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Aujourd’hui on sort des sentiers battus puisque je vais vous parler d’un livre voguant dans une autre dimension que celle de la bande dessinée, on va parler d’une de ses parentes : le livre illustré. Oui je vous vois venir avec vos charentaises cloutées pointure 64 et vos regards menaçants mais ce n’est pas un livre pour les tout petits, genre « Martine se fait tatouer le fessier » ou « Dora s’est encore perdue » (la conne), c’est un poil un peu plus « adulte ».
Alors vous pouvez sortir de votre caisson de cryogénisation et sortir vos montres à gousset et soyez les bienvenus dans l’univers de Steampunk, un livre rétro-futuriste (ou futuriste-rétro) édité par les Éditions LeClers.
Le bouquin en lui-même est une petite beauté des plus classes avec sa couverture en dur et qui nous propose pas moins d’une bonne centaine de pages (120 en fait) sur un papier des plus « glossy ». Évidemment, l’objet est beau, super classe mais est-ce que son contenu en vaut la peine ?
Ouech, bonne question que v’là. Histoire de faire mon oncle Paul : le Steampunk, kesako ?
Avant toute chose, le steampunk c’est une vision poétique, néoromantique et industrielle de l’évolution du temps à partir d’une altération temporelle. C’est exactement ça la thématique du steampunk, une autre vision de l’histoire vue d’une d’autre époque (comme ça, brut de coffre).
C’est un vrai mouvement esthétique (ahh cosplay quand tu nous tiens) et littéraire mélangeant paradoxe et uchronie ; certains vous sortiront des pamphlets pompeux genre qu’il prend ses racines aux alentours du XIXe siècle, époque charnière qui aurait au détour d’un évènement, bifurqué de la ligne temporelle que l’on connait (style Retour vers le Futur) ; d’autres viendront avec des explications alambiquées tournant autour d’une altération historique basée sur l’usage des machines à vapeur…
Comme je suis pour la paix des ménages, on va dire que la vérité est entre les deux ; mais ce dont je suis sûr, c’est que la terminologie et la mode steampunk sont vraiment apparues dans les années eighties, époque où la SF manquait cruellement de souffle et peinait à se renouveler. Pour rester simple, pour nous néophytes que nous sommes, c’est du révisionnisme (ouais m’dame) et qui plus est, très tendance à l’heure actuelle et dont les pères fondateurs n’ont pour inspiration que Jules Verne et H.G. Wells ou Léonard de Vinci, rien que ça.
Ce recueil mené par Xavier Mauméjean (à la craie) et Didier Graffet (au silex) nous offre ici un panorama complet du genre en revisitant, sous forme d’un journal de bord illustré, plusieurs évènements vus sous le prisme de l’anachronisme.
Mêlant subtilement mystère, aventure et humour, chaque récit proposé par le livre deviendra presque une expérience shamanique qui vous emportera aussi bien dans des moments passés que futurs ; le tout divinement illustré par des dessins d’ambiance réalisés par Dider Graffet. Du coup, on se retrouve dans une multitude de petites histoires faisant la part belle à l’étrange.
Les textes quant à eux sont courts, rédigés avec brio du style très « chronique de l’étrange » et feront évidemment référence à une pléiade d’évènements historiques ou imaginaires, en passant des 20.000 lieues sous les mers de l’ami Jules, Frankenstein, la découverte des Amériques, des revisites de mégapoles, un Titanic insubmersible, un Tesla qui pétrifie une ville suite à une expérience ratée etc. Bref il y en a pour tous les gouts.
Graphiquement, les dessins sont superbes et collent à merveille à chaque anecdote, ce qui est un vrai régal pour les yeux.
Paradoxe, anachronisme, dystopie, la sensibilité du lecteur n’aura que l’embarras du choix en découvrant toutes ces altérations historiques richement illustrées.
Voilà donc un condensé assez trapu, difficilement lisible avouons-le d’un seul coup mais à savourer en épisodes, entre deux prises de tête ou quand vous le sentez tout en sachant qu’on peut entamer le livre à partir de n’importe quelle page.
C’est passionnant, audacieux, intriguant, intéressant et est une véritable invitation à l’imagination. Clairement un must-have pour tout féru de cet univers étrange, de SF, des voyageurs de l’étrange, ou tout simplement d’amoureux de beaux livres.
Alors faites comme moi, laissez-vous emporter et sortez toutes voiles dehors pour de nouvelles aventures. Du pur bonheur !
