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Genre complètement, follement, irrévocablement amoureux de Syd - et depuis des années. Songeant à la phrase que je m'étais fait tatouer dans le bas du dos après le lycée, je secouai la tête. J'avais peut-être refuse de l'admettre jusqu'ici, et je n'étais sans doute qu'un sac à merde d'être sorti avec toutes ces filles pendant tout ce temps, mais je ne pouvais plus faire abstraction de mes sentiments pour Sydney.

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- Ah oui ? Répliquai-je sèchement. Dans ce cas, pourquoi transforme-t-il sa chambre en hall de gare ?

Andrea renifla de mépris.

- Les mecs sont complètement débile quand ils croient n'avoir aucune chance avec une fille. Nous, les femmes, on se laisse dépérir et on garde les cuisses fermées quand on aime un garçon qu'on ne peut pas avoir. Les mecs se baladent la bite à la main et sautent sur tout ce qui a un trou pour oublier celui qui se refuse à eux.

- Wahou, répondis-je dans un éclat de rire. Quelle élégance.

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Extrait ajouté par Lalouu 2020-05-04T17:31:08+02:00

"Beaucoup plus tard, quand vint le moment de partir, Kyler quitta le lit pour prendre ses vêtements et j’admirai son dos. Mon regard s’arrêta sur sa colonne vertébrale et je me redressai pour suivre du doigt les caractères élaborés du mystérieux tatouage qui m’avait toujours fascinée. Il tourna la tête par-dessus son épaule pour me regarder, mais ne se déroba pas.

— Qu’est-ce qu’il veut dire ? Il resta longtemps silencieux avant de répondre.

— Tu veux vraiment le savoir ?

Je me rallongeai sur le flanc.

— Oui.

Kyler finit de boutonner son jean, puis s’assit à côté de moi. Il se pencha pour m’embrasser.

— J’ai fait réaliser ce tatouage après le lycée, juste avant d’entrer à l’université.

— Je sais.

Mon obsession pour lui et pour son corps ne datait pas d’hier. J’avais gravé le motif dans ma mémoire dès la première fois où je l’avais vu.

Un coin de sa bouche se releva.

— Tu vas trouver ça complètement nul, ou tu seras vraiment surprise.

— Tu attises ma curiosité. Dis-le-moi, implorai-je avec une tape sur son torse encore nu. S’il te plaît. Il me dévisagea longuement.

— C’est du sanskrit. Ça veut dire « Pour toujours ».

Mon cœur tressaillit tandis que je relevais la tête.

— Ça signifie ce que je crois ?

— Oui, ça signifie ce que tu crois. Je pressai une main sur mon cœur, les yeux mouillés de larmes.

— Tu as fait ça juste après notre diplôme ? Il y a si longtemps ?

— Oui. J’ai ressenti un besoin d’engagement sur le long terme."

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Andrea renifla de mépris.

— Les mecs sont complètement débiles quand ils croient n’avoir aucune chance avec une fille. Nous, les femmes, on se laisse dépérir et on garde les cuisses fermées quand on aime un garçon qu’on ne peut pas avoir. Les mecs se baladent la bite à la main et sautent sur tout ce qui a un trou pour oublier celui qui se refuse à eux.

— Waouh, répondis-je dans un éclat de rire. Quelle élégance.

Elle me gratifia d’un sourire fugace.

— C’est vrai. Comme les lois de la physique. C’est comme ça que ça se passe, ce qui me conduit à te poser une question essentielle. Est-ce que tu l’aimes toujours ?

Mon cœur trébucha dans ma poitrine.

— Je n’ai jamais dit que je l’aimais.

Elle leva les yeux au ciel.

— Trêve de conneries. Comme je te l’ai déjà dit, depuis que je te connais, ça crève les yeux que tu es amoureuse de lui. Quand tu me racontes ce qu’il s’est passé, je l’entends dans ta voix. Réponds à ma question.

Elle me tenait prisonnière de son regard. Andrea aurait dû s’engager dans la police ou ce genre de trucs. Vu son passé, ça n’arriverait jamais, mais elle dégageait pourtant l’autorité naturelle d’un représentant des forces de l’ordre. Je devais prendre une décision. Soit je lui racontais un gentil bobard, soit je lui disais la vérité. Il était quelquefois beaucoup plus facile de mentir, surtout quand on se mentait déjà à soi-même. Et une vérité énoncée à voix haute devenait indélébile. Je me lançai.

— D’accord. Je l’aime toujours.

Je m’attendais presque à ce que des ballons et des confettis tombent du ciel après une telle déclaration.

— Je suis amoureuse de lui.

Andrea hocha lentement la tête.

— Il faut savoir ce que tu veux, Sydney.

Je reposai le morceau de pain à demi grignoté dans mon assiette.

— Je ne sais pas. J’imaginais qu’il essaierait de rattraper le coup pour réparer notre amitié.

