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« La ville défila, les silhouettes sombres des bâtiments, certains en ruine, d'autres résistants et nouveaux, soulignés par la lueur bleue des lanternes fae. C'était ma ville à présent. Bel et bien la mienne. Je l'avais revendiquée et maintenant j'en étais responsable.

− J'ai revendique la ville, dis-je à Curran.

− Tu voudrais que je te construise un bureau ?

Quoi ? Je le toisai.

− Tu pourrais avoir une petite plaque avec ton nom écrit dessus. Kate Daniels, Propriétaire de la Ville.

− Ce n'est pas drôle.

− On peut te trouver un de ces bancs avec des colonnes et des cordes en velours et un petit coussin devant, pour que les gens puissent former une ligne et s'agenouiller devant toi en humble supplication …

− Tu vas arrêter ?

− On peut trouver un de ces costards noirs et des lunettes d'aviateur pour Derek. Il peut paraître menaçant et attribuer des numéros. « Vous serez le septième à vous incliner devant Kate Daniels.

− Je vais te frapper, grognai-je.

− On peut te trouver un trône avec des serpents. Je me tiendrai debout à tes côtés et je rugirai sur quiconque échouant à ramper. Ayez peur de Kate Daniels. C'est une dirigeante puissante et effrayante. Grendel peut oindre les demandeurs de son vomi. Ça serait super...

« Oh, mon Dieu. Je recouvris mon visage de mes mains.

− Allez, bébé, dit-il. J'essaye de te remonter le moral.

− J'ai revendiqué le territoire que mon père voulait. Ça va le rendre complètement fou. Non seulement ça, mais chaque idiot ambitieux possédant une once de pouvoir magique saura que cette région est revendiquée et cherchera la personne qui l'a fait. Sans mentionner le fait qu'à présent l'Oracle des sorcières, les néo-païens, et le Peuple font tous une crise d'apoplexie. J'étais censée éviter la revendication, non prendre la ville. Le conseil de la Meute va péter un câble8.

− L'Oracle des sorcières et les néo-païens peuvent aller se faire voir, répliqua Curran. Ils s'en remettront. Si quelqu'un vient te défier, nous lui botterons le cul. On trouvera un moyen de s'occuper de Roland. Et si le conseil de la Meute crée des chatons, nous les donnerons à Jim pour qu'il les élève. Il a besoin de se détendre de toute façon.

Je le fixai. Il retira ses mains du volant et les écarta de quinze centimètres environ.

− Des chatons mignons au poil soyeux. Assis sur les genoux de Jim.

J'imaginai Jim avec son expression de chef de la sécurité qui déchire recouvert de petits chatons. C'était trop. La torpeur en moi se brisa, comme un barrage. Je gloussai et ris. Curan rit également.

− De mignons chatons, miaou miaou, réussis-je à dire. (Dans ma tête, Jim leva un doigt et sermonna sévèrement une meute de chatons. Oh Seigneur.) Il va les endurcir.

− Il les emmènera dans les Bois pour chasser le daim, dit Curran entre deux éclats de rire. Ils feront des bonds.

Je me serais pliée en deux si la ceinture me le permettait. »

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Extrait ajouté par soukyN 2015-11-03T20:56:13+01:00

-Tu sais, si tu as certaines frustrations, commença Ascanio, je serais heureux de t'aider à t'aider à te libérer d'elles.

Derek me fixa, désigna Ascanio, frappa plusieurs fois son poing droit contre sa paume gauche. Je secouai la tête. Non tu ne peux pas le tabasser.

Desandra rit.

-Peut-être dans vingt ans.Quand j'aurai,comment dit-on?Le conflit de la quarantaine?

-La crise de la quarantaine corrigeai-je.

-Oui,ça.En supposant que tu vives assez longtemps.

-C'est une grande supposition,indiqua Derek.

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« Curran m'attira à lui. Ses bras m'entourèrent et pendant un moment je me sentis en sécurité. C'était une illusion mais je m'en foutais.

− On y va ensemble, dit-il.

− Non.