Steampunk : de vapeur et d'acier
En ouvrant cet ouvrage j’ai d’abord été scotchée par la finesse des illustrations de Didier Graffet, ces dessins fourmillants de détails et dans lesquels on se perd facilement durant plusieurs minutes tentant nous même d’imaginer l’histoire se déroulant sous nos yeux ébahis. Avec beaucoup de plaisir j’ai parcouru cet album et dévoré toutes ces petites histoires écrites par Xavier Mauméjean, qui est parvenu avec brio à mettre des mots sur ces scènes entre futur et passé. Steampunk : De Vapeur et d’Acier puisque ces fresques nous emmènent dans l’imaginaire des véhicules de fiction, spatiaux et même rétro avec de magnifiques locomotives ou bateaux tel que le majestueux Titanic ! Il s’agit de peintures sur toile ou encore d’illustration réalisées sur palette graphique, la fidélité et le détail des mécanismes, des rouages, des pièces est absolument troublant…
En bref : Je suis restée sans voix et un long moment devant ces œuvres légendées et en totale admiration pour la qualité et l’imagination du travail de M. Graffet. Le temps de cette découverte, les anecdotes de Xavier Mauméjean apporte avec humour, poésie, passion et un zeste de macabre le petit plus qui nous permettent de franchir le pas du réel vers l’imaginaire. En bref un très beau moment d’évasion, une porte que l’on peut ouvrir à volonté afin d’y laisser son esprit vagabonder ! Cet album ferait un magnifique présent, pour tous les amoureux de fiction Noël approche…alors plus d’hésitations !!!
Une chose est sûre Jules Verne aurait « kiffé » ;-)
http://www.a-lu-cine.fr/steampunk-de-vapeur-et-d-acier/
Steampunk : de vapeur et d'acier
En effet je suis fan des elfes avec un petit faible pour les assassins, quoique pour ses derniers seulement dans les livres évidemment, vu que pour les premiers je ne risque pas de les croiser, quoique. ?.
En plus de ma trouvaille j'ai eu le droit a une belle dédicace de Lionel Davoust, auteur fort agréable et très disponible.
Vous me direz du coup, que du bonheur, eh ben non, les nouvelles ne sont vraiment pas pour moi.
Tout autant , ceux ou celles qui aiment les petites histoires courtes , vous y trouverez assurément votre bonheur.
Certains auteurs ont fait revivre l'histoire de quelques pages leurs héros habituels, Navarre , sylvo sylvain et la belle ville de ciudalia, ect....
Anthologie des Imaginales 2013 : Elfes et Assassins
Passons maintenant à chaque récit.
• Alain Rey - 2074, quand le luxe parle français
Ce court texte est à mon sens une introduction aux divers récits, à travers l'évolution du vocabulaire qui sera utilisé dans les autres récit et dans le futur, pour nous permettre de ne pas nous sentir perdu. Et de définir ce qu'est devenu le luxe en 2074.
• Xavier Mauméjean - L'arbre de Porphyre
On commence cette nouvelle en suivant un personnage russe, on peut penser que c'est lui le personnage principal, mais en fait non, c'est la personne qui va lui adresser la parole peu après que le début du récit. Cette personne sert à faire retrouver aux gens ce qui compte le plus pour eux, en remettant en avant les personnes plutôt que le matériel. On suit Paul donc qui au final se voit confier une mission pour permettre de faire ressentir (je ne sais pas comment dire ça autrement) les "couleurs de la vie". J'ai franchement bien apprécié ce récit, de l'aventure un peu de mystère.
• Olivier Paquet - La reine d'Ambre
Ici, on est plongé dans le monde viticole, avec toujours une touche de science-fiction avec l'utilisation de robot/androide. J'ai trouvé ça vraiment bien trouvé, c'est vraiment pas mal. L'auteur arrive à traiter du problème de la recherche du profit de l'entreprise avec le besoin de qualité qui est demandé dans la création d'un vin. J'ai trouvé ça vraiment bien traité.
• Samantha Bailly - Facettes
Ici, le récit nous place dans la mode, avec un mix entre celle-ci et la médecine, je vais pas être trop précis pour pas donner trop de détail quand même. Mais j'ai trouvé ça bien l'idée de mêler le fait que les sentiments peuvent faire changer les vêtements, et puis quand Lune Guénon va faire la visite d'une maison de couture, et que ça lui redonne vie si l'on peut dire ça comme ça, et qu'on voit son changement de couleur de vêtement s'opérer. Vraiment sympa :)
• Roques Rivas - Mirages d'un avenir
Bon, c'est une nouvelle sonore, après je suis pas plus fan que ça, mais ça a le mérite d'être original !
