Tatsuo Hori
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Quelques chiffres
Note moyenne : 7.89/10Nombre d'évaluations : 9
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Les derniers commentaires sur ses livres
Un roman magnifique qui nous entraine dans cette relation amoureuse qui est très belle. L'auteur rend un hommage à sa fiancé disparue et c'est émouvant.
Afficher en entierUn roman émouvant, mais aussi très particulier.
C'est un joli & court roman. Néanmoins, la plume est si singulière que je pense que soit on adhère soit on n'adhère pas. Et je dois avouer n'avoir pas été totalement réceptive à cette plume si particulière, très mélancolique et poétique en même temps.
Malgré tout, Le vent se lève reste un très beau texte
Afficher en entierCe court roman (120 pages), écrit au milieu des années 30, n’a que de lointains rapports avec le film d’animation éponyme.
Il raconte comment le héros, un écrivain ressemblant beaucoup trop à l’auteur, accompagne dans les Alpes japonaises Setsuko, sa fiancée, qui vient y soigner sa tuberculose. On comprend très rapidement qu’en fait de soin, il s’agit là d’un joli endroit où Setsuko va mourir. Écrit sous la forme d’un journal entrecoupé de longues réflexions, le roman décrit cet éloignement progressif entre les deux amants, leurs efforts désespérés contre une destinée inexorable. C’est une ouvre sensible et empreinte d’un douloureux désespoir, c’est aussi l’histoire d’un deuil.
L’écriture est assez recherchée sans être pour autant pédante, l’auteur incluant dans les réflexions de son personnage de nombreuses réflexions sur la création littéraire et des références à des auteurs européens de l’époque. Toutefois, rien d’insurmontable : un novice en littérature peut fort bien lire et apprécier « le vent se lève ». Ce roman correspond, en fait, à la suite de ce poème : c’est une tentative pour vivre, malgré la fin de l’être aimé, malgré la neige de l’oubli, somptueuse et mortelle pour les souvenirs des disparus.
Afficher en entierSi vous recherchez une histoire singulière qui joue sur la perception du rêve/réalité, servie avec un graphisme splendide, vous êtes au bon endroit ! À Tire-D'aile est une jolie surprise. Jolie avant tout, car je pense qu'à la longue je vais plutôt retenir le dessin que l'histoire. Le scénario est un peu confus, étonnant, bourré de non-dits et de zones d'ombre. Ce manga est une adaptation d'un conte japonais. On y suit une bande d'adolescents, dans un XXe siècle occidental, qui recréent l'histoire d'une pièce de théâtre pour tuer le temps. Mais rapidement, l'un d'entre eux se plonge corps et âme dans l'histoire et se marginalise. Son ami tente alors de ne le laisser s'échapper… Sur ce, je n'en dis pas plus, car tout le reste est à découvrir. L'histoire est à la fois sombrement amer et dorée d'espoir. On suit des personnages dépassés par leur destin et leurs actes, des personnages prêts à se briser en mille morceaux.
Une histoire qui est délicieusement mise en scène par la mangaka Ikuko Hatoyama. J'ai adoré son trait, son sens de la mise en scène et du détail. Un trait qui joue sur les reflets, les cadres, les plans, les regards. Instille le malaise et fait courir le vent entre les jambes. Clairement une pépite graphique ! Hâte de découvrir son prochain one-shot, Dovecote Express.
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