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No matter where you go or what you do to distract yourself, reality catches up with you eventually.

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— Qu’est-ce tu me veux ?

— Quel accueil ! a-t-il rétorqué avec sarcasme. Relax, je voulais juste te parler.

— Dommage pour toi : je ne parle à personne ce soir.

Avec ma paille, j’ai aspiré une gorgée de ma boisson le plus bruyamment possible, histoire qu’il pige le message. Mais fallait pas rêver. Je sentais son regard gris foncé

m’ausculter sous tous les angles. Et me regarder dans les yeux, ça l’aurait étouffé ?

Grrrr.

— Allez… Pas la peine de jouer les glaçons.

— Fiche-moi la paix, ai-je sifflé entre les dents. Va jouer ton numéro de charme à une pouffe dont ça flattera l’ego. Avec moi, ça prend pas.

— Les pouffes, c’est pas mon truc.

— La nana qui t’adresse la parole, Wesley, est d’office une pouffe. Si au contraire, elle a un minimum de goût, de classe ou de dignité, elle ne te voit même pas.

OK, j’avoue : ce n’était pas tout à fait vrai.

Wesley Rush était le pire coureur que le lycée d’Hamilton ait jamais compté, mais il

était quand même canon. À la rigueur, si on lui coupait l’option parole… et les mains…

alors peut-être, je dis bien peut-être, ça passerait. Sinon, c’était un enfoiré de connard.

De première.

— Et question goût, classe ou dignité, tu sais de quoi tu parles, je présume ? m’a-t-il provoquée, le sourire aux lèvres.

— Exactement.

— Alors tant pis.

— C’est ta technique de drague ? Désolée, mais faudra repasser. Elle est zéro.

Il a éclaté de rire.

— Ma technique de drague est infaillible. (Il a passé ses mains dans ses cheveux noirs et bouclés avec un sourire de petit merdeux.) Je voulais simplement qu’on discute. Entre…

amis.

— Aucune envie. Désolée. (Je lui ai tourné le dos pour reprendre une gorgée mais il n’a pas cillé.) C’est bon, lâche-moi.

— D’accord, a-t-il finalement soupiré. T’es vraiment bornée, tu sais ? Mais pour être honnête, je dois admettre que tu es plus intelligente et têtue que la plupart des filles que j’accoste. Sauf que je ne suis pas venu pour me lancer dans une grande discussion.

Il a reporté son attention vers la piste de danse.

— En réalité, j’ai besoin que tu m’aides. Tes copines, elles sont vachement hot. Et toi, chérie, t’es leur DUFF.

— Leur quoi ?

— Leur Dodue Utile Franchement Fade, a-t-il précisé. Te vexe pas, hein ?

— Non mais n’importe…

— Monte pas sur tes grands chevaux. Je t’ai pas traitée de crapaud… C’est juste qu’en comparaison à elles… (Il a haussé les épaules qui lui donnaient une carrure d’armoire à glace.) Réfléchis deux secondes : pourquoi tu crois qu’elles t’emmènent avec elles si tu ne danses pas ?

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Elle a froncé les sourcils mais, après un haussement d’épaules, a aussitôt pris Jessica par le poignet pour l’entraîner sur la piste.

— Aie ! s’est écriée Jess. Doucement, Case ! Tu vas m’arracher le bras !

Déjà, elles étaient au centre de la piste, leurs mouvements de hanches en synchronie parfaite avec les basses de la techno.

— Pourquoi tu ne leur as pas dit que tu mourais d’ennui ? a voulu savoir Joe en posant un verre de Cherry Coke devant moi.

— Je ne meurs pas d’ennui.

— Tu n’es pas très bonne menteuse non plus, a-t-il répliqué juste quand un groupe d’élèves de troisième criaient leurs commandes à l’autre bout du bar.

J’ai siroté mon Coca, les yeux rivés à l’horloge au-dessus du comptoir. La trotteuse ne semblait pas bouger. Pourvu qu’elle soit cassée. Il fallait que j’attende qu’il soit au moins

23 heures avant de demander à Casey et Jessica de rentrer. Plus tôt que ça et je passerais pour la rabat-joie de base. Seulement, à en juger par les aiguilles, il n’était même pas encore 21 heures. Pourtant, la techno me filait la migraine et la lumière stroboscopique n’arrangeait rien. Allez, trotteuse ! Trotte !

