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Liste des extraits

chapitre 11 :

- Je porte décidément bien mon nom : Salvatore, ça veut dire "sauveur" en italien.

L'interlocuteur d'Elena eut un sourire d'une blancheur éclatante.

La jeune fille, alerté par des mouvement en contre-bas, baissa les yeux. Le surplomb du toit lui cachait le balcon, mais les voix calmes qu'elle perçu la rassurèrent : personne ne s'était rendu compte de sa présence. Un instant plus tard, la porte-fenêtre se referma.

- Je croyais que tu t'appelait Smith, répliqua-t-elle.

Damon partit d'un éclat de rire particulièrement sensuel, dénué de toute amertume, contrairement à celui de Stefan. Il était tout aussi agréable de l'entendre que de contempler les irisés sur le plumage du corbeau...

Mais Elena n'était pas dupe. Sous ses dehors charmeurs, Damon était terriblement dangereux. Son corps svelte et gracieux cachait une force inouïe ; avec ses yeux langoureux, il était parfaitement nyctalope ; la main aux longs doigts effilés qui l'avait hissée sans effort pouvait réagir avec une incroyable rapidité ; et surtout, il avait la cruauté d'un tueur.

La véritable nature de Damon lui apparaissait parfaitement : il vivait depuis si longtemps en prédateur qu'il n'avait plus rien d'humain car à la différence de Stefan, il ne cherchait pas à combattre ses instinct carnassier, mais s'en délectait sans aucune préoccupation morale. Et Elena se trouvait piégée avec lui sur ce toit, seule, au beau milieu de la nuit.

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- Je crois qu'il vaudrait mieux ne plus se voir pendant quelque temps .. S'ils pensent qu'on est plus ensemble, ils te laisseront tranquille.

Elle le dévisagea avec horreur.

- Quoi ? Tu pourrais arrêter de me voir pendant je ne sais pas combien de temps ?

- S'il le faut, oui .. On a qu'à faire semblant d'avoir cassé ..

Elena le fixa sans rien dire. Puis, elle se mit à arpenter le sol en cercles concentriques autour de lui.

- Il n'y a qu'à une seule condition que j'annoncerai aux autres qu'on n'est plus ensemble : si tu me dis que tu ne m'aimes plus et que tu ne veux plus me voir. Alors, dis-le moi, Stefan. Dis-moi que tu ne veux plus de moi !

Stefan resta sans voix.

- Allez, le défia-t-elle. Ose me dire que tu me jettes .. Ose me dire que ..

La fin de sa phrase fut étouffée par un baiser.

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PARTIE 2 : l'attaque - chapitre 1

- Damooon !

Elena s'obstinait à braver le vent glacial qui lui cinglait le visage.

- Damooon !

Des nuées de feuilles mortes tourbillonnaient entre les tombes, et les branches entremêlées fouettaient l'air, comme prises de folie. La jeune fille se doutait bien que Damon avait déclenché cette tempête pour l'effrayer. Mais imaginer le sort qu'il avait dû réserver à Stefan réveilla en elle une rage qui balaya ses craintes.

- Damon, espèce de salaud ! Montre-toi ! cria-t-elle à la ronde.

Une feuille morte virevolta jusqu'à ses pieds. Elle leva les yeux vers le ciel, d'un gris aussi lugubre que les sépultures autours d'elle. Elle du se rendre à l'évidence : elle seule avec le vent déchaîné. La déception ne fit qu'accroître sa fureur.

Elle se retourna, et poussa un cri.

Il se tenait juste devant elle, si proche qu'il la touchait presque. Elle n'avait même pas senti sa présence dans son dos ni entendu le bruit de ses pas. Mais c'était oublié les facultés surnaturelle de Damon.

Elle fit un violent effort pour ne pas prendre la fuite, comme son instinct le lui dictait, et se contenta de serrer les poings.

- Où est Stefan ?

Damon haussa les sourcils.

- Je ne vois pas de quoi tu parles.

Elle s'avança vers lui et le gifla avec une telle force que sa tête valsa. Elle-même n'en revenait pas de son audace. La main en feu, et la respiration saccadée, elle guetta sa réaction.

