Ajouter un extrait
Liste des extraits
Ses yeux tombent sur mon bras. No te rindas brille toujours de toute sa nouveauté.
Afficher en entierJe songe à ses mains sur mon corps hier soir, ses lèvres sur ma peau, ses yeux brillants qui ne quittaient jamais les miens, même dans l'obscurité de sa chambre.
Afficher en entier" J'ai dû partir bosser, désolé mais tu me manques déjà et j'ai le droit d'écrire sur mes murs parce que de toute façon je vais les peindre bientôt. Te amo."
Afficher en entierLife isn't always about dealing with the bad stuff. Sometimes enjoying ourselves has to come first.
Afficher en entierDans ses yeux, la perplexité laisse soudain place à la peine et la culpabilité. On dirait qu’il n’a jamais pensé que je puisse lui en vouloir. L’envie de sourire lui est passée. Je ne sais pas à quel accueil il s’attendait. Est-ce qu’il croyait que j’allais me jeter dans ses bras, débordante de joie ? Que j’allais l’embrasser comme jamais auparavant et que nous serions heureux pour l’éternité ? En tout cas, il ne s’attendait pas à trouver face à lui une fille pleine de rage, de dédain, et qui n’est plus amoureuse de lui.
Afficher en entierJe me fiche bien que Tyler soit mon demi-frère par alliance ou non. Ca n'a plus d'importance. Nous avons le droit d'avoir des sentiments l'un pour l'autre. D'être ensemble. Nous en avons toujours eu le droit. Nous avons passé ces trois dernières années à nous battre pour que les autres nous acceptent, alors que les deux seules personnes qui devaient nous accepter, c'était nous-mêmes.
Et après tout ce temps, je crois que c'est enfin le cas.
Afficher en entier-Si tu veux que ça marche, murmure-t-il, le front contre le mien, alors il faut qu'on le fasse exister. ça fait trop longtemps.
[...]
-Est-ce que Tyler Bruce serait en train de me demander de sortir avec lui ?
[...]
-On dirait bien que oui, dit-il
[...]
-Alors on dirait bien que je vais dire oui.
Je pose à nouveau mes lèvres sur les siennes et me laisse aller à cette sensation avec avidité et impatience.
Afficher en entier— Ton père.
Ce n’est même pas une question. C’est la première fois que je peux mettre un visage sur l’homme que je méprise tellement. Même si ce n’est qu’un visage jeune et innocent.
— Mmm. Tyler s’adosse à nouveau au mur avec désinvolture et je me dis que son séjour à Portland l’a métamorphosé. — Il s’appelle Peter, au fait.
— Peter, comme… ton grand-père ?
— Comme Peter Junior. Et Peter Senior. Heureusement ma mère a refusé de poursuivre la tradition.
Afficher en entier— Dave.
Ce dernier lève les yeux d’un coup. La conversation générale s’interrompt, tout le monde se tait, surpris non seulement que Tyler parle, mais surtout qu’il s’adresse à mon père. Évidemment, il ne reçoit qu’un regard dédaigneux en guise de réponse.
Ça ne le déstabilise pas pour autant. Je range mon téléphone, curieuse de la façon dont Tyler compte « purifier l’atmosphère ».
— On peut parler dehors, deux secondes ?
— On peut parler ici, rétorque mon père.
Afficher en entierJe me lève à contrecœur. C'est ce que je préfère chez ma mère : elle comprend. Mon père l'a abandonnée, elle aussi, il y a six ans. Règle numéro un : pas de sanglots pendant plus de quatre heures apparemment. Je ne sais pas si cette règle s'applique quand un garçon vous abandonne et revient.
Afficher en entier