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Par Angelique-C le 19 Août 2014 Editer
Angelique-C
"Je refuse la guerre et tout ce qu'il y a dedans. Je ne la déplore pas moi... Je ne me résigne pas moi...Je la refuse tout net avec tous les hommes qu'elle contient, je ne veux rien avoir affaire avec eux, avec elle. Seraient-ils 995 même et moi tout seul, c'est eux qui ont tort et c'est moi qui ai raison car je suis le seul à savoir ce que je veux : je ne veux plus mourir."
Louis-Ferdinand Céline - Voyage au bout de la nuit
Cet été, je me suis enfin décidée à lire le classique Voyage au bout de la nuit (1932) de Louis-Ferdinand Céline. Je l'ai dans ma bibliothèque depuis la première (j'ai étudié quelques passages pour le bac) mais je n'ai jamais pris le temps de le lire avant. En même temps j'ai tellement de livre à lire, et je vais avouer que Voyage au bout de la nuit n'était pas celui qui me bottait le plus mais je voulais le lire. J'ai donc attendu les vacances pour pouvoir complètement me plonger dedans. Depuis le début j'étais partagé entre le fait qu'il semblait intéressant (mais je ne pouvais pas non plus me fier au peu que j'avais étudié) et le fait qu'il avait l'air ennuyant à mourir et 623 pages quand tu n'accroches pas c'est très long !

J'avoue que j'ai eu énormément de mal au début, j'ai lu 10 pages et dans ma tête c'était "oh mon Dieu ce sera chiant comme ça tout du long" ? Mais je ne peux pas laisser tomber un livre, si je le commence je dois le finir. J'ai donc décidé de le lire le plus vite possible pour lire autre chose après. Et puis Andréa m'a dit qu'elle le lisait aussi, elle m'a dit qu'elle aimait vraiment beaucoup et que ça devenait bien surtout au milieu du roman. Dès le lendemain j'ai continué à le lire et au fil des pages je me suis rendu compte que je commençais à rentrer dans l'histoire. Finalement il n'est pas si mal, l'auteur nous décrit une société méchante voire lâche où malgré les difficultés notre Bardamu essaie de s'en sortir et de vivre. Toute l'histoire repose sur cela : vivre. Dès les premières pages on suit un Bardamu en danger, il est à la guerre, lui qui se pensait vrai patriote ne pense plus qu'à une seule chose : partir. Et c'est à la suite de tout cela qu'il va se retrouver en Afrique au milieu des colonies puis aux Etats-Unis où il est finalement déçu (on l'avait prévenu), il décide de rentrer en France pour côtoyer la misère humaine, ce qu'il a en quelque sorte toujours fait.

la suite de ma critique ici : http://allaroundthecorner.blogspot.fr/
A propos du livre :
Voyage au bout de la nuit
Voyage au bout de la nuit
Par Phael le 22 Juin 2014 Editer
Phael
A ceux (souvent jeunes et écrivant dans un français cahotique...) qui n'ont pas aimé ce chef d'oeuvre : laissez passer quelques années, lisez pour combler vos incroyables lacunes dans la maîtrise de la langue française, et revenez - y! Alors vous apprécierez!
A propos du livre :
Voyage au bout de la nuit
Voyage au bout de la nuit
Par baloucool le 29 Juin 2013 Editer
baloucool
Je n'ai pas du tout apprécier ce livre à cause de l'écriture, je n'ai pas accrocher et j'ai trouver ce livre particulièrement long et ennuyeux
A propos du livre :
Voyage au bout de la nuit
Voyage au bout de la nuit
Par Yune le 1 Mai 2013 Editer
Yune
Comme certains, j'ai du lire ce livre pour les cours et je ne l'ai pas vraiment apprécié. Je ne m'attendais bien attendu pas à retrouver une écriture du style de Zola mais Céline écrit vraiment de la même manière qu'il parle. Je pense que c'est cette écriture qui m'a vraiment gênée dans cette lecture. Néanmoins, Voyage au bout de la nuit est un roman intéressant dans le siècle qui l'a vu naître. Il est vraiment représentatif du XXième siècle.
Peut-être qu'après l'étude de certains passages en classe, je me réconcilierai avec ce livre.
A propos du livre :
Voyage au bout de la nuit
Voyage au bout de la nuit
Par Mellana le 18 Avril 2013 Editer
Mellana
J'ai détesté ce livre de bout en bout tout en voyant parfaitement le talent de l'auteur.
Je regrette vraiment de ne pas arriver à apprécier.
A propos du livre :
Voyage au bout de la nuit
Voyage au bout de la nuit
Par Alamys le 25 Décembre 2012 Editer
Alamys
Tout a été dit et écrit sur ce pur chef-d'oeuvre. Un livre inoubliable, qui nous hante longtemps après l'avoir refermé. Exceptionnel.
A propos du livre :
Voyage au bout de la nuit
Voyage au bout de la nuit
Par Haye le 22 Novembre 2012 Editer
Haye
Après quelques années d'hésitation(doux euphémisme),je me suis lancé dans la lecture de ce formidable roman à l écriture jubilatoire.L'odyssée de Bardamu sera suivie par le non moins foisonnant "Mort à Crédit".
Malheureusement,c'est le même auteur qui a vomi les infectes autant qu'illisibles "Bagatelles pour un Massacre".
A propos du livre :
Voyage au bout de la nuit
Voyage au bout de la nuit
Par BenoitD67 le 7 Novembre 2012 Editer
BenoitD67
Bon, il est évident que pour cette chronique, je ne serais pas du tout objectif. Je suis fan de Louis-Ferdinand Céline et j’assume totalement. Je ne parlerais pas ici du personnage sujet à controverse mais de ses écrits et tout particulièrement de « Mort à crédit » publié aux éditions Gallimard/Futuropolis avec les illustrations sublissimes de Tardi.