• Jean-Claude Dunyach - Noces de diamant
J'ai trouvé cette histoire très touchante avec ses pierres précieuses qui venaient de l'espace et leur propriétés spéciales. J'ai trouvé ça beau quand le père raconte à son fils et son petit copain comment il a courtisait sa mère, et comme les bagues ont révélé ce qu'il ressentait pour elle. Bref, mon petit coeur de guimauve a bien accroché !
• Anne Fakhouri - Un coin de son esprit
Là aussi, j'ai vraiment accroché, retour dans la mode avec le travail du cuir. Et d'arriver à recréer des souvenirs grâce à des odeurs. J'ai trouvé ça très beau vers à la fin du récit quand Tado dit au revoir à Alx
• Joëlle Wintrebert - Le don des chimères
Dans cette nouvelle, on est dans le monde du cuir et de l'approche entre le fait de la rareté et de vouloir en produire toujours plus. J'ai trouvé encore cette nouvelle très bonne, c'était vraiment prenant jusqu'au bout. Bref très très bon.
• Alain Rey - Les nouveaux mots du luxe
Dans cette "nouvelle" on est en présence d'un petit dictionnaire de nouvelles entrées en rapport avec le luxe, et qui nous permette de bien saisir certains termes employés dans les différentes nouvelles qu'on a pu lire auparavant dans ce recueil.
Rêver 2074
Steampunk : de vapeur et d'acier
http://www.utopod.com/2007/03/31/utopod-002-la-faim-du-monde-de-xavier-maumejean-1-sur-2/
Les 2 parties de cette nouvelle sont disponibles.
Dans une société futuriste, la diplomatie internationale n'existe que grâce à la gastronomie lors d'une cérémonie ''la communion'' pendant laquelle les chefs d'état mangent des mets particuliers.
La faim du monde
Sinon, c'est bien écrit. Le problème vient surtout du personnages auquel je n'ai pas su m'identifier ou bien même me montré compatissante. Soit dit en passant je pense qu'un peu d'humour aurait relevé le tout mais il met bien du temps à se présenter et repart aussitôt.
Bref, vous l'aurez compris, je ne suis pas convaincue...
L'Ami de Toujours
Un ami imaginaire que l’on pensait oublié qui revient, des événements troublants qui se succèdent, l’envie de découvrir le secret cachés mais aussi de fermer le livre pour ne pas en savoir plus et laisser planer le doute.
Une histoire qui avance lentement (peut-être même trop lentement) et qui pourtant nous tient en haleine. Quelques fois le sentiment de piétiner et l’envie de laisser tomber le livre, mais toujours une attraction envers lui que l’on ne peut empêcher.
L'Ami de Toujours
Un bon roman uchronique.
La Reine des Lumières
Divergences 001
Il l'était effectivement. Ce Babylone ancien est magnifiquement rendu par la plume de Xavier Mauméjean. Les termes étrangers utilisés aident à l'immersion dans le roman. Je ne connais pas assez cette période ni cette civilisation pour juger de la solidité historique des faits utilisés par l'auteur, notamment concernant l'organisation de sa société ou du panthéon de divinités.
J'ai pourtant été immédiatement séduite par les propositions de l'auteur, de la découverte de l'univers dans le prologue au concept de la Loi incarnée par les accusateurs.
Le personnage de Sarban, dont on suit le point de vue en quasi majorité, reste relativement froid, sans faire grand étalage de ses sentiments. Il est l'incarnation de la Loi dans sa plus grande objectivité, s'écartant rarement de ce qu'elle représente.
Les autres personnages sont plus attachants, pour moi ; de Matali qui a abandonné une fonction importante par amour, à Casdim qui m'a plu par son esprit et son humour, les personnages secondaires épicent le récit, lui amenant du relief par leurs échanges avec Sarban.
La situation de Babylone bascule rapidement un fois le prologue passé, et le chaos s'installe. Tout le scénario, comme l'ordre des accusateurs, est lié à la religion, et aux interactions des divinités entre elles et avec le peuple. Pour comprendre les tenants et aboutissants, il est nécessaire d'avoir retenu la présentation rapide qui en est faite, donnant l'origine du monde et de Tiamat, personnalisation du chaos.
Ca n'a pas été un gros problème pour moi, habituée aux lectures de Fantasy.
J'ai donc apprécié chaque recoin de cet univers et de l'enquête qui s'y déroulait. Je ne me suis ennuyée à aucun moment, et plusieurs passages m'ont émue, de manière inattendue.
