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Vit et travaille dans la Vienne où il s’est installé en 1997.
Né en 1949, rue de Tolbiac dans le 13ème arrondissement, il a longtemps vécu à Paris et dans sa banlieue ce qui n’a pas manqué d’orienter son parcours, au gré des rencontres et des amitiés, et de ses amours en matière de littérature.
Né pour l’Etat-civil rue de Tolbiac, Pierre D’Ovidio est venu à l’écriture dans le Morvan par un froid hiver du tout début des années 80 en découvrant Henri Calet. Naissance confirmée par sa participation à un stage Oulipien animé par Georges Perec lors d’un été magnifique à Villeneuve-Lès-Avignon.
Il avait cependant débuté dans la peinture et la gravure, nouant ainsi des amitiés dans le milieu et produisant en liaison avec ce milieu des livres d’artistes, des écrits critiques à l’occasion d’expositions, catalogues, etc.
Bien que sans rompre avec cette activité, il s’est tourné vers le roman, publiant en 1995 chez Phébus « La Vie épatante », un livre salué par la critique avant de se tourner vers le genre polar avec une trilogie consacrée à la région Poitou-Charentes, toujours chez Phébus avant de publier un roman sur l’après 68 et ses déconvenues.
Sa région d’adoption lui donnera l’occasion de travailler avec deux photographes, Marc Deneyer et Claude Pauquet en 2001.
Depuis quelques années, il tient une chronique avec Claude Pauquet intitulée Routes dans le magazine l’Actualité Poitou-Charentes.
Biographie
Vit et travaille dans la Vienne où il s’est installé en 1997.
Né en 1949, rue de Tolbiac dans le 13ème arrondissement, il a longtemps vécu à Paris et dans sa banlieue ce qui n’a pas manqué d’orienter son parcours, au gré des rencontres et des amitiés, et de ses amours en matière de littérature.
Né pour l’Etat-civil rue de Tolbiac, Pierre D’Ovidio est venu à l’écriture dans le Morvan par un froid hiver du tout début des années 80 en découvrant Henri Calet. Naissance confirmée par sa participation à un stage Oulipien animé par Georges Perec lors d’un été magnifique à Villeneuve-Lès-Avignon.
Il avait cependant débuté dans la peinture et la gravure, nouant ainsi des amitiés dans le milieu et produisant en liaison avec ce milieu des livres d’artistes, des écrits critiques à l’occasion d’expositions, catalogues, etc.
Bien que sans rompre avec cette activité, il s’est tourné vers le roman, publiant en 1995 chez Phébus « La Vie épatante », un livre salué par la critique avant de se tourner vers le genre polar avec une trilogie consacrée à la région Poitou-Charentes, toujours chez Phébus avant de publier un roman sur l’après 68 et ses déconvenues.
Sa région d’adoption lui donnera l’occasion de travailler avec deux photographes, Marc Deneyer et Claude Pauquet en 2001.
Depuis quelques années, il tient une chronique avec Claude Pauquet intitulée Routes dans le magazine l’Actualité Poitou-Charentes.
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