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Thomas Dish nous livre une vision "pessimiste" sur les liens entre humains, nos réactions et notre avenir sur une planète colonisée par cette "Plante". Un roman certes peu joyeux et avec une petite dose d'humour noir comme je l'adore. Un nouveau (des années 70) classique dans ma bibliothèque !
Génocides
Génocides
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Il me semble n'avoir jamais lu un roman aussi pessimiste sur l'avenir du monde et j'ai beaucoup apprécié. Cette invasion de plantes venues d'ailleurs, qui détruisent tout sur leur passage, je n'ai pu m'empêcher de la mettre en lien avec la catstrophe climatique que l'on est en train de vivre (assèchement des points d'eau, disparition des espèces, famines et bien d'autre réjoissances). Bien que les personnages soient des clichés ambulants, autant dans leurs convictions que dans les liens entre eux, l'histoire n'en est que plus intéressante.
Génocides
La Grande Anthologie de la science-fiction - Deuxième série (1983-1985), Tome 4 : Histoires écologiques
Génocides
Louie Sacchetti, poète objecteur de conscience se retrouve dans le camp sans savoir pourquoi. Serait-ce la pallidine, substance injectée à certains détenus, qui décuple leur capacité de réflexion ? Pourquoi dans ce cas dépérissent-ils aussi rapidement qu’ils deviennent intelligents ? Que va ressentir Louie après les premières piqûres de pallidine ?
Camp de concentration
Le style y a joué un rôle important également , pas de fioriture inutile mes de l'humour certes noir mais quel délice
Génocides
Génocides
Génocides
Camp de concentration
La première prend place dans le village des survivants. Nous allons découvrir le mode de vie de ses survivants dirigé par le vieil Anderson (qui est très porté sur la religion) et mène hommes et femmes d'une main de fer. Cette partie est vraiment de très bonne qualité et décrit à merveille ce monde post-apocalyptique. Meurtre, cannibalisme on a le droit à quelques passages assez hards mais très bien écrits.
Puis viens la deuxième partie. J'avoue avoir complètement décroché de l'histoire à ce moment là.
Les survivants vont se faire chasser de leur village et se retrouver au coeur de "la plante". Cette partie est tellement tirée par les cheveux que j'ai vraiment dû me forcer à finir le roman.
Grosse déception car la première moitié était vraiment prometteuse.
Génocides
Un roman de science-fiction un peu barré, mais qui ne m’a plus emballé que ça. Il n’y a que l’écriture, le style de l’auteur qui font qu’on continue de le lire et l’espoir aussi d’en savoir un peu plus sur les plantes et les sphères qui mettent le feu ! Espoir déçu
Génocides
La première partie verra évoluer les personnages en plein chamboulement, dans une communauté prête à tout pour survivre.
Ensuite "Thomas Dish" nous fait basculer dans un récit tout en profondeur, physiquement, mais aussi mentalement, jusqu’où iront ces humains pour survivre, quelle est la limite à ne pas franchir pour garder son humanité, dans quelles conditions, comment et pourquoi, les liens familiaux, l’amitié, l’adversité, tous ces sujets sont abordés.
Alors oui je vous dirais que ça à un peu vieilli, mais si l’on est d’accord avec le fait que c’est écrit dans les années 70, et que l’on fait donc abstraction de ce détail, on plonge dans une aventure terrible, glaçante et pessimiste à souhait, traitant des ressources de notre planète, de son écologie, du fait que l’homme se prend pour Dieu mais qu’il n’est au final qu’un mammifère, vous êtes prévenus, personnellement j’ai bien aimé cette noirceur et l’ancienneté du texte ne m’a pas dérangé, à l’instar d’un « Barjavel" ou d’un « Verlanger" par exemple.
Sur le blog :
https://unbouquinsinonrien.blogspot.com/2019/01/genocides-thomas-disch.html
Génocides
Camp de concentration