D’abord, il faut s’habituer à l’écriture tellement différente de celle rencontrée aujourd’hui. Céline écrit comme il parle, ou plutôt comme il pense. Des phrases très courtes séparées entre elles par des points de suspension comme on passe d’une idée à une autre sans attendre, sans presque respirer. Il faut lire Céline ou non, il faut le lire mais à voix haute. Ou alors écoutez-le…

L’histoire de « Mort à crédit » peut se résumer en trois parties :
L’enfance de Bardamu (le double de Céline, bien qu’il s’agit essentiellement d’une fiction). Ses parents sont des modestes commerçants petit-bourgeois qui survivent de crédit en crédit ; ce qui donnera le titre au roman. La mère est handicapée mais toujours prête à aider son fils et voudrait pour lui un avenir plus rose. Le père, simple employé de bureau est beaucoup moins tendre avec son rejeton, l’enjoignant au plus vite d’entrer dans la vraie vie celle du travail. Le travail du père, lui, ressemble fort à celui d’aujourd’hui avec ses querelles intestines, l’ambition, les restructurations…

Cette première partie est dure, noire, on y ressent l’ambiance de la Belle Epoque (qui n’est « belle » que par son nom), savoureux contraste entre les avancées technologiques (L’exposition universelle de 1900 y est superbement décrite), les inventions multiples (on en reparlera plus tard), la montée artistique et d’un autre côté, les différences sociales où la fracture entre bourgeoisie dominante et monde ouvrier est importante. Cette montée technologique sonnera, on le constatera ici, le début de la fin du petit commerce tel que pratiqué par la mère de Bardamu.

L’exil en Angleterre au collège à Rochester est décidé par le père de Bardamu suite aux nombreux échecs, déboires et débauches de Bardamu. L’oncle Edouard joue déjà ici le rôle de père de substitution, le seul qui croira à l’avenir de Ferdinand.

Ah l’Angleterre ! Bardamu y est pour y apprendre la langue, indispensable sésame au commerce auquel son père voue. Ce sera, vous le pensez bien, un énorme échec. Ferdinand n’ouvrira pas la bouche, n’apprendra finalement que quelques mots. Par contre, il goûtera aux plaisirs de la chair (pas la bonne chère par contre) et de la boisson. Jusqu’à la fin du collège, contraint de fermer ruiné face aux promoteurs d‘un autre établissement concurrent et flambant neuf. Notre héros rentrera finalement chez lui retrouver sa misère et ses parents déconfits.

Retour qui ne sera pas long. Après une très violente dispute avec son père qu’il arrive presqu’à tuer, l’oncle Edouard, de nouveau en bon samaritain, lui trouve un job chez le fantastique Courtial des Pereires, génial inventeur, aérostier, visionnaire.