Il était vêtu de noir de la tête aux pieds, comme lors de leurs première rencontre. Elena remarqua pour la première fois sa frappante ressemblance avec Stefan : la même chevelure brune, le même teint pâle, la même beauté troublante... Il se différencier seulement de son frère par ses cheveux raides, ses yeux noirs comme un puits sans fond et son petit rictus au coin des lèvres.

Il tourna lentement la tête vers Elena. La claque lui avait laissé une marque rouge sur la joue.

- Arrête de te foutre de moi, reprit-elle d'une voix tremblante. Je sais qui tu est réellement. C'est toi qui as tué M. Tanner. Et tu es forcément pour quelque chose dans la disparition de Stefan.

- Il a disparu ?

- Ne fait pas l'innocent !

Le sourire de Damon s'évanouit.

- Je te préviens, si jamais tu lui as fait du mal..., reprit Elena.

- Et alors, qu'est-ce que tu tenteras ? Tu ne peux rien contre moi !

Dans le silence qui suivit, la jeune fille réalisa que le vent était brusquement tombé. Tout paraissait mort autour d'eux, comme si le temps s'était arrêté ; le ciel de plomb, les chênes décharnés, les hêtres pourpres et la terre elle-même semblaient s'être figés sous les ordres de Damon. La tête rejetée en arrière, il contemplait Elena d'un air étrange.

- Je trouverais bien quelque choses pour te nuire, murmura-t-elle.

Il éclata de rire.

- Je n'en doute pas !

Elena ne put s'empêcher de le contempler. Il était d'une beauté stupéfiante.

- Tu es décidément trop bien pour mon frère, déclara-t-il en lui tendant la main.

Elena résista à l'envie de la repousser d'une tape : l'idée de le touchait à nouveau la répugnait.

- Dis-moi où il est.

- Plus tard, peut-être... Contre une petite récompense.

Comme il retirait sa main, elle remarqua l'anneau d'argent orné d'un lapis-lazuli. C'était le même que celui de Stefan. Elle grava ce détail dans sa mémoire.

- Mon frère n'est qu'un abruti, poursuivit Damon. Il s'imagine que tu es aussi influençable que Katherine, simplement parce que tu lui ressembles. Moi, j'ai senti ta colère vibrer depuis le bout de la ville. Tu as une personnalité hors du commun, Elena. Tu pourrais devenir très puissante, tu sais...

Elena le dévisagea sans comprendre.

- Qu'est-ce que tu entends par là ?

- Je veux parler de certains pouvoirs.

Il s'avança vers elle, les yeux riivés aux siens.

- Tu n'oses pas te l'avouer, mais rien ne te satisfait vraiment, continua-t-il d'une voix pressante. Ce que tu désires de toute ton âme reste désespérément hors de ta portée. Mais moi, je viens t'offrir quelque chose qui te comblera enfin : la puissance, la vie étérnelle, et des sensations comme tu n'en as jamais eues.

Elle suffoqua de dégout en réalisant ce que cela signifiait.

- Jamais !

- Pourquoi ? murmura Damon en la couvant de son regardenvoûtant. Tu en meurs d'envie... La force qui est en toi ne demande qu'à grandir. Ça ne te plairait pas d'être la reine des ténèbres ? Je peux t'aider à le devenir.

- Non !

Consciente du danger, elle tenta de s'arracher à l'emprise de ses yeux.

- Ce sera notre secret, Elena, susurra-t-il. Tu seras enfin heureuse.

Il lui effleura la gorge, et, malgré tous ses efforts, les idées de la jeune fille se brouillèrent.

- Nous serons réunis, toi et moi..., continua-t-il.

Les doigts glacés de Damon se glissèrent sous le col de son pull.

- ... pour toujours.

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Elle avait l'impression d'être comme ces gens qui demandent « Il y a quelqu'un ? » en entrant dans une maison vide tout en redoutant qu'on leur réponde.

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Page 118 :

-Stefan, reprit-elle, je comprend ce que tu ressens, tu sais...

