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Et une sublime couverture quoi demander de plus ? Et bien rien.
Ils ne devaient pas s'aimer
En soit, je comprends parfaitement l’importance de cette partie, car on a besoin de ce moment d’introspection pour bien comprendre les émotions du personnage, mais je n’ai pas pu m’empêcher de la trouver longue, voir un brin ennuyeuse sur la fin et j’admets avoir eu hâte que ça se termine. Plus d’une fois, l’envie qu’il se secoue un peu les puces et arrête de se morfondre s’est faite omniprésente durant toute cette partie de ma lecture, si bien que j’ai peiné pour continuer.
Heureusement, le côté secret de familles, l’atmosphère tantôt pesante, tantôt pleine de mystère m’a incité à continuer ma lecture. Je voulais découvrir le mystère de ce manoir, et également savoir ce qui était arrivé à Rosalie finalement, était-elle toujours vivante ? Que s’était-il réellement passé le jour du fameux accident ?
Autant de questions, qui ont rapidement trouvé réponse, mais pas nécessairement comme je le pensais. Je n’avais effectivement pas vu venir la partie vampirique, ayant tendance à ne pas chercher à connaître les thématiques dont traite un livre afin d’en avoir pleinement la surprise lors de ma lecture. Cependant, je l’ai trouvé plutôt bien amené et en adéquation avec l’ambiance du roman.
Si ce livre n’aura pas été un coup de coeur, et même si j’ai dû m’accrocher au milieu pour continuer ma lecture, le jeu en valait la chandelle et ça reste une lecture que j’ai beaucoup aimé.
Les Ombres du val
Cependant, j'ai quand même apprécié l'histoire et son ambiance mystérieuse, parfois pesante. J'ai également beaucoup aimé la plume de l'auteure qui est fluide et assez poétique.
Ce n'est donc pas un coup de cœur mais c'était une lecture sympathique pour la période automnale.
Les Ombres du val
Le kaiser sombre dans la folie et l'abus d'opium depuis la mort de sa femme.
L'on suit trois personnages principaux, la fille du kaiser, gâtée et rebelle, l'exécuteur du kaiser, moitié humain et métaux au psychisme abîmé et sans pitié et le capitaine d'un aéronef qui allie intelligence et don.
Ce récit steampunk plein de noirceur et bien imaginé ne nous laisse aucun temps mort et après l'attentat contre viktoria tout devient une course poursuite pour la sauver et destituer son père.
Petit conseil : brisez vos miroir si vous ne voulez pas être surveillé par des yeux reptiliens !
Récits du monde mécanique, tome 1 : Smog of Germania
Ce troisième tome aura été un véritable coup de cœur auquel j’ai du mal à trouver des défauts. Il contient tout ce que j’aime chez cette auteure et tout ce que je recherche dans un livre: un univers sombre, des personnages travaillés et torturés qui sortent du lot, une identité littéraire dans l’écriture et une mentalité particulière qu’on ne retrouve que trop rarement dans la littérature SFFF francophone à l’exception de quelques auteurs dont je parle assez souvent sur le blog. Je ne peux que vous conseiller la lecture de ses ouvrages, particulièrement si vous aimez les ambiances militaires, les univers uchroniques et les protagonistes inoubliables. J’ai tourné les dernières pages avec émotion en disant adieu à ce monde et à cette saga qui a donné naissance à l’un de mes personnages littéraires préférés (c’est vous dire !). Merci Marianne pour cet extraordinaire voyage dans les mondes mécaniques ♥
Récits du monde mécanique, tome 3 : Realm of Broken Faces
Bal Masqué
En savoir plus sur : https://livraisonslitteraires.wordpress.com/2017/10/01/livres-et-gourmandises-bal-masque-1616/
Bal Masqué
Les personnages sont son point fort, je dirais. Il y en a une multitude, fidèles à l'univers steampunk et à celui développé par l'auteur. Mais, surtout, les protagonistes sont très bons (dans le sens "bien écrits", parce que leur bonté, c'est une autre paire de manches !). J'ai tout de suite succombé à Jeremiah, malgré son allure, son comportement, sa réputation. L'électricité entre lui et Viktoria est palpable et me donnerait presque des frissons à chaque fois qu'ils se confrontent l'un à l'autre, ou même simplement dans leurs discussions. Jeremiah est un personnage comme je les adore... et Maxwell n'est pas en reste non plus, puisqu'il incarne l'autre facette de mes préférences en matière de personnages. Comme Jeremiah le souligne si bien : les ténèbres et la lumière. Même si, comme le ying et le yang, il y a une touche de l'autre dans chaque.