− Je ne te dis pas quelles batailles livrer. Ne me dis pas quand livrer les miennes.

− Curran, il n'y a pas de marche arrière après ça…

Il secoua la tête.

− Je t'aime. On y va ensemble.

− Mais…

− Non, répéta-t-il. C'est non négociable.

Oh, espèce d'idiot.

− Tu es fou, tu le sais ça ?

− Oui. Mais je suis une bête au lit.

J'éclatai de rire.

− Très bien. Ça règle tout.

− C'est vrai. »

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« – Puisque Brandon n'aidait pas, j'ai donné ce qui restait de lui à Mahon et j’ai dit à Jennifer que c'était son tour. Elle a répliqué que je n'oserai pas. Je lui ai assuré que je le ferai. Je l'ai saisie à la gorge et l'ai un peu secouée. J'ai peut-être rugi.

Robert soupira.

– Il était sous forme guerrière. Il a fait pousser des griffes de la taille des défenses d'un morse et elles étaient trempées du sang de Brandon. Sa fourrure était hérissée, sa bouche était grande comme ça – Robert écarta les bras de soixante centimètres – il a fait pousser une nouvelle série de crocs, et il avait le regard enflammé. Il rugissait si fort que les fenêtres de la forteresse vibraient, et quand il parlait, on aurait dit un démon venant des enfers. Je lui aurais tout dit.

Je passai doucement mes doigts le long de sa joue piquante.

– Tu as eu une perte de contrôle, Ta Majesté des Fourrures ?

– Non, répondit Curran. Je me maîtrisais parfaitement.

De l'autre côté de la pièce, Robert secoua la tête.

– Il tenait Jennifer à trente centimètres du sol pendant tout l'interrogatoire.

– Tu as étranglé l'alpha des loups ?

Non pas qu'elle ne le méritait pas.

Curran grimaça.

– Bien sûr que non. J'avais besoin d'informations. Après avoir mis son visage dans ma bouche, nous nous sommes mis d'accord sur le fait qu'il valait mieux qu'elle me dise ce que je voulais savoir. »

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« Ghastek me regarda attentivement. Il avait la voix rauque.

− Laisse-moi me répéter. On nous a téléportés dans un lieu inconnu, sûrement à des milliers de kilomètres des gens que tu connais, probablement sur un autre continent. L'homme qui nous a mis ici s'est sûrement téléporté également, emmenant ce qu'il savait de notre position avec lui, pour que personne de notre connaissance n'ait l'infime idée du lieu où nous pourrions nous trouver. Même si nous pouvions communiquer par des moyens magiques avec les personnes que nous connaissons, nous ne serions pas d'une grande aide, parce que nous ne savons pas où nous sommes. On flotte dans une eau froide et obscure.

− Elle est plutôt chaude, en fait.

Il leva son doigt.

− Je n'ai pas fini. Nous n'avons pas de nourriture. Nous sommes là depuis minimum quarante-huit heures, parce que les crampes d'estomac que j'ai sont moins intenses. À l'heure actuelle, nos corps brûlent les maigres réserves de graisses que nous avons, ce qui provoquera une grave cétose, ce qui mènera à une acidose sanguine, apportant nausée et diarrhée. Bientôt, évanouissement, faiblesse, et vertige suivront. Alors que nos cerveaux seront privés de nutriments nécessaires, nous commencerons à halluciner, puis nous souffrirons de dommages catastrophiques aux organes, jusqu'à finir par mourir d'une crise cardiaque. C'est une mort brutale et douloureuse. Mahatma Ghandi a survécu pendant vingt-et-un jours quand il a fait campagne pour l'indépendance de l'Inde, mais en considérant que nous sommes dans l'eau et que nos corps épuisent les nutriments à grande vitesse, je nous donne deux semaines, maximum.

− Si jamais tu décides d'un changement de carrière, j'éviterais les conférences sur la motivation. »

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« − C'est quoi ce bordel ? gronda Curran.

− Aucune idée, répondis-je.