-Tu ne peux pas comprendre !

Sa colère avait éclaté avec une violence terrible.Baissant les yeux sur la main d'Elena, il découvrit que la jeune fille avait osé le toucher. Il la repoussa sans ménagement et, à l'aide de son bras levé, il para même une tentative d'approche.

Alors, sans comprendre comment la chose s'était produite, il se rendit compte, stupéfait que leurs doigts s'étaient entrelacés...Sa main serrait maintenant celle d'Elena comme si sa vie en dépendait...

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Frances se tourna vers son dernier recours , Elena.

-Mais je croyais que tu voulais tout savoir sur lui?

-Oh, c'était par simple curiosité! Comme c'est un nouveau , je voulais juste lui souhaiter la bienvenue à Fell's Church.Mais je dois rester fidèle à Jean-Claude.

-Jean Claude?

-Jean Claude, confirma Mérédith en levant les yeux et au ciel et poussant un gros soupir .

-Jean Claude , répéta Bonnie.

Délicatement, Elena sortit une photo de son sac à dos.

-Là , il est devant la maison qu'on louait. Juste après la photo , il a cueilli une fleur et me l'a donnée en disant...quelque chose que je ne peux pas te répéter , conclut-elle avec un sourire mystérieux .

Frances regarda le jeune homme bronzé de la photo , torse nu devant devant un buisson d'hibisicus , un sourire timide aux lèvres.

-Il est plus vieux que toi?demanda-t-elle? d'un air respectueux.

-Il a vingt et un ans. Evidemment , ma tante ne serair pas d'accord, alors on a décidé de garder le secret jusqu'à le fac.On s'écrit en cachette.

-C'est super romantique...soupira Frabces. J'en parlerai à personne, promis! Mais, pour ce qui est de Stefan..

Elena prit une expression hautaine.

- De toute façon , je trouve la cuisine française bien supérieure à la cuisine italienne. Pas vrai, meredith?

-Ca , oui! T'es pas d'accord , Frances?

-Heu, si , si.

Elle quitta la table avec un sourire forcé . Bonnie , visiblement au supplice , se pencha vers ses amies .

-Ecoutez les filles. Je tiens plus, moi . Il faut absolument que je sache ce qu'on dit sur Stefan!

-Tu parles du ragot qui court? répondit calmement Elena . Je suis au courant : il paraîtrait que Stefan fait partie de la brigade des stups...

Après un instant de surprise, Bonnie éclata de rire.

-De quoi?? Mais c'est complètement débile!

Habillé comme il est , avec des lunettes noires ? Il fait tout pour qu'on le remarque!

Elle se tut , les yeux soudain écarquillés.

-Mais peut-être que c'est fait exprés ? Qui soupçonnerait un frimeur pareil ? Et puis , il vit seul , il ne parle jamais de lui..Elena! Peut-être que c'est vrai !

-Impossible, dit Meredith.

-Qu'est ce que t'en sais?

-C'est moi qui est lancé la rumeur.

Devant l'air abasourdi de Bonnie, elle ajouta:

-C'est Elena qui m'a demandé de le faire.

-Ahhhhh...C'est trop fort!Alors , je peux raconter à tout le monde qu'il est atteint d'une maladie incurable?

-Non, ça tu ne peux pas. J'ai pas envie que toutes les bonnes âmes du coin viennent lui tenir la main. Par contre , tu peux dire ce que tu veux sur Jean-Claude.

-C'est qui, au fait, ce type sur la photo?

-Le jardinier. Il était dingue de ses hibisicus...et il était marié.

-Dommage...Mais pourquoi t'as demandé à Frances de n'en parler à personne?

Elena jeta un coup d'oeil à sa montre.

-Comme ça , je suis à peu près sûre que d'ici , disons deux heures la nouvelle aura fait le tour du lycée.

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- Je ferais mieux de te ramener chez toi, lui dit-il.

A ce moment elle aurais voulu le faire souffrir, ou du moins le mettre aussi mal à l'aise qu'elle l'était à cause de lui. Cependant elle était lassée de ses innombrables complot pour percer Stefan à jour. Elle ne désirer plus qu'une chose : affronter la vérité.Elle osa enfin poser la question qui lui trottait dans la tête depuis si longtemps :

- Pourquoi tu me déteste ?

