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« − Qu'est-ce vous attendez de moi, Hugh ?

− À court terme, je voudrais vous entendre dire mon nom avec plaisir. J'aimerais marcher dans Jester Park avec vous à mon bras.

Jester Park, Iowa. Autrefois parc à Des Moines, et maintenant un des refuges de mon père.

− Sur le long terme, je veux gagner. Et je gagnerai, Kate. Vous résisterez, mais vous allez finir par dormir dans mon lit et vous battre avec moi, dos à dos. Nous serons doués ensemble. Je vous le promets.

− Quelle partie de non vous ne comprenez pas ?

− La partie où je n'ai pas ce que je veux. Quelqu'un doit vous apprendre où se trouve votre place. Elle n'est pas à la forteresse.

Quelque chose à l'intérieur de moi céda. »

.

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« Une cheminée illuminait la pièce, et de la chaleur s'y échappait, si luxueusement chaude et douce que pendant un long moment, je m'y délectai. J'avais chaud et j'étais sèche. L'odeur savoureuse de viande rôtie flotta dans l'air. De la nourriture. C'était le paradis.

− Salut, bébé, dit Hugh.

Le paradis venait juste de disparaître. »

.

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« − Il semble que d'Ambray te croit remplaçable.

Ghastek me regarda pendant un long moment. Un muscle de son visage tressauta. Avec un grognement guttural, Ghastek frappa l'eau de son poing.

− C'est tout. Putain, c'est tout !

Oh oh. Malgré tout ce temps où j'avais interagi avec Ghastek, il n'avait jamais juré. Le « premier » Maître de la Mort était sur le point de piquer une colère. Je me tins prête.

− Il vient dans ma ville, il se débarrasse de mes hommes, il me donne des ordres comme si j'étais son serviteur et maintenant ça ? Comment ose-t-il !

Je soupirai. « Comment ose-t-il » est sorti. « Sait-il qui je suis ? » n'était sûrement pas loin.

− Je ne suis pas un illettré qu'il peut maltraiter. On ne me traitera pas de la sorte. J'ai travaillé trop dur, pendant des années. Des années ! Des années d'étude et ce foutu homme des cavernes arrive et agite les bras. (Ghastek fit la grimace. Son but était probablement d'imiter Hugh, mais il réussit principalement à paraître constipé.) Ohh, je suis Hugh d'Ambray, je déclenche une guerre !

Rire à ce moment-là était vraiment une mauvaise idée. Je devais conserver de l'énergie.

− Une guerre que j'ai essayé d'éviter pendant des années. Des années !

Il ne cessait de le répéter.

− Croit-il que c'est facile de négocier avec des lunatiques violents, qui ne peuvent pas comprendre des concepts simples ?

Valait mieux savoir où on se tenait avec lui.

− Je ne le tolérerai pas. Landon Nez en entendra parler.

Landon Nez était probablement en charge des Maîtres de la Mort. Mon père aimait diviser son pouvoir délégué. Hugh dirigeait les Chiens de Fer, la branche militaire. Quelqu'un devait diriger le Peuple, la branche de recherche. Il s'agissait d'une position ayant beaucoup de roulement. Landon Nez devait être le dernier.

− Troglodyte. Crétin. Dégénéré ! (Les jurons s'échappèrent de Ghastek.) Quand je sortirai d'ici, je lui lancerai chaque vampire à ma disposition jusqu'à ce qu'ils le vident. Puis ils le couperont en morceaux et mettront son corps en feu !

− Tu devras faire la queue.

Il finit par se souvenir de ma présence.

− Quoi ?

− Je te donnerai un morceau de Hugh avec lequel jouer quand j'en aurai fini.

Il ne semblait pas m'avoir entendu.

− Personne ne me fait ça ! Je vais lui arracher le cœur. Sait-il qui je suis ? »

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« La dernière fois que j'ai eu l'occasion de voyager à Milton, c'était parce qu'Andrea s'était offusquée contre une pouffiasse flirtant avec Raphaël, avait dégainé, et l'avait presque noyée dans une cuve thermale. Beau Clayton, le shérif du comté de Milton, (lui) l’en avait personnellement dissuadée et avait enfermé tout le monde jusqu'à ce que j'arrive.

Je composai son numéro.

− Kate. (Une voix profonde teintée de l'accent géorgien répondit.) Une chose marrante est arrivée. Un de mes adjoints a vu ce qu'il a décrit comme étant un « amas de non-morts » se dirigeant dans ta direction. Maintenant je suis curieux. Tu fais une fête ?