Cette troisième partie est plus savoureuse, plus drôle (même si il s’agit d’un humour ironique), plus calme aussi dans l’écriture. Mais de nouveau, très vite, l’argent (qui manque encore et toujours) sera le maître du jeu, forçant Bardamu à magouiller tant et plus. L’épisode sur la nouvelle agriculture assistée (on est en pleine révolution technologique) est dramatique aussi bien au niveau des cultures (le champ de pommes de terre cultivée au milieu de courants électriques…), que des protagonistes.
Finalement Ferdinand retrouvera l’oncle Edouard, le sauveur qui malgré tout se force à croire en lui, en son avenir. Mais pour faire quoi ? Finira-t-il au régiment comme le souhaite Bardamu, comme son propre père le suggérait dès les premières déconvenues… Allez savoir… Ou plutôt lisez « Le voyage au bout de la nuit », le chef-d’œuvre de Louis-Ferdinand Céline.
A propos du livre :
Mort à crédit
Mort à crédit
Par Francisco_Varga le 22 Juillet 2012 Editer
Francisco_Varga
Je ne connaissais pas celine, la premiere fois que j'ai lu ce livre. alors, je l'ai abordé sans a priori.
Cet oeuvre a marqué ma vie... et maintenant que je connais l'histoire de cet auteur, je sais avec certitude qu'il n'y a pas de morale au génie.
A propos du livre :
Voyage au bout de la nuit
Voyage au bout de la nuit
Par xning96hp le 17 Juillet 2012 Editer
xning96hp
Ce livre me laisse un avis assez mitigé. Le style n'est pas de mon goût, il est plutôt simple (familier, voire vulgaire, ce que je n'aime pas particulièrement) et pourtant, la lecture a été assez laborieuse. Barnabu me fait un peu penser à Meursault dans l'Etranger de Camus, peut-être par son caractère distant par rapport à la société, il est trop différent des autres. Ainsi, son analyse de la société et des gens est assez réfléchie et approfondie, et je suis parfois d'accord avec lui. En même temps, je méprise Ferdinand, et en même temps j'ai parfois pitié de lui.
A propos du livre :
Voyage au bout de la nuit
Voyage au bout de la nuit
Par Mondaye le 11 Juillet 2012 Editer
Mondaye
Que dire de Celine...
Une ordure certes, cela ne se discute pas (a moins qu'on porte une petite moustache et le petit nom d'Adolphe) mais un génie aussi, un génie dans son œuvre révolutionnaire qu'est le voyage au bout de la nuit, œuvre majeur qui reste un incontournable et dont on ne saurait contourner la lecture


Un ouvrage charge d'un grand pessimisme l'incipit en est la preuve, en quelque phrase, il passe a la moulinette les gens l’Époque, la jeunesse le gouvernement, le patriotisme, toutes les valeurs auquel on adhère si pleinement, et jette a bas l'amour par une phrase assassine, "l'amour c'est l'infini mit a portée des caniche"
A propos du livre :
Voyage au bout de la nuit
Voyage au bout de la nuit
Par PanicApfel le 14 Décembre 2011 Editer
PanicApfel
Je l'ai enfin fini ! Je vais presque pleurer tellement il m'a retardé dans mes lectures. Mais c'est vrai que le style de Céline est très particulier. C'est vraiment un beau livre, complet, l’œuvre d'une vie mais un calvaire à lire. Vraiment. 534 pages où je n'ai fait que soupirer et j'ai sauté pleins de passages où il parle tout le temps de l'humain. Ça m'a déprimé, vraiment. Tout d'abord parce que Bardamu est un anti-héros difficilement compréhensible et également parce que sa vision du monde est négative. Je ne dis pas qu'elle n'est pas juste, c'est vrai le monde d'aujourd'hui est pourri jusqu'à la moelle mais pourquoi toujours le rabâcher ? Etplus d'actions n'auraient pas fait de mal. Mais c'est également vrai que ce livre est une œuvre accomplie qui a nécessité un travail titanesque de la part de Céline surtout au niveau écriture. Voilà, donc j'en sors avec un avis très mitigé.
A propos du livre :
Voyage au bout de la nuit
Voyage au bout de la nuit
Par Joyce le 16 Février 2011 Editer
Joyce
J'adore Céline, mais je n'ai lu que Voyage au bout de la Nuit, quant j'aurais avancé dans ma PAL, il faudra vraiment que je m'y mette!
A propos du livre :
Mort à crédit
Mort à crédit
Par Maiwenn_hrw le 12 Mars 2024 Editer
Maiwenn_hrw
C'est un livre réaliste qui devait être écrit. Mais pas simple d'apprécié un livre où tout les personnages sont détestable et où tout est vu d'un mauvais œil.
A propos du livre :
Voyage au bout de la nuit
Voyage au bout de la nuit
Par gwenole-180 le 20 Février 2024 Editer
gwenole-180
Un premier pamphlet de Céline qui est corrosif! Tout le monde en prend pour son grade... Tant bien les communistes, qui exploitent les hommes pour leurs propres vouloirs, que les bourgeois qui sont d'un égoisme radical et prêt à vendre père et mère pour garder leurs avantages et ne pas se mélanger avec les prolos. La fin du pamphlet est sarcastique et fait beaucoup réféchir quant à l'état de notre démocratie en France et du citoyen moyen!
A propos du livre :
Mea Culpa
Mea Culpa

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