les plus grandes familles de la noblesse française. Les catholiques, irréductibles bien que minoritaires, parviendront finalement à faire échouer d'extrême justesse le projet royal.

Mais que se serait-il passé dans le cas contraire ? La face de la France en aurait été changée, tout comme celle de l'Europe.

Cette autre histoire, Joël Schmidt nous la conte ici avec verve et érudition. D'Henri IV à la IIIe République, en passant par la Révolution, le Premier et le Second Empire, il nous révèle tout ce que le protestantisme aurait pu apporter à la France. Un passionnant essai d'histoire alternative.

La reine Louise de Prusse, née Mecklembourg-Strelitz était l'épouse de Frédéric-Guillaume III ; sa résistance à Napoléon en a fait l'âme du réveil du nationalisme prussien.

Séduisante, animée, admirée et respectée à la fois, par le peuple comme par la noblesse et par les écrivains, Louise de Prusse (1776-1810), épouse d'un roi qui lui était inférieur, est une héroïne de l'Histoire de l'Allemagne. Surnommée "Mère de la patrie", sa résistance à Napoléon en a fait l'âme du réveil du nationalisme prussien. Une biographie pour ceux qui s'intéressent aux femmes célèbres, à l'Allemagne et à Napoléon.

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« Que chacun cherche à être utile à lui-même et aux autres. »

De sa naissance à la veille de sa mort, Johann Wolfgang von Goethe (1749-1832) n’a cessé d’écrire. L’édition complète de ses œuvres compte cent cinquante volumes. Comme d’aucuns l’affirment, point de vie où l’œuvre à réaliser ait tenu rôle plus capital. Romans, poèmes épiques, œuvres scientifiques, livrets d’opéra, dessins, théories de l’art, pièces de théâtre, Goethe s’essaie à tous les genres. Sa soif d’expériences est insatiable : biologie, zoologie, ostéologie, optique, géologie. Grand administrateur et homme d’État, amoureux infatigable, l’auteur des Souffrances du jeune Werther, de Faust, des Affinités électives mais aussi d’un fameux Traité des couleurs nous est ici dévoilé dans sa vie la plus quotidienne, dépoussiéré, dégagé de toutes ses légendes.

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