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Toutes les séries de John Dickson Carr

23 livres
39 lecteurs

Série Gideon Fell, Tome 1

Quatrième de couverture

C'est la coutume. Le soir de son 25ème anniversaire, l'aîné des Starberth se rend à la prison en ruines de Chatterham. Là, il doit s'enfermer entre 23h et minuit dans la chambre du Gouverneur, ouvrir le coffre et regarder ce qu'il renferme. C'est tout. Ah ! un détail, cependant. La coutume veut également que les Starberth meurent la nuque brisée...

Le Dr Fell raffole des légendes et respecte infiniment les coutumes. Mais il a la faiblesse de croire qu'il est impossible de se briser la nuque de père en fils. Pas sans l'aide d'un tiers mal intentionné, en tout cas...

6 livres
5 lecteurs

Comment expliquer l'inexplicable ? Comment mystifier le lecteur, l'égarer dans les labyrinthes de la Chambre close et du Crime impossible, et lui proposer enfin la solution logique à tous les mystères qui l'ont fasciné ?

Voilà le problème que John Dickson Carr s'attachera à résoudre tout au long de ses soixante-douze ouvrages -sans compter nouvelles et pièces radiophoniques- avec l'aide de ses limiers favoris, successivement Bencolin, le Dr Fell et sir Henry Merrivale.

Ce premier recueil du Dr Fell, qui proposent quatre enquêtes inédites en France, vous entraînera, de la Tour de Londres au pont du «Queen Victoria» en passant par la lande anglaise, sur les pas de «L'Homme qui expliquait les miracles»...

123 livres
4 lecteurs

1 - J. T. McINTOSH, Une chance sur trois cents (One in three hundred), pages 3 à 40, trad. (non mentionné)

2 - Esther CARLSON, Quelque chose de plus que les autres... (Heads you win...), pages 41 à 48, trad. (non mentionné)

3 - Raymond E. BANKS, Cantiques de Noël (Christmas trombone), pages 49 à 58, trad. (non mentionné)

4 - Alain DORÉMIEUX, Le Crâne, pages 59 à 66

5 - Alan NELSON, ...mais le silence est d'or (Silenzia), pages 67 à 78, trad. (non mentionné)

6 - Jack FINNEY, Le Troisième palier (The third level), pages 79 à 83, trad. (non mentionné)

7 - Michel CARROUGES, Le Cache-nez de caoutchouc, pages 84 à 91

8 - Lord DUNSANY, Diable d'histoire (Told under oath), pages 92 à 98, trad. (non mentionné)

9 - Oliver SAARI, Sa chance (The space man), pages 99 à 108, trad. (non mentionné)

10 - Jacques BERGIER & Igor B. MASLOWSKI, Ici, on désintègre !, pages 109 à 111, Critique(s)

11 - Alain DORÉMIEUX & Igor B. MASLOWSKI, Un "Fémina" très discuté, pages 112 à 113, Critique(s)

12 - F. HODA, De la fantaisie à l'actualité, pages 114 à 115, Chronique

13 - (non mentionné), Deux disciples oubliés d'Edgar Poe : Eugène MOUTON et Jules LERMINA, pages 116 à 121, Article

14 - (non mentionné), Voyages dans le temps, pages 125 à 125, Article

15 - COLLECTIF, Courrier des lecteurs, pages 126 à 126, Courrier

23 livres
27 lecteurs

Série Henry Merrivale

Quatrième de couverture

Pour moi, l'histoire a commencé le 6 septembre 1930. Le jour où Dean Halliday m'a demandé si j'accepterais de passer la nuit avec lui dans une maison hantée... La Maison de la Peste, celle dont il avait hérité après le suicide de, son frère James.

Je m'ennuyais, la proposition ne pouvait mieux tomber. J'ai accepté à condition que l'inspecteur-chef Masters nous accompagne. (Il a toujours adoré ce genre d'affaires, et c'est un spécialiste de la détection des faux médiums.)

