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Voilà une heure que nous nous disputions. Un inspecteur de Dublin avait appelé la veille au soir pour nous dire qu'il était désolé, mais qu'en l'absence de pièces à conviction, de piste et de témoins, l'enquête était dans une impasse. Il nous informait donc officiellement que le dossier d'Alina allait être transmis au Bureau des affaires non résolues - lequel n'était rien d'autre, pour quiconque savait lire entre les lignes, qu'une salle d'archives poussiéreuse dans un quelconque sous-sol de Dublin, mal éclairée et parfaitement oubliée du reste du monde. En dépit de sa promesse de réexaminer le cas à intervalles réguliers, dans l'espoir de trouver de nouveaux indices, et d'y apporter toute l'attention requise, le message était clair. Alina était morte, son corps avait été transporté dans son pays d'origine, tout cela ne concernait plus la police.

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"Fio," he said, "my foolish, sweet, faithful Fio; there will always be a place for you in my thoughts. But I am not the man you believe me to be. You have romanticized me unforgivably."

"I have never seen any more in you than I know you could be, if you wanted to, Jericho," Fiona declared fervently, and even I-a child as ignorant and innocent as the day was long, to coin a recently minted phrase-could hear the blind conviction of love in her voice.

Barrons laughed again. "And there, my dear Fio, you make of Womankind's greatest mistakes, falling in love with a man's potential. We so rarely share the same view of it, and even more rarely care to achieve it. Stop pining for the man you think I could be-and take a good, long, hard look at the one I am."

(p.186)

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— Où allons-nous ?

J’avais dû crier pour me faire entendre par-dessus les rugissements conjugués du vent et du moteur.

Sans quitter la route des yeux – ce dont je lui fus éminemment reconnaissante, étant donné que nous roulions à près de cent soixante-dix kilomètres à l’heure –, il me répondit sur le même ton :

— Il y a trois autres amateurs à Dublin qui cherchent le livre. Je veux savoir s’ils ont trouvé quelque chose. Vous serez mon limier, mademoiselle Lane.

Je consultai l’horloge du tableau de bord.

— Il est 2 heures du matin. Avez-vous l’intention de vous introduire chez eux par effraction, pendant qu’ils dorment ?

On comprendra à quel point ma vie était devenue surréaliste lorsque je dirai que, s’il avait répondu par l’affirmative, ma première réaction n’aurait pas été de m’insurger contre ses méthodes mais de lui reprocher de m’avoir obligée à porter une tenue bien trop excentrique pour un cambriolage nocturne. Perchée comme je l’étais sur des talons aiguilles et vêtue d’une minijupe, j’étais fort mal équipée pour piquer un cent mètres afin d’échapper aux force de l’ordre ou à un propriétaire armé et de mauvaise humeur...

Il ralentit un peu, de façon que je puisse l’entendre.

— Ces gens-là sont des oiseaux de nuit. Ils seront debout, et aussi ravis de me voir que moi de les rencontrer. Nous aimons nous tenir au courant de l’état de nos recherches. La différence entre nous, c’est qu’ils ne vous ont pas, eux.

Un sourire éclaira son visage. Apparemment, il était très satisfait de sa nouvelle arme secrète – moi. Une vision alarmante se dessina alors dans mon esprit : Barrons me promenant de maison en maison en me disant : « Cherche ! » comme à un chien de chasse. Plus je le fréquentais, plus je l’en croyais capable...

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— Bon, il est temps de passer aux choses sérieuses, Barrons, déclarai-je.

— Ah, non, protesta-t-il. Je ne vous épilerai pas les jambes !

— Comme si j'en avais envie ! Je parlais d'avoir une petite conversation, vous et moi.

— Oh.

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- Mac, dit-il en riant. Drôle de prénom pour quelque chose comme vous. Mac !

Et il éclata de nouveau d'un rire sonore.

Quelque chose ? Que voulait-il dire par là ?

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- Je crains que la réalité ne se montre pas toujours aussi accommodante. En vérité, je dirais même que la plupart du temps, elle fait preuve d'une mauvaise volonté tenace.

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_Puis-je entré ?

_Qu'avez-vous dit au réceptionniste ?

[...]

_Que j'étais votre frère, répondit-il guettant ma réaction

_Bien trouvé. La ressemblance physique entre nous est frappante !

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— Offre-toi, mortelle ! ordonna celui-ci.

— Va te faire cuire un œuf, suppôt de Satan !

grommelai-je

Il rit de nouveau. La sonorité cristalline de sa voix ne fit qu’aviver l’incendie qui courait dans mes reins.

— Un jour, sidhe-seer, tu me supplieras de te prendre. Même si tu dois le payer de ta vie.

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"Rien n'est au-delà de mes capacités. Je suis tout. Vous êtes un livre. Des pages avec une reliure. Vous n'êtes pas né. Vous ne vivez pas. Je ne connais pas la peur. Que voulez-vous de moi ?

Ouvre les yeux. Vois-moi. Vois-toi.

Files yeux sont ouverts.

Je suis le bien. Vous êtes le mal.

Conversation avec le Sinsar Dubh.

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Il observa un silence avant d'ajouter :

-Apprenez qu'il y a deux sortes de personnes, dans ce bas monde. Celles qui survivent à n'importe quel prix, et celles qui n'ont pas la force de lutter : les victimes.

Il pressa ses lèvres dans mon cou. Je sentis sa langue courir sur ma peau, là où battait une veine, comme s'il cherchait mon pouls.

-Vous faites partie de la seconde catégorie, mademoiselle Lane. Vous n'êtes qu'une agnelle dans une cité de loups affamés. Je vous donne jusqu’à demain soir, 21 heures, pour quitter le pays et ne plus jamais croiser ma route.

Il me libéra, et je m'effondrai sur le sol, asphyxiée.

Lorsque je me relevai, il avait disparu.

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