− Beau, dis-je. J'ai besoin de ton aide. »

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"Do you ever just get bored at these things and want to punch someone ?"

"Punch any of mine, and I'll break your arm off and beat you to death with it"

"Kate" Ghastek's voice vibrated with a warning. "I don't think you quite grasp the situation."

Hugh grinned. "That's my girl."

Ghastek blinked.

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- OK. Remonte-moi. (Rien) Ascanio ?

C'était quoi encore le problème ? Un papillon l'avait-il distrait ?

La corde remonta à toute vitesse comme sous l'action d'une manivelle. Je filai vers le haut telle une fusée. Que... ?

Ma tête dépassa du rebord de l'immeuble et je me retrouvai nez à nez avec Curran. Et merde.

Il tenait la corde d'une main, les muscles de son bras bien gonflés sous son sweat-shirt. Son visage ne montrait aucun effort. Etre le métamorphe le plus costaud de la ville avait ses avantages. Derrière lui, Ascanio se tenait immobile et jouait les hommes invisibles.

Goguenard, le Seigneur des Bêtes me fit une pichenette sur le nez.

- Bouh.

- Très drôle. Tu veux bien me poser par terre ?

- Que fais-tu dans Unicorn Lane à la nuit tombée ? - J'appréhende un chatpinou. Et toi ?

- Je te cherchais. Je me suis inquiété quand tu n'es pas rentrée dîner. J'ai l'impression d'être arrivé pile poil au bon moment. Une fois de plus.

Il me déposa sur le toit détruit.

- Tout était sous contrôle.

- Bien sûr.

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"Jim avait raison. Il avait conclu un arrangement avec des policiers hauts placés.

— Un brin arrogant, non ?

— C’est ce qui arrive quand tu joues dans la cour des grands.

— Tiens donc.

— C’est vrai. (Il me fit un clin d’œil.) Ne t’éloigne pas et je te montrerai comment on fait.

— Pas besoin. Ma tante m’a déjà fait les honneurs. (La cour des grands ? J’allais t’en faire bouffer. C’était un pari mais si ça marchait, nous aurions assez de temps pour filer d’ici.) À ce propos, Curran a réussi à briser le bouclier d’Erra.

Ses yeux se rétrécirent.

— C’est adorable quand tu essayes de me manipuler. Je trouve ça charmant.

— Rien à voir. Je constate un fait. L’homme avec qui je couche a fait exploser la barrière de sang d’Erra. (J’indiquai la porte.) La mienne tient toujours. (Robert se pencha légèrement en avant pour attirer mon attention. Oui, oui. Je sais ce que je fais.) Je m’attendais à ce que tu la brises depuis le temps. J’avoue que ta technique est vraiment différente. Curran a cogné le bouclier jusqu’à ce qu’il cède. Toi, tu te contentes de lui causer. Éclaire ma lanterne, c’est quoi ta stratégie ? Tu espères que la conversation le saoule suffisamment pour qu’il se suicide ?

Les pupilles de Hugh virèrent à l’orage. Je bâillai.

— Je ne sais pas pour lui, mais moi, j’en ai assez. Je vais aller faire une petite sieste.

— Dernière chance, dit-il d’une voix qui avait perdu toute trace d’amusement. Suis-moi et j’épargnerai ta précieuse Meute. Tous tes animaux domestiques pourront regagner leur lit, sains et saufs, sans avoir à craindre pour leur vie au petit matin. Ou ils peuvent s’éveiller au son du massacre et t’en vouloir lorsque leurs gamins et amants périront.

Je rangeai Slayer dans son fourreau et croisai les bras.

— Le temps de la parlotte est terminé. Allons, Précepteur. L’homme qui partage mon lit a détruit le bouclier de la Dévoreuse de Cités. Le mien, c’est de la gnognotte à côté. Vas-y, Hugh. Montre-moi de quoi tu es capable.

— Tu l’auras voulu.

Je fouillai ma mémoire et en sortis la pire réprimande de Voron. Il nous l’avait dite à tous les deux puisque Hugh me l’avait jetée en pleine face lors de notre dernière rencontre.

— Si tu as trop peur d’essayer, admets que tu as la trouille, Hugh.

Rien n’était pire que de ne pas avoir le courage de tenter quelque chose.

Il prit son couteau et se taillada l’avant-bras avant de planter la lame dans le sol. Frimeur.

Il contracta ses muscles et du sang écarlate perla sur sa peau. Lentement, il se frotta méthodiquement les mains. Son regard noir retint le mien. Oups. Il était furibond.

Je levai un sourcil goguenard.