Au milieu de ça, Viktoria est souvent un peu paumée, déboussolée après avoir été arrachée au faste de la noblesse... et si c'était un peu prévisible, ça n'en reste pas moins rafraichissant quand, dans la plupart des romans du genre, les demoiselles me semblent toujours un peu trop enhardies par rapport à ce qu'on sait de cette époque... Ici, je trouve Viktoria bien plus naturelle que toutes les autres héroïnes du genre ! C'est un très bon point.
L'univers est dépeint également d'une manière rafraichissante. On retrouve un soupçon de ce qui fait le steampunk habituellement, avec les robes, les boulots, les automates et l'essor/prépondérance des machines/usines au charbon... mais le fait que le récit se déroule en Allemagne donne une touche de fraicheur parmi tous les autres prenant place à Londres. Même si je n'ai pas compris tous les morceaux de dialogues et interjections en allemand (ouais, quand on grandit en Lorraine, on ne prend pas forcément allemand en première ou en seconde langue au collège/lycée, donc je ne comprends pas un mot ! xD), c'était agréable ! L'importante présence des zeppelins aussi plaisante, eux qu'on ne voit, au final, pas très souvent alors qu'ils font, à mon sens, partie intégrante du steampunk. Le smog, bien logique dans les récits du genre, apparaît pourtant comme sortant de l'ordinaire, lui qui est tellement peu présent dans les autres romans... alors qu'avec une industrie au charbon, il devrait également être prépondérant aussi dans les autres... Stern a développé un univers steampunk comme on les aime, mais avec des touches de nouveautés rafraichissantes malgré tout tout à fait logiques avec le genre.
L'intrigue est très bien ficelée aussi, quant à elle. Des mystères, des secrets, des intrigues, des trahisons. Quelques rebondissements et dénouements m'ont semblé faciles ou prévisibles, mais d'un autre côté, ce n'était pas gênant non plus car, à mon sens, ce n'était pas dû à une paresse de l'auteure mais bien à l'immersion dans l'histoire et à la façon intime qu'on a de connaître les personnages après avoir suivi leurs péripéties. L'aventure nous tient en haleine jusqu'au bout, les scènes d'action et de combat, qu'ils soient aériens ou à l'épée, les courses-poursuites, nous mènent à un rythme effréné, surtout à la fin.
"Smog of Germania" fut donc une très bonne lecture et je félicite encore une fois les Editions du Chat Noir ainsi que leurs auteurs pour cette petite merveille. Oh, et petite mention spéciale pour Charogne et Gadoue, que j'ai savourés comme un plaisir coupable.
Récits du monde mécanique, tome 1 : Smog of Germania
J'avais déjà adoré Smog of Germania (dont je vous recommande chaudement la lecture) pour de multiples raisons: son univers sombre et malsain, ses personnages riches et attachants dans leur noirceur, cette atmosphère étouffante dans laquelle je me reconnais si bien. Ici, on troque Germania contre les Indes ou plus précisément, Surath, au début du 20e siècle, toujours sous l'emprise britannique. On suit les (més)aventures de Lord Nelson, gouverneur de la ville et gérant de la compagnie des indes orientales. Un personnage qui, dans les premiers chapitres, me laissait relativement indifférente.. mais qui a su, finalement, susciter mon attachement. C'est un homme assez complexe derrière son apparente superficialité, très intéressant sur un plan psychologique et dans son développement émotionnel. J'ai été surprise plus d'une fois par ses actes et je le trouve très réussi, très humain, très vrai. On suit également Charles de Bellecourt, un français mystérieux qu'on apprend surtout à aimer dans la deuxième partie du roman. C'est un espion (non, ceci n'est pas un spoil) qui m'a d'abord donné l'impression d'une caricature mais qui a su révéler des failles très attachantes. Accompagné par son ami Lebrun, il va être, lui aussi, lancé à la poursuite de Maxwell. Ces deux personnages, que je juge principaux, sont accompagnés par une flopée d'autres tels que Erzebeth, une Duchesse qu'on giflerait bien pour se soulager un peu, le capitaine Clive, un militaire assez glacial (quoi qu'il m'a surprise à un moment...) et, cerise sur le gâteau... On retrouve Maxwell, mon orfèvre adoré <3 (oui, il mérite bien un cœur !) Rien que d'écrire son prénom, je suis dans le même émoi que Lord Nelson à sa vue. J'adore chaque facette de cet homme (son don ou plutôt sa malédiction, son caractère, ses manières, son passé, son présent, chaque miette de lui) et le retrouver ici, toujours dans le prisme du regard d'autres protagonistes, c'est juste délicieux. Et quelle frustration de ne pas pouvoir vous détailler point par point chaque action, chaque élément de l'intrigue, pour vous dire par quelles émotions je suis passée grâce à eux tous ! Mais ce serait vous gâcher un grand moment de littérature.
