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Harry remarqua également que le château était soumis à un nettoyage exceptionnel. Plusieurs portraits un peu crasseux avaient subi un récurage qui ne semblait guère apprécier leurs sujets. Réfugiés dans un coin de leur cadre, ils marmonnaient des protestations d'un air sombre et faisaient la grimace en effleurant du bout des doigts leurs joues rose vif. Les armures avaient soudain retrouvé tout leur éclat et remuaient sans grincer. Quant à Argus Rusard, le concierge, il se montrait si féroce envers les élèves qui oubliaient d'essuyer leurs pieds en entrant que deux filles de première année avaient été prises d'une véritable crise de terreur.

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Ron fit semblant de tousser, d'une toux étrange qui laissa deviner le nom de << Lockhart >>, un ancien professeur de Poudlard beaucoup plus soucieux de son apparence physique que de la qualité de ses cours.

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Harry et Ron eurent un sourire et échangèrent avec Hagrid un coup d'œil amusé. Le plus cher désir de Hagrid était précisément d'avoir un dragon chez lui. Harry, Ron et Hermione étaient bien placés pour le savoir, car il en avait eu un pendant une brève période, au cours de leur première année d'études à Poudlard, un Norvégien à crêtes, passablement agressif, du nom de Norbert. D'une manière générale, Hagrid avait une passion pour les créatures monstrueuses - plus elles étaient dangereuses, plus il les aimait.

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Il était de notoriété puyblique que Rogue convoitait depuis longtemps le poste de professeur de défense contre les forces du Mal et, pour la quatrième année consécutive, il n'était toujours pas parvenu à l'obtenir. Rogue avait éprouvé la plus vive antipathie pour les anciens professeurs en cette matière et ne s'était pas privé de le montrer mais, étrangement, il s'efforçait de ne pas manifester son animosité envers Maugrey Fol Œil. Chaque fois que Harry les voyait ensemble - pendant les repas ou en les croisant dans un couloir -, il avait la nette impression que Rogue évitait le regard de Maugrey, celui de son œil magique comme celui de son œil normal.

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Ils se séparèrent pour chercher chacun de son côté mais, au bout de deux minutes, un grand cri retentit dans le silence :

- Par ici, Arthur ! Par ici, mon vieux, on l’a trouvé !

Deux hautes silhouettes se découpaient contre le ciel étoilé, de l’autre côté du sommet.

- Amos ! s’écria Mr Weasley.

Avec un grand sourire, il s’avança vers l’homme qui venait de crier. Les autres lui emboîtèrent le pas.

Mr Weasley serra la main d’un sorcier au teint rubicond, avec une barbe brune en broussaille. Dans son autre main, il tenait une vieille botte moisie.

- Je vous présente Amos Diggory, dit Mr Weasley. Ils travaille au Département de contrôle et de régulation des créatures magiques. Je crois que vous connaissez son fils, Cedric ?

Cedric Diggory était un garçon de dix-sept ans, au physique avantageux. Il était capitaine et attrapeur de l’équipe de Quidditch de Poufsouffle, à Poudlard.

- Salut, dit Cedric en se tournant vers eux.

Tout le monde répondit, sauf Fred et George qui se contentèrent d’un signe de tête. Ils n’avaient jamais vraiment pardonné à Cedric d’avoir battu leur équipe de Gryffondor au cours du premier match de Quidditch de l’année précédente.

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- Si vous voulez mon avis, c’est lui l'assassin et je me fiche bien de ce que dit la police, avait commenté Dot au pub du Pendu. Et s’il avait un peu de décence, il partirait d’ici. Il sait bien que tout le monde est au courant que c’est lui qui les a tués.

Mais Frank n’était pas parti. Il avait continué à s’occuper du jardin pour le compte de la famille qui avait racheté la maison des Jedusor, puis pour la famille qui lui avait succédé - car personne n’y restait bien longtemps. Peut-être était-ce en partie à cause de Frank que chaque nouveau propriétaire affirmait se sentir mal à l’aise dans cet endroit qui, en l'absence d’occupants, avait commencé à tomber en ruine.

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Comme il n’existait aucune preuve d’assassinat, la police avait dû relâcher Frank. On avait enterré les Jedusor dans le cimetière de Little Hangleton, derrière l’église, et leurs tombes étaient restées pendant longtemps un objet de curiosité. A la grande surprise de tous, Frank Bryce était retourné vivre dans sa maisonnette, sur le domaine qui entourait la résidence des Jedusor.

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Frank Bryce était le jardinier des Jedusor. Il vivait seul dans une maisonnette délabrée située dans le domaine qui entourait le manoir. Frank était revenu de la guerre avec une jambe raide et une profonde aversion pour la foule et le bruit. Depuis, il travaillait au service des Jedusor.

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On avait appelé la police et tout le village de Little Hangleton avait bouillonné d’une curiosité indignée et d’une excitation mal déguisée. Personne, cependant, n’avait gaspillé sa salive à déplorer la disparition des Jedusor qui n’avaient jamais suscité une grande sympathie alentour. Mr et Mrs Jedusor, un couple âgé, étaient riches, arrogants, mal élevés, et leur fils déjà adulte, Tom, se montrait encore pire que ses parents. Tout ce qui importait aux villageois, c’était de connaître l’identité du meurtrier - le crime ne faisant aucun doute, car trois personnes apparemment en bonne santé n’auraient pu mourir subitement de mort naturelle le même soir.

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Les habitants de Little Hangleton l’appelaient toujours la maison des « Jeux du sort », même s’il y avait de nombreuses années que la famille Jedusor n’y vivait plus. Elle se dressait au sommet d’une colline dominait le village, certaines de ses fenêtres condamnées par des planches, le toit dépourvu de tuiles en plusieurs endroits, la façade envahie d’un lierre épais qui poussait en toute liberté. Autrefois, le manoir avait eu belle apparence, c’était sans nul doute le plus grand et le plus majestueux édifice à des kilomètres à la ronde mais, à présent, la maison des « Jeux du sort » n’était plus qu’une bâtisse humide, délabrée, déserte.

Les villageois s’accordaient à dire que la maison faisait « froid dans le dos ». Un demi-siècle plus tôt, un événement étrange et terrifiant s’y était produit, quelque chose que les plus anciens du village se plaisaient encore à évoquer lorsqu’il n’y avait rien de plus récent pour alimenter les pontons. L’histoire avait été racontée tant de fois, enjolivée si souvent, que plus personne n’aurait su dire où était vraiment la vérité. En tout cas, toutes les versions du récit commençaient de la même manière : cinquante ans plus tôt, à l’aube d’une belle matinée d’été, alors que la maison de la famille Jedusor était encore une imposante résidence soigneusement entretenue, une servante était entrée dans la grand salon et y avait trouvé les cadavres des trois Jedusor.

La servante s’était précipitée au village et avait alerté à grands cris tous ceux qu’elle rencontrait sur son passage.

- Ils sont allongés par terre les yeux grands ouverts ! Froids comme la glace ! Encore habillés pour le dîner !

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