Il se pencha vers l’avant, les pieds bien ancrés dans le sol, les bras légèrement repliés au coude, les doigts écartés et pointant vers le ciel. Il se raidit comme s’il se préparait à bondir : les muscles de ses jambes gonflèrent, ses biceps tendirent les manches de son pull, ses abdos se contractèrent. Son corps tout entier émit de fines traînées de vapeur bleue ondulantes, comme lorsqu’il avait ramené Doolittle des portes de la mort. Le bouclier m’empêchait de le sentir, mais je me souvenais de l’étendue de son pouvoir.

Peut-être que mon idée n’était pas si brillante que ça.

Sur les marches, Nick s’accroupit. Uath agrippa la rampe. Du coin de l’œil, je vis Robert debout dans le couloir, à la vue de tous.

Les prunelles de Hugh virèrent au bleu électrique. Ses mains émirent une lueur indigo.

— Aujourd’hui, pas demain, lançai-je.

Ses doigts percèrent le bouclier comme des griffes.

La barrière de sang s’illumina d’un rouge vibrant et la magie claqua comme un coup de tonnerre. Hugh fut projeté en arrière et percuta l’escalier menant à l’étage supérieur. L’arrière de son crâne rebondit sur les marches. Il s’affala, inerte.

Ha ! Dans les dents !

Derrière moi, Robert dit d’une voix pince-sans-rire :

— Aïe… "

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Journal de Barabas Gilliam

Je m'appelle Barabas. On m'a appelé ainsi parce que ma mère était ambitieuse. Ça pourrait être pire. Un de mes cousins s'appelle Lucifer. Une fois, j'ai demandé pourquoi à ma tante et elle m'a répondu :

− Parce que je voulais qu'il soit beau et qu'il se forge ses propres opinions.

Les boudas, ou hyènes-garous, comme tout le monde nous percevait, ont une perspective intéressante du monde. Techniquement, je ne suis pas un bouda. Je suis une mangouste-garou, mais ma mère est une bouda et j'ai grandi parmi eux.

Au moment d'écrire ces lignes, j'ai vingt-neuf ans. J'ai un diplôme de droit de l'Université de Virginie et à l'heure actuelle, je vis à Atlanta. Je suis employé comme avocat de la Meute, ce qui veut dire que je suis un membre du plus grand regroupement de Changeformes du continent nord-américain. Je travaille aussi pour la Consort de la Meute en tant que conseiller spécial. La Consort m'appelle nounou à l'occasion, et je trouve ce terme tout à fait exact. Je lui mettrais une de ces laisses hideuses pour enfant si je pouvais, sauf que je suis quasi certain qu'elle me tranchera le bras.

Je me retrouve dans un épisode étrange en cet instant. Quelque chose de capital a lieu devant moi, quelque chose, qui je suspecte, modifiera radicalement l'avenir de, non seulement la Meute ou ma génération, mais les générations à venir. Je suis aux premières loges. Je suis au milieu de tout ça. Pourtant, personne autour de moi ne semble réaliser que dans quelques années, nos descendants reviendront sur ce moment et se demanderont comment cela est arrivé. Quelqu'un doit le documenter. Après tout, l'histoire est écrite par et pour des survivants, et tout de suite, je ne sais pas qui seront ces survivants. Comprenez-moi bien, je ne prévois pas de faire demi-tour et de disparaître dans la nuit. Je me déchaînerai avec les meilleurs, comme dans les conseils des poèmes de Dylan Thomas. Mais si par hasard nous ne l'emportions pas, il devait y avoir une trace de la bataille que nous avons durement menée. Il me semble que je serai celui qui consignera, puisque personne n'en a le courage. C'est drôle de voir que c'est toujours comme ça.

Alors je suppose que je vais commencer par le commencement. Le monde a souffert d'une apocalypse magique. Comme prévu, tout était de notre faute.

Dans les anciens temps, la technologie et la magie existait en parfaite harmonie, mais est arrivée la race humaine. Ils ont construit une civilisation basée sur la magie. Des créatures terrifiantes et charmantes parcouraient la terre. Des sorciers possédant des pouvoirs divins bâtissaient des cités entières la nuit et faisaient pleuvoir des serpents ailés et du métal fondu sur leurs ennemis. (En passant, cette ère avait dû être un cauchemar. Concentrer autant de pouvoir dans les mains de simples êtres humains ? Ça pouvait mal tourner ou menait à d'horribles atrocités. Lisez la Bible.) L'équilibre entre la magie et la technologie a fini par devenir si perturbée que la magie a reculé. Les villes forgées par la magie se sont effondrées, leurs merveilles se transformant en poussière, et leurs bêtes devenant des mythes.