Quelques défauts sont tout de même présents, comme une fin un peu précipitée, ou quelques scènes dont l'action n'est pas claire.
Je me suis laissée portée par la plume de Xavier Mauméjean pendant quelques heures, plongeant dans cette civilisation disparue avec grand plaisir. Le mot de la fin était superbe, et me laisse encore en réflexion.
Car je suis légion
La prouesse de passer d'un personnage à un autre avec autant de fluidité et de caractérisation est louable, de même que l'effacement total de la frontière entre fiction et réalité.
Au prix d'une petite migraine, on ne sait plus ce qui relève des faits historiques vérifiables et de ce qui n'est que pure invention. J'en suis même venue à m'embrouiller parmi les auteurs, c'est dire !
Mais une fois que les mécanismes d'écriture perdent de leur fraîcheur, je me suis rendue compte que les vies de Daryl Leyland, Jack Sawyer ou encore François Parisot ne parvenaient pas à retenir mon attention.
En définitive j'ai été déçue par le manque d'"investigation" ; l'enquête est déjà conclue, les témoignages sont déjà compilés et il n'y a pas vraiment de notion de suspense.
Dès la première cinquantaine de pages, j'ai donc rongé mon frein jusqu'au dénouement.
En bref, je suis contente de l'expérience mais sans plus.
American Gothic
J'ai trouvé que le scénario soutenait cette fresque avec des intrigues à la fois riches et saisissantes. La première moitié du récit m'a vraiment immergé dans les institutions de Babylone et m'a montré l'importance que les divinités y tenaient. C'était aussi l'occasion pour l'auteur de décrire une société très dévouée à la législation, même quand celle-ci se montre autoritaire, absolue ou tyrannique !
Tout le côté enquête policière m'a maintenu en haleine avec un suspense qui a duré pour moi. Il était très difficile de refermer les pages, j'ai lu le roman d'une traite.
Car je suis légion
Intriguant.
Le cycle de Kraven, tome 1 : La Ligue des Héros
Je commence par le positif : ce recueil a été l'occasion, pour moi, de découvrir des auteurs de fantasy Française que je ne connaissais pas (mis à part Pierre Bordage et Jean-Philippe Jaworski), et je compte bien me renseigner sur certains et leurs ouvrages.
Les nouvelles sont assez diverses, on découvre des points de vue différents et inhabituels des assassins et des elfes, enfin surtout des assassins. En effet, j'ai trouvé que globalement, une majorité des elfes présents dans ce recueil suivaient toujours le même modèle : beau, intelligent, supérieur, très lié à la nature... j'espérais trouver autre chose que le stéréotype (mis à part La Seconde Mort de Lucius Van Casper, qui m'a bien donné envie de découvrir le monde de Sylvo Sylvain dont j'avais déjà entendu parler, et Du Rififi Entre les Oreilles). Cela ne m'empêche pas d'apprécier ma lecture, ce sont juste mes attentes qui étaient autres. En tout cas j'ai ce ressenti d'avoir vu des elfes qui se ressemblent toujours beaucoup. En ce qui concerne les assassins, les modèles sont plus variés, et ce n'était parfois pas du tout ce à quoi je m'attendais d'un "assassin" en "fantasy".
Les nouvelles restent malgré tout très diverses, c'est intéressant de voir les points de vue des différents auteurs sur ce thème : sont abordés différentes thématiques, comme le sens de l'honneur, la fidélité, l'euthanasie...
J'ai particulièrement bien accroché avec La dernière affaire de Sagamor, La légende d'à peu près Punahilkka (la fin !!), Du rififi entre les oreilles et Eschatologie du vampire (voilà un protagoniste qui me plait !). Malheureusement, il y a une nouvelle que j'ai eu beaucoup de mal à finir, et c'est Le Sentiment du fer : j'ai eu un gros problème de vocabulaire. Au début j'ai cherché dans le dictionnaire mais à force, j'ai laissé tombé, et j'ai continué en ignorant les termes inconnus, du coup je pense avoir loupé des choses, c'est dommage. Pour autant, j'ai quand même trouvé que l'histoire était construit de manière intelligente, on sent que c'est réfléchie et c'est le genre d'intrigue qui me plait. J'ai juste eu du mal avec le vocabulaire...
Malheureusement, je n'ai pas tellement adhéré au format "nouvelles", je suis tellement plus habituée aux romans que j'ai finalement trouvé assez dur de changer de cadre et de personnages à chaque fois.
Anthologie des Imaginales 2013 : Elfes et Assassins