Personnellement, j'étais sceptique, mais tout prêt à m'incliner devant une preuve irréfutable. (Mais qu'est-ce qu'une preuve irréfutable?)

Nous voilà donc partis à chasser le fantôme... mais aussi le voleur, en chair et en os, du poignard bizarrement disparu du London Museum...

6 livres
8 lecteurs

Série Henri Bencolin Tome 1

Quatrième de couverture

Regardez-les sortir de leur antre, les loups-garous, goules et autres vampires... Voyez-les rôder autour des chaumières paisibles lorsque brille la lune rousse...

Ils sont amusants, les contes de nos grands-mères. Pour un peu, on y croirait presque. Mais Bencolin a passé l'âge. Et, surtout, il dirige d'une main ferme la Sûreté générale. Alors les créatures sataniques ne l'effraient pas une seconde. D'ailleurs, que viendrait faire un monstre assoiffé de sang dans un cercle de jeu parisien ? Qui pourrait-il menacer là où règnent les lumières et le strass, les perles et les fourreaux de soie ? C'est absurde.

A moins que les loups-garous s'ennuient à la campagne...

4 livres
2 lecteurs

Ici votre hôte, l'Homme en noir, venu vous raconter une nouvelle histoire au coin du feu, « Rendez-vous avec la peur ».

Ainsi débutait, chaque semaine sur les ondes de la BBC, en pleine guerre mondiale, la série dramatique créée par Joh Dickson Carr.

Rendez-vous avec la peur, Suspense, Cabine B-13, La Bataille silencieuse... De 1943 à 1955, en Angleterre comme aux Etats-Unis, l'auteur de La Chambre ardente a écrit pour la radio plus de 90 pièces qui constituent une part considérable et ignorée de son œuvre : l'équivalent de vingt romans !

Histoires criminelles, de suspense ou d'espionnage, drames de guerre ou chroniques de propagande, évocations historiques, récits d'horreur ou d'humour noir, ici se révèle une facette inconnue de l'un des auteurs policiers les plus prestigieux du XXe siècle

Tous les livres de John Dickson Carr

Lorsque le superintendant Cheviot monta dans un taxi pour se faire conduire à Scotland Yard, il ne se doutait pas qu'il descendrait d'un fiacre devant l'ancien Scotland Yard, en 1829.

Il ne se doutait pas non plus qu'une élégante jeune femme de l'époque le reconnaîtrait sans peine pour son amant ; et il ne se doutait pas davantage que son chef - personnage historique dont il avait lu jadis la biographie et l'éloge funèbre - allait lui confier pour mission la recherche d'un voleur de graines d'oiseaux!

Cheviot, incertain de sa propre identité, ignorant des coutumes du temps, allait bientôt avoir à résoudre un crime apparemment impossible. Sous ses propres yeux, en présence de deux témoins, dans un couloir fermé à ses deux extrémités, une jeune fille était tuée d'un coup de revolver. Et sans qu'aucun coup de feu ait été tiré...

Ce roman policier insolite est sans nul doute le chef-d'oeuvre de John Dickson Carr.

Miles Despard, un vieux garçon de cinquante-six ans, a été enterré dans un caveau scellé au milieu de sa propriété, en présence de dizaines de témoins. Mais voilà que des soupçons pèsent sur sa mort. Maladie ou empoisonnement ? Pour couper court aux rumeurs et éviter le scandale, son neveu décide d'exhumer le corps. Mais une fois le cercueil ouvert, rien... Le cadavre a disparu! Peu à peu les langues se délient. Il semble bien que l'irrationnel soit au coeur de l'affaire.

SI TU ES DÉCIDÉ CE SOIR A COMMETTRE UN CRIME, pour la raison que tu veux avoir Peg Ralston envers et contre tout, tu as choisi pour le commettre un bien mauvais moment.