Il la regarda un peu désemparé, puis répondit :

- Je ne te déteste pas.

- Si... Je le sais... Je ne t'ai pas remercié tout à l'heure, et je ne le ferais pas davantage maintenant. Tu vois, moi non plus, je ne connais pas les bonnes manières... Je n'ai aucune reconnaissance envers toi. Je ne t'ai rien demandé d'ailleurs : je ne savais pas que tu était dans le cimetière. En fait, je ne comprend pas même pas pourquoi tu m'a sauvée, vu la haine que je t'inspire...

- Je ne te déteste pas, répéta-t-il doucement.

- Reconnais-le au moins : depuis le début, tu m'évites comme la peste. J'ai pourtant essayer d'être sympa avec toi.. C'est comme ça qu'un gentleman se conduit quand quelqu'un lui souhaite la bienvenue ?

Il voulait l'interrompre, mais elle reprit de plus belle :

- A chaque fois tu m'a ignorée devant tout le monde... Tu m'a humiliée devant mes amis... Et tu m'a addressé la parole ce soir uniquement parceque j'étais en danger de mort. Il fallait que je me fasse assassiner pour que tu daignes me parler, c'est ça ? Même maintenant, je ne peux pas te frôler sans que tu fasses un bond en arrière... C'est quoi ton problème, à la fin ? Qu'est-ce qui t'empêche de te confier ? Réponds-moi ! Qu'est-ce que tu as ?

Le visage de Stefan était plus férmée que jamais. Elena inspira profondément, essayant de lutter contre les larmes qui lui montaient aux yeux. Elle ajouta d'un ton moins dur :

- Pourquoi tu ne m'adresse pas un regard alors que tu laisse caroline te mener par le bout du nez ? J'ai quand même le droit de comprendre ça, non ?... Quand tu m'auras répondu, je te laisserai tranquille, promis. Si tu veux, je ne te parlerai plus. Alors, pourquoi tu me déteste à ce point, Stefan ?

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Extrait ajouté par Saph 2013-10-02T20:09:50+02:00

- Je porte décidément bien mon nom : Salvatore, ça veut dire "sauveur" en italien.

L'interlocuteur d'Elena eut un sourire d'une blancheur éclatante.

La jeune fille, alerté par des mouvement en contre-bas, baissa les yeux. Le surplomb du toit lui cachait le balcon, mais les voix calmes qu'elle perçu la rassurèrent : personne ne s'était rendu compte de sa présence. Un instant plus tard, la porte-fenêtre se referma.

- Je croyais que tu t'appelait Smith, répliqua-t-elle.

Damon partit d'un éclat de rire particulièrement sensuel, dénué de toute amertume, contrairement à celui de Stefan. Il était tout aussi agréable de l'entendre que de contempler les irisés sur le plumage du corbeau...

Mais Elena n'était pas dupe. Sous ses dehors charmeurs, Damon était terriblement dangereux. Son corps svelte et gracieux cachait une force inouïe ; avec ses yeux langoureux, il était parfaitement nyctalope ; la main aux longs doigts effilés qui l'avait hissée sans effort pouvait réagir avec une incroyable rapidité ; et surtout, il avait la cruauté d'un tueur.

La véritable nature de Damon lui apparaissait parfaitement : il vivait depuis si longtemps en prédateur qu'il n'avait plus rien d'humain car à la différence de Stefan, il ne cherchait pas à combattre ses instinct carnassier, mais s'en délectait sans aucune préoccupation morale. Et Elena se trouvait piégée avec lui sur ce toit, seule, au beau milieu de la nuit.

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- Je suis sûre qu tu n'a jamais voulu me faire de mal.

- Tu crois ça! Mais tu ignores qu'à la seule vue de ta gorge, j'ai eu envie plus d'une fois de me jeter sur toi devant tout le monde...

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"- Je suis ton miroir ?

- Oui c'est toi qui détient mon âme..."

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