Nancy Cato

ce livre est une vraie merveille!!!

l'histoire est magnifique, malgré l'amour que délie a pu porter a ses tros hommes, l'amour de sa vie restera son mari brenyton qu'elle perdra tragiquement!!!

ce livre ma fait pleuré !!!

marlgré l'amour délie n'abandonne pas osn rêve, celui d'etre peintre ce qui est courageux a cette époque où les hommes était les chefs du monde!!!

Ce livre que j'ai commencer à lire, est à mon arrière Grand-Mère. J'aime bien a peine après avoir commencer!

Je n'ai pas aimé et pourtant j'ai tenu jusqu'au bout mais je n'ai du tout accroché

Par moments la description de ce roman ressemble à un itinéraire touristique, c'est lourd, c'est lassant.

Ceci est mon avis qui n'engage que moi.

Le livre de Nancy Cato que j'ai préféré. La première partie sur Alix m'a beaucoup émue et je l'ai vraiment aimé. Un peu déçue par la deuxième partie sur sa fille Caro.

Une belle saga lu dans ma jeunesse qui m'a laissé un excellent souvenir.

Long de chez long.

Je n'y ai pas trouvé d'intérêt particulier, l'écriture est lourde, les personnages fades. La deuxième partie est interminable.

Roman intéressant sur deux destins de femmes dans l'outback australien (l'arrière pays) de 1900 à 1944. La description de la vie méritante des pionniers et celle des aborigènes, spoliés de leurs propres territoires est très intéressante. Ainsi que l'attaque de l'Australie par les japonais, volet que je ne connaissais pas du tout et qui a fait de nombreuses victimes. La désertification de certaines régions de l'Australie due à l'élevage extensif est bien expliquée, et j'ignorais qu'elle remontait déjà au début du XXème siècle. Mais l'auteur s’appesantit sur des descriptions géographiques qui n'ont aucun écho pour des non-australiens car pour l'auteur Nancy Cato, l'Australie est un personnage. J'ai fini par zapper ces descriptions. L'éditeur aurait dû joindre une carte. Sinon lecture très facile et très agréable. J'aurais aimé que l'auteur consacre un tome par personnage féminin, car selon moi certains moments ne sont pas assez développés. Les amoureux de l'aviation en particulier n'y trouveront pas leur compte.

Voici un vieux livre édité en 1958 à l'écriture très petite et publiée chez j'ai lu. Une romance et un voyage épique.

DIFFICILE : Pavé de 700 pages, pas assez rythmé à mon goût, j'ai été obligée de lire d'autres livres toutes les 200 pages pour ne pas être tentée d'abandonner, ce qui ne m'arrive jamais. Trop de descriptions qui n'apportent rien à l'histoire à part l'alourdir

Une lente agonie

Oui, c'est ce que j'ai ressenti à la lecture sur presque 800 pages. Mais alors pourquoi avoir continué ? Je voulais tout de même laisser une chance au roman car l'histoire de fond a un potentiel, et je voulais voir si ça allait s'améliorer.

On va commencer par les points positifs : l'histoire de fond relate la vie d'une jeune femme des années fin 1800 à 1940. De son jeune âge à la fin de sa vie, on assiste à tous les évènements marquants se cette héroïne forte et indépendante.

J'ai apprécié également la personnalité de l'héroïne qui pense différement et à une vision plus moderne de la vie et de ce que peuvent faire les femmes.

Ce que je n'ai pas aimé : je n'ai pas accroché à la plume, qui s'embourbe dans des descriptions et dans des explications sur les bateaux qui ont tôt fait de m'ennuyer.

Il y a beaucoup trop de descriptions et l'autrice tourne perpétuellement en rond en écrivant à chaque début de chapitre le fleuve, le bateau, la berge et les arbres. Beaucoup de descriptions et de scènes à rallonges qui ne font pas avancer l'intrigue ! Au début de l'histoire, c'est supportable, mais à partir du moment où l'héroïne se marie, les descriptions sont toujours les mêmes et c'est de pire en pire. On a l'impression de lire toujours la même chose.

Ce roman est apparemment un best seller eh bien je ne comprend pas pourquoi ! C'est d'une lourdeur assommante, je mets néanmoins deux étoiles pour l'histoire de fond. Si je l'ai lu, c'est parce qu'ils ont osé le comparer aux oiseaux se cachent pour mourir, mais pour avoir lu et vu les films, ça n'a strictement rien à voir !

Il y'a quelque chose qui m'a néanmoins choqué dans la lecture. Délie a 4 enfants, et elle tue son 5e bébé parce qu'il est Mongolien ! En soie, elle ne le tue pas de ses mains mais déjà, elle dit qu'elle ne ressent aucun amour pour lui car il est différent et qu'elle le trouve laid, et qu'elle aurait préféré ne pas l'avoir mis au monde. Puis plus tard, le bébé s'est mis dans une mauvais position pour dormir et à du mal à respirer. Et la mère voit cela, et au lieu de remettre son bébé correctement, elle s'enfuit pour qu'il meurt !

Quelle merveilleuse ôde à la tolérance, vous ne trouvez pas ?

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