Ou bien y es-tu résolu, après tout ? Est-ce là pourquoi tu t'attardes et transpires ici, si près de l'échoppe ? Un homme déterminé eût depuis longtemps étranglé la vieille mégère... "

Loin en aval bouillaient des rapides phosphorescents. Un grand vent jouait, comme sur un violon, sur le Pont de Londres. A nouveau, Jeffrey se retourna et courut, sûr cette fois d'avoir entendu un cri de femme.

" Les Démoniaques " est un roman policier historique où l'érudition de John Dickson Carr fait merveille. Humour, aventures et intrigue policière... Seul Carr sait réussir ce mélange explosif.

Tout va pour le mieux pour le Dr David Garth, célèbre neurologue de Harley Street : ses meilleurs amis, Vince et Marion Bostwick, sont des gens charmants et il va épouser une jeune veuve délicieuse, lady Betty Calder, dont il fréquente assidûment le chalet au bord de la mer, à Fairfield.

Enfin, tout irait pour le mieux si, un soir, à son retour de Fairfield, l'inspecteur Twigg de Scotland Yard ne l'abordait devant son cabinet pour lui tenir d'obscurs propos sur ceux qui mènent une double vie. Et si l'ancien tuteur de Marion Bostwick ne lui avait pas demandé un rendez-vous à une heure indue pour que nul ne soit au courant de leur entrevue. Et si ceux qu'on attend à un endroit ne se trouvaient pas à un autre. Et si - en plus! - un meurtre n'avait pas lieu... et si ce meurtre n'était pas impossible.

Qu'est-ce qui peut donner à un Anglais flegmatique, consul de sa Majesté Britannique dans la Nouvelle Orléans du siècle dernier, la curieuse impression qu'un fantôme le suit ?

Pourquoi la ravissante Julie de Sancerre, jusque-là très sage malgré sa beauté, délaisse-t-elle son fiancé pour ne plus s'intéresser qu'à de sombres histoires de vaudou, et au sort d'une criminelle morte il y a bien des années?

Comme si ce n'était pas assez pour dérouter la haute société bien-pensante de la ville, elle se retrouve bietôt avec un cadavre sur les bras. Evidemment, il en faudrait beaucoup plus pour que le sénateur Judah Benjamin se mette à prendre au sérieux ces histoires de sorcellerie... Quoi, par exemple?

Par le maître du suspense et du fantastique, un thriller historique où les plus malins ne sont pas ceux que l'on croit. Ecrit en 1968 et inédit en France.

Traduction de Annie Hamel.

Ainsi que le veut la règle classique, le respectable gentleman est assassiné dans sa bibliothèque et tous les habitants de la maison sont soupçonnés tour à tour. Mais à partir de là les engrenages de précision de Mr J. Dickson Carr se mettent a broyer doucement la logique et les sentiments. La belle Eve Neill, prise entre la routine policière française et l'hypocrisie britannique, est sur le point d'y laisser sa raison - et le lecteur avec elle - lorsque arrive de Londres le Dr Kinross qui, tel OEdipe, bafoue le Sphinx et démontre que le surnaturel n'est pas de ce monde.

Quatrième de couverture

Chez Tallant, on ne fait que du livre moral, d'inspiration élevée, des ouvrages éducatifs ou religieux pour la plupart. Alors, qu'un meurtre soit commis dans la maison, quelle faute de goût ! Et un meurtre impossible, encore! Une variation extravagante de l'assassinat en chambre close...

Jugez plutôt : le patron des éditions a été tué d'une balle de revolver alors qu'il descendait seul dans son ascenseur personnel vers le rez-de-chaussée. Bien évidemment, la cabine ne s'est pas arrêtée à un étage intermédiaire, ce serait trop simple.

Alors? Il se pourrait bien que cette affaire-là cache des acteurs pas très moraux et des mobiles d'inspiration peu élevée...

Quatrième de couverture

Le respectable Nicholas Fenton, professeur d'histoire au Paracelsus College de Cambridge, spécialiste du XVIIe siècle, habite une maison qui appartenait, à cette époque, à un autre Nicholas Fenton, et où eu lieu un meurtre sur lequel les archives donnent nombre de détails, sauf le nom de l'assassin. Le Fenton de 1925 veut retourner au XVIIe siècle, un mois avant le meurtre, et, s'il se peut, élucider l'énigme.