La masse s'ouvrit et une personne atterrit sur la route. Il ou elle portait un pantalon et une tunique en peau d'animal avec des morceaux de fourrure cousus dessus à des endroits apparemment aléatoires. Une peinture pâle recouvrait les mains et le visage de la personne, avec deux lignes écarlates verticales partant des deux côtés de son nez et s'étirant jusqu'à ses lèvres. Trois lignes écarlates se courbèrent depuis les deux lignes, traçant le contour de ses pommettes. Deux cornes de longhorn, peintes avec des bandes rouge et blanc, reposaient au sommet de sa tête, disposées pour que les extrémités pointent vers le bas.

La personne secoua un bâton dans notre direction.

− Fille de Nimrod !

Un homme.

− Je pose mon regard sur toi !

L'homme jeta quelque chose au sol. De la fumée explosa. Le vent la dissipa, et l'homme s'était envolé.

Des ninjas chamans. Parfait. Me voilà comblée.

Curran me regarda.

− Ma couverture a sauté, lui dis-je. À présent, chaque tordu possédant une once de pouvoir fera un saut pour se renseigner.

− C'est comme si tu avais assisté à un bal des débutantes, dit Andrea. On t'a présentée à la bonne société, sauf que maintenant tout le monde veut te tuer.

− Lâche-moi.

− Kate Daniels, une débutante, sourit Andrea.

− Ce n'est pas drôle.

− C'est hilarant.

Le sourire disparut du visage d'Andrea et elle vomit sur la neige.

− Le karma, lui rétorquai-je. »

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« − Bordel, à quoi pensais-tu ? grogna Curran.

Je me redressai. Ma poigne sur Slayer me semblait étrange. Le poids avait disparu.

La réalité me frappa comme une brique en plein visage. Oh. C'est vrai. Ce n'était pas Slayer. Putain.

Une odeur aigre atteignit mes narines. Sur le côté, Andrea se pencha et vomit sur la pelouse. Elle essuya sa bouche et se redressa.

− Je pensais que ma meilleure amie était coincée à Mishmar et qu'elle aurait besoin de mon aide pour sortir.

− Je voulais t'en parler, dis-je.

− Je suis toute ouïe, lâcha Andrea.

− C'est une mission suicide et tu es enceinte. Putain, à quoi tu pensais ?

− Il l'a déjà dit. Vous n'êtes pas drôles. Pourquoi pas un « je suis content pour toi » ou un « depuis combien de temps es-tu enceinte » à la place ?

− Imbécile, m'écriai-je.

− Il leur fallait un tireur et quelqu'un qui connaît Roland et Mishmar en plus de Christopher.

− Tu es enceinte, lui rappelai-je.

− Tu l'aurais fait pour moi, répliqua-t-elle. Maintenant, excuse-moi, je vais faire pipi et vomir encore une fois.

Elle s'éloigna et disparut derrière la verdure. »

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« Mon corps devint solide. Je frappai, refis surface, et regardai la moitié d'une épée que je tenais dans ma main. Hugh avait brisé mon épée. Il avait brisé Slayer.

Il a brisé mon épée.

Je m'enroulai autour de mon épée, plongeant dans l'eau. J'avais Slayer depuis mes cinq ans. Voron me l'avait donnée. J'avais dormi avec elle sous mon lit presque chaque nuit pendant plus de vingt-deux ans. Slayer était une partie de moi et maintenant elle était brisée. Cassée en deux. On aurait dit que quelqu'un m'avait coupé le bras et ça ne cessait de faire mal.

Je le tuerai. Ce n'était pas un « si ». C'était un « quand ».

Il a brisé Slayer. »

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“Have you called the alphas ?"

"Yes."

"The rats, too ?"

He bristled. "What about the rats ?"

"They think you're hiding information from them"

"I hide information from everyone. Do they think they're special ?”

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« Je traversai l'eau à la nage. Elle était si chaude et j'étais si fatiguée.

− Tu vas bien ? demanda Curran.

− Si je m'évanouis la tête la première dans l'eau, tu vas me repêcher ?

− Tu promettras de m'appeler Ta Majesté ?

− Sûrement pas.

− Alors je vais devoir y réfléchir. »

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