— Salut.

Exaspérée, j’ai pivoté pour foudroyer des yeux l’intrus qui se tapait l’incruste. Ça arrivait de temps en temps. Un mec, soit défoncé, soit puant de transpi, s’affalait sur le siège près du mien dans une semi-tentative d’entamer la conversation. Les types en question n’avaient clairement pas le sens de l’observation parce qu’il ne fallait pas être un génie pour décoder l’expression sur mon visage : « Défense d’approcher ».

Étonnamment, mon voisin de tabouret ne sentait ni le shit, ni les aisselles. D’ailleurs, je détectais plutôt une odeur d’eau de Cologne. Sauf que j’en ai eu des haut-le-cœur en comprenant d’où elle provenait. À choisir, j’aurais préféré le fumeur de pétards coiffé en pétard.

Wesley Rush, dit le Connard.

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I'm the wind beneath your wings

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No matter where you go or what you do to distract yourself, reality catches up with you eventually.

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After all, everybody knows the "It's better to have loved and lost..." spiel is a load of crap.

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Bianca,

Étant donné que tu continues à me fuir au lycée et que, si je me souviens bien, entendre ma voix te donne envie de sauter par la fenêtre, j'ai pensé qu'une lettre serait peut-être le meilleur moyen de te dire ce que je ressens. Écoute-moi pour une fois.

Je mentirais si je prétendais que tu avais tort. Tout ce que tu as dit l'autre jour était vrai. Mais ce n'est pas parce que j'ai peur d'être seul que je te cours après. Je connais ton cynisme et je m'attends à ce que tu répliques un de tes commentaires narquois quand tu me liras, mais la vérité, c'est que, si j'insiste, c'est parce que je crois que je suis en train de tomber amoureux de toi.

Tu es la première fille à m'avoir vraiment percé à jour. La première à m'avoir mis face à la réalité et mes conneries. Tu me remets à ma place, mais en même temps, tu me comprends. Mieux que personne. Tu es la seule à être assez courageuses pour me critiquer. Et jamais avant toi on ne m'avait regardé d'aussi près... pour découvrir mes défauts. Et il y en a un paquet.

J'ai téléphoné à mes parents. Ils rentrent ce week-end pour nous voir, Amy et moi. On est censés avoir une discussion. J'appréhendais un max au début mais c'est toi qui m'as donné la force d'appeler. Sans toi, je n'en aurais jamais eu le courage.

Je pense beaucoup plus à toi que tout mec qui se respecte oserait l'avouer et je suis fou de jalousie de Tucker. C'est pas rien pour moi de l'avouer. Je n'arrive pas à t'oublier. Aucune fille ne peut m'équilibrer comme toi. Et personne d'autre ne me donne ENVIE de me ridiculiser dans une lettre comme celle-ci.

Il n'y a que toi.

Mais je sais que j'ai raison moi aussi. Tu es amoureuse de moi, même si tu sors avec Tucker. Tu peux te mentir à toi-même, la réalité finira par te rattraper. Et je serais là quand ça arrivera... que cela te plaise ou non.

Je t'embrasse,

Wesley

PS : Je sais que tu es en train de lever les yeux au ciel en ce moment, mais je m'en fiche. D'ailleurs, j'ai toujours trouvé ça excitant.

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P. 41

- Si, si, il y a un truc qui te tracasse, a insisté Wesley. On dirait que tu vas pleurer. (D'une main sur mon épaule, il m'a forcée à le regarder.) Bianca ?

Alors j'ai fais une grosse connerie. Quand j'ai entrevu l'occasion, je n'ai pas réfléchi ni mesuré à quel point je le regretterais plus tard. L'occasion en question était assise sur le tabouret près du mien alors j'ai sauté dessus. Au sens propre.

Et j'ai embrassé Wesley Rush.

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“First:

"Wesley Rush doesn’t chase girls. They chase him.”

Then:

“You’re right. Wesley Rush doesn’t chase girls, and I’m not chasing you”

But in the end:

"Wesley Rush doesn’t chase girls, but I’m chasing you" ♥”

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“I think about you much more than any self-respecting man would like to admit, and I'm insanely jealous of Tucker - something I never thought I'd say. Moving on after you is impossible. No other girl can keep me on my toes the way you can. No one else makes me WANT to embarrass myself by writing sappy letters like this one.

Only you.”

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