Or, ce soir, le diable en personne se dérange pour négocier avec lui. Etonné mais prêt à tout, Fenton lui vend son âme en échange de ce retour vers le passé. Et, par la grâce... du diable, il devient l'autre Nicholas Fenton, un certain 10 mai de l'an 1675.

Désormais, c'est à lui de jouer. L'assassin, mais aussi, si possible, le diable.

Un roman historique inédit du maître écrit en 1951, et qui nous transporte dans l'Angleterre de 1675

Londres, 21 juin 1815. Napoléon (Boney pour les Anglais), vient d'être défait à Waterloo, et Caroline s'inquiète :

- Cette victoire ne risque pas de contrarier mes plans? Il ne peut pas échapper à la mort ?

Il, c'est Richard Darwent. Un bien brave homme, pourtant. Et même un bel homme, sous la crasse et les loques qui le recouvrent. Qui sait, peut-être même un homme de qualité? Et quel crime a-t-il commis ?

Caroline n'en a cure. Tout ce qu'elle sait, c'est que son grand-père lui a laissé une fortune, à condition qu'elle soit mariée avant l'âge de vingt-cinq ans. Belle comme elle est, ce ne sont pas les occasions qui lui manquent. Mais un mari, pour quoi faire ? Pourquoi s'encombrerait-elle d'un homme qui n'aura sur elle que des droits ?

Tandis que celui-là... A peine l'aura-t-elle épousé qu'il sera pendu...

Quatrième de couverture

Jennifer ne se sent pas très à l'aise chez lady Oldham. Non que sa tante lui manque d'égards, mais... d'étranges souvenir l'habitent, des réminiscences d'une autre vie située à 150 ans de là, dans le futur. Tout, autour d'elle - le décor, les vêtements, le langage... - lui montre qu'elle est bien au XVIIIe siècle, plus exactement en 1795. Mais il y a aussi cette rue encombrée, cette pluie diluvienne, cette peur... et Philip, l'homme de sa vie passé et future à la fois. Philip, précisément : le voilà qui lui fait face, dans l'escalier, aussi troublé quelle. Philip qui, depuis quelques heures, n'est plus le lord Glenarvon falot que l'on connaissait, et qui ne tarde pas à être accusé du meurtre de la camériste de son épouse...

Et voilà que ce XVIIIe siècle, si inattendu, su déroutant aux yeux des jeunes gens, se révèle être un reflet fidèle de ce qu'ils ont vécu au XXe siècle ! Trouveront-ils dans le passé la solution qui se dérobait à eux dans le présent, ou bien leurs aventures tendent-elles simplement à prouver qu'après tout, l'histoire 'est qu'un éternel recommencement ?

Le colonel Richard Kinsmere a-t-il inventé de toutes pièces la destinée de son grand-père, Roderick Edward Kinsmere ?

En effet, l'histoire qu'il raconte à ses petits-enfants, un soir de 1815, fait jouer à Roderick ni plus ni moins que le rôle du sauveur de la couronne britannique...

Car sous le règne de Sa Très Téméraire Majesté le roi Charles II, sauver la royauté signifie compromissions, corruption et même, parfois, suicide ou meurtre...

Cinq heures du soir... L'heure du thé, l'heure à laquelle le brouillard tombe sur la ville, favorisant les apparitions mystérieuses, l'aventure ...

Aujourd'hui, justement, voici que se présente dans ce très respectable cabinet d'avocats londoniens Abu d'Ispahan, un petit homme craintif qui a une histoire bien étrange à raconter...

Mais le temps pour le héros de prévenir son ami et collègue au bout du couloir, et le petit homme se retrouve sur le tapis du bureau, poignardé dans le dos, alors que personne n'a pu ni entrer, ni sortir de la pièce...