Parce que oui, outre des personnages vraiment intéressants, tous à leur manière, et une ambiance très britannique sous la chaleur des Indes, l'intrigue est haletante. Je me suis demandée où allait Marianne et je crois que je n'ai jamais autant échaffaudé de théories qu'en lisant Scents. Je décryptais chaque passage pour essayer de trouver le moindre petit indice, jusqu'à me rendre compte que je me trompais sur toute la ligne. C'est pas demain la veille que je vais devenir détective :P Mais c'est pas bien grave, ça prouve que l'auteure a réussi son coup !
Les personnages, l'intrigue, me reste à vous parler de la plume... Marianne appartient à ces auteures françaises qui ont un grand et vrai talent. Si l'écriture était un don comme l'orfèvrerie, je pense que Marianne serait l'égale de Maxwell. Et non, je n'en rajoute pas des tonnes parce que j'apprécie l'auteure sur un plan humain. Vous savez que je tiens à mon honnêteté intellectuelle ! Pour moi, cette femme a un grand et vrai talent à découvrir de toute urgence. Que ce soit pour dépeindre les décors sans trop en faire, pour nous plonger dans un univers plein de mécanique sans nous perdre, pour donner littéralement vie à un monde au point que le nôtre s'évapore pendant qu'on lit... Pour vous dire, j'ai failli rater mon arrêt de train en lisant Scents, j'avais du mal à le lâcher. Il m'a passionnée autant que Smog et a posé tellement de questions... Qu'il y aura forcément un tome 3! Ce qui me réjouit au plus haut point. Je n'ai pas encore confirmation de cette affirmation mais IL LE FAUT, vraiment. Je ne vois pas comment ça pourrait être autrement.
En bref, et si ce n'était pas clair: j'ai adoré ce roman, comme j'ai adoré tout ce que j'ai pu lire de Marianne jusqu'à présent. Je vous recommande brûlemment (le degré au-dessus de chaleureusement, m'voyez) cette saga et cette auteure, plus particulièrement si vous aimez le steampunk, les ambiances malsaines, les personnages addictifs (Maxweeeeeell <3 ) et les intrigues rondement menées. Si Marianne ne passe pas à la postérité, je ne sais pas ce qu'il faut !
Encore une belle découverte signée Chat Noir :)
Récits du monde mécanique, tome 2 : Scents of Orient
J'ai été subjugué par ce recueil. Les chroniques d'Oakwood incarne tout ce qui me fascine depuis l'enfance. J'ai tout de suite été happé par l'histoire, car l'atmosphère brumeuse et inquiétante de l'intrigue est vite installée.
L'histoire est envoûtante, Marianne décrivant très bien l'histoire d'Oakwood et de ses habitants, le tout dans une ambiance froide et hostile la plupart du temps. Mais ce qui m'a surtout émerveillé, ce sont les lieux et la vision que Marianne donne de la sorcellerie. L'atmosphère et les architectures gothiques sont parfaitement retranscrites, donnant aux lieux cette aura ténébreuse au charme envoûtant. Marianne, de part son écriture à la fois poétique, lyrique et précise, est parvenue à rendre ces derniers palpables, mettant en avant leur histoire et les croyances qui y sont rattachées, tout en leur donnant une importance évidente quant aux événements liés aux personnages. En fait, Marianne a rendue son histoire vivante, car construite et retranscrite avec clarté.
Concernant la vision de la sorcellerie, je l'ai adorée ! Ténébreuse, intimiste, nuancée... J'ai vraiment apprécié le fait qu'aucun parti pris n'ait été fait par l'auteure. Rien n'est dénoncé, qu'il s'agisse de la sorcellerie ou de la religion, tout n'est que montré voire suggéré. Les mœurs de l'époque sont respectées, nous mettant face à la folie des hommes, de par leur nature et leurs croyances virant au fanatisme. Les thèmes abordés et les messages délivrés sont réfléchis en plus de restés actuels. Quant à la sorcellerie proprement dite, j'ai vraiment aimé que Marianne la rende si simple. J'entends par là qu'elle n'a fait ni dans le spectaculaire, ni dans le romantisme poussé, et c'est ce qui la rend si intimiste et réaliste, montrant bien le lien des sorcières avec la nature et les éléments de cette dernière.