— Mais ça ne te suffit pas.

— Non.

Elle haussa un sourcil.

— Mais tu ne veux pas d’une relation avec lui ?

J’ouvris la bouche et Andrea se pencha en avant.

— Je comprends que tu sois en colère, et je te concède que tu as tous les droits de l’être. Tout ce temps qu’il a passé à se taper tout ce qui bouge. Et il a beaucoup à se faire pardonner, parce que tu as été blessée à cause de ses errances. Je ne suis même pas en train de te dire que tu dois lui pardonner. Honnêtement, je te comprendrais tout à fait si tu décidais que non. Les mecs sont des connards, et Kyler ne fait pas exception à la règle, mais…

Elle se mit à pianoter sur la table.

— Mais si tu es vraiment amoureuse de lui, si rester en froid avec lui te fait souffrir davantage encore et qu’il veut arranger les choses, ce serait stupide de ta part de t’en priver.

Mon ventre se noua tandis que je regardais mon amie. Ce serait effectivement plus douloureux pour moi de ne pas pardonner à Kyler en fin de compte, même si nous ne devions rester qu’amis. M’accrocher à

ma colère ne m’apporterait que de l’amertume. Mais je ne voulais pas

être non plus de ces filles qui en donnent trop à quelqu’un qui ne le mérite pas et perdent une partie d’elles-mêmes pour toujours.

Je poussai un soupir, hésitant sur la conduite à tenir.

— Je ne sais pas, Andrea. Peut-être qu’avec le temps, tout redeviendra comme avant.

Je me sentis plus forte après avoir dit ça. Pleine d’espoir. Peut-être qu’on pourrait oublier tout ça, finalement. Cela me paraissait plus probable qu’une déclaration d’amour éternel de la part de Kyler.

— On verra bien.

— Tu as raison. Nous allons voir, déclara-t-elle avec assurance.

J’arquai un sourcil interrogateur.

Andrea recula sur sa banquette et laissa tomber ses mains sur ses cuisses.

— Très bien, j’espère que tu ne vas pas me détester.

La suspicion germa et s’épanouit dans mon esprit comme une mauvaise herbe.

— Pourquoi devrais-je te détester ?

Une expression penaude traversa son visage.

— Andrea ?

Elle se mordit la lèvre et eut un mouvement de recul.

— J’ai plus ou moins invité des gens à se joindre à nous.

Mon ventre se tordit.

— Quoi ?

— Bah, j’ai plus ou moins dit à Tanner qu’on sortait dîner toutes les deux et il a suggéré que ce serait une bonne idée d’inviter Kyler, donc en fait, c’est la faute de Tanner, et je n’y suis pour rien.

Je restai plusieurs secondes à la regarder fixement. Une moitié de moi bondissait en poussant des cris de joie pendant que l’autre moitié

avait envie de s’enfuir en courant.

— Tu n’as pas fait ça.

— Euh…

— Andrea ! sifflai-je.

Elle m’offrit un sourire hésitant.

— Je leur ai envoyé un texto pour leur dire où on était et ils vont arriver d’une minute à l’autre.

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– Je comprend parfaitement, reprit-elle, et l’éclat dans ses yeux le paralysa. Je ne suis pas assez bien - ou pas assez tout ce que tu voudras - pour toi. Et peu importe que je t’aime...

Elle s’interrompit et le sang déserta son visage.

– Oh mon dieu...

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Elle se pencha plus près, le collant ses seins sous le nez. Bon. Mon dégoût de moi-même n’alla pas jusqu’la.

— Mon chou, dis-je en faisant tourner l’an bière entre mes doigts. A un moment donné, je vais avoir besoin d’en respirer.

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Ce ne serait pas lui faire justice que de dire qu’il était beau comme un dieu parce que les statues de dieux grecs et romains n’étaient généralement pas des bombes.

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Extrait ajouté par Youmie 2019-01-26T17:35:55+01:00

Je levai les mains en signe de reddition.

- Message reçu.

Tanner pencha la tête sur le côté et sourit brièvement.

- Bref, tout ce que j'ai à dire c'est: qu'est-ce que tu fous encore ici à parler avec moi?

Je le considérai un moment, puis haussai les épaules.

- Et qui va te ramener chez toi, trouduc ?

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— Il faut qu’on parle, dit-il, en posant les mains à plat sur ses genoux.

— Oui, soufflai-je.

Cela ne servait à rien de se mentir ou de repousser l’inévitable. Incapable de rester assise, je me levai.

— Pardon d’être partie de Snowshoe sans rien dire, mais j’étais pressée de quitter cet endroit.

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Même si Kyler et moi parvenions à laisser cette histoire derrière nous et à rester amis, les autres ressentiraient toujours ce malaise. Tout le poids du monde m’accabla soudain et je me tassai sur mon siège. Je voulais rentrer chez moi et me cacher au fond de mon lit.

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