Que se passe-t-il chez le juge Quayle? Jeff Marie a bien connu les enfants Quayle et l'impressionnant vieux juge, dans sa jeunesse. Mais dix années se sont écoulées depuis l'éclatement du petit groupe, des années passées principalement pour lui loin des Etats-Unis.

Or, voilà que dès son retour, le vieux juge lui demande de passer le voir. Mais est-ce bien pour lui parler du livre qu'il a enfin écrit? La vaste demeure du juge a changé, l'atmosphère y est lourde... et, sous les yeux de Jeff Marle, le juge est victime d'une tentative d'empoisonnement, sauvé de justesse par son gendre, médecin.

Et qu'est-ce donc que cette main de marbre qui apparaît et disparaît, comme douée de vie, et terrorise le juge? Est-ce celle de la statue de l'empereur Caligula qui trône dans la bibliothèque?

Une réédition très attendue du Maître de l'Enigme impossible.

Après des années passées en Amérique, le journaliste Christopher " kit " Farrell regagne l'Angleterre. Son ami Nigel Seagrave doit l'entretenir d'une affaire qui le préoccupe : il est persuadé que Muriel, la femme qui partage sa vie, n'est pas celle qu'il a épousée. Pour étayer sa thèse, il organise au manoir d'Udolpho un dîner au cours duquel il espère obtenir une preuve de ce qu'il avance. A la fin du repas, le maître de maison invite les convives à le rejoindre dans la splendide serre tropicale qui fait sa fierté. Mais lorsque les hôtes y pénètrent, ils découvrent le corps de Nigel, gisant sur le sol, frappé d'une balle en pleine poitrine. Ce n'est que le début d'une série de faits déroutants et inexplicables, que la police va s'efforcer d'élucider... Avec l'aide d'un personnage réel, l'écrivain Wilkie Collins, célèbre pour ses romans d'épouvante et de mystère. Voici l'un des derniers inédits de John Dickson Carr, l'un des auteurs les plus inventifs en matière de crime en chambre close. Associant une minutieuse reconstitution de l'époque victorienne à l'esprit du roman gothique, les nouveaux mystères d'Udolpho maintient jusqu'au bout le suspense et le défi intellectuel, sans oublier l'humour et l'érudition littéraire.

L'Aventure de sept horloges, du chasseur d'or, des joueurs en cire, du miracle de Highgate, du sombre baronnet, de la chambre hermétiquement close, de Foulkes Rath, du rubis d'Abbas, des Anges noirs, des deux femmes, de l'horreur de Deptford, de la veuve.

Relatés par le fidèle Watson, douze exploits de Sherlock Holmes, douze affaires captivantes, inextricables, que le célèbre détective réussit à dénouer grâce à ses dons d'observation aigus, sa logique implacable, ses méthodes subtiles et hardies.

Mesure et bienséance, voilà ce qui compte pour le sujets de sa Gracieuse Majesté la reine Victoria. Et à High Chimneys, on cultive les convenances avec plus de zèle que partout ailleurs. Pourtant Cella et Kate, le deux filles de la maison, semblent oublier depuis peu la réserve qui sied à leur position. Peut-être à raison. Ca enfin, vont-elles se contenter de baisser pudiquement les yeux et sortir leur flacon de sels quand un fantôme sème la terreur au domaine ? D'autant que l'ectoplasme n'a rien d'une aimable apparition. Foin des chaînes et des plaintes lugubres, ce fantôme-là tue. Et avec l'une des dernières merveilles de la technique : un revolver à cartouches métalliques...

Pour faire de lui son héritier, l'oncle Gaylord Hurst -un pauvre homme affreusement riche - exige que son neveu Larry, qu'il n'a pas revu depuis l'adolescence, revienne en Angleterre et lui rende visite une fois par semaine. Larry, à qui cette idée donne froid dans le dos, offre i0000 dollars à Bill Dawson pour prendre sa place. Non sans le prévenir : l'oncle est un pervers, un sadique, un monstre. Attention. Il médite certainement quelque farce terrifiante...