La construction de l'intrigue est vraiment bien menée, les récits ne suivant pas un ordre chronologique évident, étant liés les uns aux autres par différents éléments ayant leur importance dans le déroulement de l'histoire. Même si certains événements sont plus ou moins convenus (ce n'est pas un reproche), ils sont contrebalancés par une tension permanente et une envie de découvrir ce que vont faire les personnages selon les situations. Ces derniers sont attachants ou repoussants pour la plupart, certains ayant un vécu les rendant suffisamment complexes pour essayer d'être compris. J'ai beaucoup aimé Lynn (ainsi que James et John). Je n'ai pu qu'être touché par son vécu et ce qu'elle devient. Sa personnalité est vraiment très belle en plus d'être assez énigmatique, et j'aurais aimé en découvrir encore davantage à son sujet.
Les Chroniques d'Oakwood est indéniablement un coup de cœur. Il m'a fait ressentir la passion que j'ai depuis longtemps pour la sorcellerie, et je n'ai pas pu m'empêcher, à la lecture des lieux et décors, de penser à l'époque victorienne et à la Nouvelle-Orléans, ainsi qu'à l'histoire des sorcières de Salem.
Les chroniques d'Oakwood : Dans l'ombre de la demoiselle
Germania, 1900. A sa tête, le Kaiser Wilhem qui voit plus l'esthétique de sa cité que la guerre faisant rage à la frontière française. C'est alors qu'un smog vient envahir les rues. Une poursuite s'enclenche alors dans les rues et cieux de Germania.
Ce qui m'a le plus séduite dans cette histoire, c'est le rythme. Dès le départ, l'auteur nous attrape dedans et nous entraîne dans l'histoire. L'action est immédiate, mais ensuite elle se développe un peu plus au fil de la lecture nous permettant ainsi de comprendre l'ensemble du scénario. Les personnages sont nombreux et importants. Le côté politique est incroyable dans le sens où les questions sont nombreuses à ce sujet. Le pire ennemi de cette histoire : la confiance. Avoir confiance en quelqu'un c'est presque signer de son propre sang son arrêt de mort. En soit, il faut se méfier de tout le monde. Est-ce que vos connaissances ou vos amis sont de votre côté ? On joue beaucoup sur ce tableau et c'est d'autant plus prenant. Bref, l'idée générale et le scénario sont de vrais pépites.
La plume de l'auteur est une merveille. Pour les détails avant toute chose, Marianne Stern offre des détails en pagaille au point où il est impossible d'ignorer tels ou tels détails sinon ça ne colle pas ensemble. Les personnages sont fantastiques, qu'ils soient bons ou mauvais. J'ai aimé les différents caractères ou les similitudes, cependant ils sont chacun uniques à leur manière. L'écriture en général est juste un vrai bonheur. Entraînante et d'une justesse parfaite.
En bref, cette histoire est idéale autant pour les adeptes de Steampunk que pour ceux qui voudraient découvrir ce genre. Entre complots, trahisons, descriptions soignées et personnages travaillés jusqu'au bout des ongles, elle est immanquable.
Récits du monde mécanique, tome 1 : Smog of Germania
Les chroniques d'Oakwood : Dans l'ombre de la demoiselle
J'ai bien aimé.
Les chroniques d'Oakwood : Dans l'ombre de la demoiselle
C'est un recueil de nouvelles qui misent l'une bout à bout en fond un roman unique. On débute avec l'histoire d'un personnage, qui sera en quelque sorte le fil rouge au fil des pages. Ces histoires qui sont à première vue chacune indépendantes, viennent s’imbriquer à merveille les unes dans les autres.
Nous avons des retours en arrières qui permettent de mieux comprendre les événements.
Tout ce passe dans Oakwood et notamment au sein de son cimetére.
Les chroniques d'Oakwood : Dans l'ombre de la demoiselle
L'écriture est vraiment belle, les personnages sont plutôt bien nuancés (même si on a parfois du mal à s'attacher à eux, notamment Maximilien de Saint-Ange, que j'ai trouvé un peu fade et, comme le dit son père, stupide parfois). Un très bon roman avec un manoir hanté et des personnages morts, ou pas, ou presque.
Les Ombres du val