Comment résister à r o 000 dollars quand on n'a ni mangé ni fumé depuis deux jours? Mais s'il avait su... Meurtres, empoisonnements, peut-on appeler ça une farce? Neuf troublantes questions se posent...

S'il existe neuf mauvaises réponses à ces questions, il en existe aussi neuf bonnes...

A Bowstring, dans la bibliothèque, on montre encore aux visiteurs une grande horloge, sans manquer de leur raconter la sombre histoire dont elle fut le témoin. C'est une pièce de fabrication allemande qui, autrefois, faisait entendre son tic-tac agréable et son jeu de carillons savants; à la sonnerie des heures, on voyait une tête jaune, toute ronde, évoluer souriante autour du cadran.

Deux ans se sont écoulés depuis la nuit tragique au cours de laquelle la tête a cessé de tourner et les carillons de sonner. Après avoir marqué l'heure de la mort de Lord Rayle, cette horloge a, pour ainsi dire, veillé sur lui dans les moments qui suivirent; c'est d'ailleurs la raison à laquelle elle dut d'être cassée. Aux visiteurs favorisés, on montre les traces de balles, restées visibles bien que le sang ait été lavé depuis longtemps...

Le crime parfait, un must ? Allons donc ! Le colonel March a un "dada" autrement plus ébouriffant : le crime impossible. Assassin, victime ou indice, il y a toujours dans les affaires dont il s'occupe quelque chose qui dépasse le commun des enquêteurs. Comme, par exemple, ce meurtre commis par des mains sans corps. Ou bien, cette victime morte et enterrée depuis longtemps que l'on tue à nouveau. Ou plus fort encore, cette empreinte d'un grand pied laissée sur le faîte d'une haie qui ne supporterait pas le poids d'un chat. Mais le plus étonnant, c'est que le colonel March trouve toujours l'explication. Car ces histoires-là en ont une…

C'est à flanquer le moral de la Grande Armée tout entière, une histoire pareille! Pensez-donc, un mystérieux assassin qui tue des sentinelles à la barbe de leurs compagnons sans qu'on puisse expliquer comment il procède...

Et il signe ses crimes, l'insolent: capitaine Coupe-gorge, voilà le nom qui figure sur les cartes épinglées aux cadavres. Encore une machination des Anglais. Un de leurs agents s'est infiltré dans le camp et tente de semer la terreur. Il pourrait bien réussir, le bougre, on parle déjà de mutinerie...

A moins que le ministre de la police ne monte une attaque subtile. En infiltrant dans le camp un second agent anglais. Mais à sa solde, celui-là. Du moins le croit-il...

La jeune fille est ravissante, elle a les yeux gris et les cheveux noirs. Le jeune homme n'est peut-être pas très beau garçon mais son sourire est irrésistible. Voilà pour le début et, pourquoi pas la fin ? Rien de miraculeux là-dedans me direz-vous, et pourtant...

Le gaz ouvert dans une chambre close. Un fantôme qui murmure des menaces de mort dans les galeries des échos de la cathédrale Saint-Paul de Londres : il en faudrait beaucoup moins pour effrayer une jeune fille, mais il n'en faut pas davantage pour que Tom Lockwood vole au secours de Jenny Holden.

Non sans s'assurer l'aide désinvolte et indispensable de Sir Henry Merrivale. Car qui, sinon l'illustre " vieux bonhomme ", serait capable de mobiliser cent kilos de matière grise pour déjouer les piètres astuces, mais aussi la férocité d'un authentique jaloux ?

"Pour l'amour du ciel, il faut que tu viennes à la Nouvelle Orléans avant le 1er mai au plus tard, Jeff... c'est terriblement important..."

Jeff Caldwell n'en sait pas plus. Et après avoir retrouvé par hasard, sur le bateau qui le ramène dans son pays natal, d'abord son ami d'enfance David Hobart, celui qui a fait appel à lui, puis sa blonde et ravissante soeur Serena, il n'en sait toujours pas plus. Sinon qu'ils veulent vendre "Delys Hall".

"Delys Hall", la maison de leurs ancêtres, celle que tout le monde appelle "Le Manoir de la Mort". Dieu sait pourquoi...

Ici votre hôte, l'homme en noir, venu vous raconter une nouvelle histoire de notre série à écouter au coin du feu " Rendez-vous avec la peur ".

Ainsi débutait chaque semaine sur les ondes de la BBC, en pleine guerre mondiale, la série dramatique créée par John Dickson Carr. Rendez-vous avec la peur, Suspense, Cabine B-13 Bataille silencieuse...

De 1943 a 1955, en Angleterre comme aux États-Unis, l'auteur de La Chambre ardente a écrit pour la radio plus de 9o pièces qui constituent une part considérable et ignorée de son oeuvre l'équivalent de vingt romans !

Histoires criminelles, de suspense ou d'espionnage, drames de guerre ou chroniques de propagande, évocations historiques, récits d'horreur ou d'humour noir, ici se révèle une facette inconnue de l'un des auteurs policiers les plus prestigieux du XXe siècle.

Petits crimes impossibles? Pas vraiment: nos victimes passent bien de vie à trépas...

Cependant, que penser de ces personnes retrouvées mortes dans des pièces hermétiquement closes et constamment sous surveillance?

Des suicides? Certes, mais quand l'arme du crime a disparu... A moins que le surnaturel ne s'en mêle car il est peu courant de voir un homme batifoler avec sa maîtresse alors qu'il est censé se trouver à la morgue.

Voilà donc de quoi mettre en ébullition le cerveau des plus grands détectives! Mais qu'ils se nomment Sherlock Holmes, Thackeray Phin ou Sam Hawthorne, rien ne les arrête. Ni la disparition improbable d'une jeune fille sur une route déserte ni même celle d'une ville entière ne parviendront à déstabiliser nos enquêteurs.

Dès lors qu'ils entrent en scène, on ne peut qu'approuver la devise de Matt Tudor, détective privé: " l'affaire est dans le sac. "

Lorsque des auteurs tels que John Dickson Carr, Peter Lovesy, Pierre Boileau, Paul Halter, ou Edward D. Hoch prennent leur plume, ils nous entraînent dans des énigmes plus retorses les unes que les autres. Au lecteur de faire fonctionner ses petites cellules grises, pour tenter de rivaliser avec quelques-uns des plus fins limiers de la littérature policière!

Pourquoi, de loin en loin, les morts reviennent-ils dans le monde des vivants ? A quoi au juste correspond leur retour ? Et pourquoi, lorsqu'ils reviennent, cherchent-ils presque toujours à troubler, à bouleverser l'existence quotidienne ?

Il y a trente-six raisons pour revenir - et autant de manières de se manifester à la vie. Un mort peut resurgir sous l'aspect d'un fantôme ou d'un spectre mais aussi d'une façon plus subtile, par un simple bruit par exemple, ou une odeur, ou un objet qui lui a appartenu autrefois, ou n'importe quel autre maléfice...

Cette anthologie propose quinze retours différents. Les uns sont épouvantables, les autres tragiques, certains feront rire, quelques-uns, peut-être, feront pleurer. Mais tous témoignent de l'incertitude de l'être humain devant les choses de la mort.

Un meurtre dans les beaux quartiers londoniens, ça sort un peu de l'ordinaire. Surtout quand la victime est Mr Justice Mortlake, un magistrat réputé pour son indulgence.

Et mieux encore, lorsque l'enquête conduit la police dans un cul-de-sac : plus de suspects qu'il n'en faut, aucun mobile, et des armes du crime en veux-tu en voilà...

Pourtant, l'inspecteur Page n'a pas son pareil pour réunir les indices. Personne ne sait mieux les interpréter que le colonel Marquis... Le meurtrier s'est cru supérieur...

Mais ces messieurs de Scotland Yard ont te temps pour eux, et ils supportent mal de jouer aux devinettes...

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