Cinq cents ans plus tard. Début du XXIe siècle et nous avons créé une civilisation basée sur la technologie. Une fois encore, nous avons bouleversons l'équilibre et la magie a fait son retour pour se venger en nous frappant. Elle inonde la planète en vagues. Un instant, la technologie dirige, les moteurs à combustion interne fonctionnent, les armes s'enflamment, et l'électricité éloigne les monstres. L'instant d'après, une vague magique invisible noie la région, étouffant les armes et engendrant des créatures aux dents effrayantes et aux appétits robustes. Puis, sans prévenir, la magie décline et les mages du SWAT s'arrêtent de cracher du feu et reviennent aux fusils.

Cette apocalypse s'appelle le changement. Le changement a détruit la civilisation technologique. Le voyage en avion n'est plus possible, parce que les avions tombent du ciel quand la magie frappe. L'Internet est mort, parce que la moitié du temps nous n'avons pas d'électricité et la magie réduit les pièces d'ordinateur en poussière. Les téléphones portables ne fonctionnent pas, à moins que vous ne faites partie de l'armée et que vous ayez un bon accès. Les tours et les gratte-ciel sont tombés, rongés jusqu'au cœur par les dents de la magie, mais la vie continue et les gens survivent. Et dans l'Atlanta après-changement, de nouvelles factions et de nouveaux pouvoirs sont entrés en jeu.

D'abord, il y a la Meute. Comme je l'ai indiqué, je suis un Changeforme et je travaille pour la Meute, donc je vois l'intérêt d'expliquer exactement qui nous sommes et ce que nous faisons. La Meute est le deuxième groupe de Changeformes le plus grand du pays et possède plus de quinze cents membres. Il est divisé en sept clans, selon les espèces de leur bête, donc boudas, loups, etc. Chaque clan est mené par deux alphas. Ensemble, les alphas constituent le conseil de la Meute. Mais comme Disney nous l'a appris, il doit y avoir un roi, et notre roi est connu sous le nom de Seigneur des Bêtes, parce qu'en tant qu'Américains au sang chaud, nous avons un problème avec la monarchie. Il s'appelle Curran Lennart. Curran a pris la tête de la Meute quand il avait quinze ans en battant un ours-garou fou que personne ne pouvait toucher. Il nous a unifiés. Il a persuadé les alphas d'acheter collectivement une terre et il a construit la forteresse, notre forteresse, nous offrant un lieu sûr pour rester nous-mêmes. Il a imposé des règles et des lois et nous a appris que l'abus ne sera pas toléré. Grâce à lui, nous vivons ensemble dans une prospérité relative. Quand Curran dit sautez, nous sautons si fort que le sol tremble. Ce qui ne veut pas dire qu'il n'était pas tout le temps un connard, mais tout bien considéré, ces moments étaient excusables. C'est aussi un enfoiré vraiment effrayant qui adore le style « c'est ça ou rien » pour gouverner. On en reparlera plus tard.

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« La mer de vampires s'écarta et Ghastek sortit, grand, mince, portant une veste blanche de style militaire et un pantalon blanc, morcelé stratégiquement par de petites taches marron irrégulières. Des bottes blanches et un casque du même modèle complétaient la tenue. Apparemment, il prévoyait de s'enfouir dans la neige et de faire feu sur nous depuis sa cache. Une femme le suivit. Elle portait un uniforme identique et le casque cachait ses cheveux, mais j'aurais reconnu Rowena n'importe où. Elle avait une dette envers les sorcières et elle m'avait secrètement fourni du sang de vampire. Elle ne savait pas ce que j'en faisais, mais si jamais elle le découvrait, son casque volerait parce que ses cheveux se dresseraient sur sa tête.

− Mais qu'est-ce qu'ils portent ? murmura Jim à côté de moi.

− Ils jouent aux soldats. Cela leur a sûrement coûté un bras et une jambe.

− Ça pourrait encore leur en coûter, proposa Jim. »

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« Je me retournai vers la cour et fis signe à Roman et à la sorcière à ses côtés.

− C'est sa sœur ? me demanda Andrea.

− Non. (J'avais parlé avec eux.) Je lui ai posé la question. Elle s'appelle Alina, ce n'est pas sa sœur, et elle se sent profondément désolée pour ses sœurs à lui, parce que si elle doit endurer sa présence pendant plus d'une journée, elle se jettera du pont le plus proche afin de mettre fin à cette agonie.

− Eh bien, dit Andrea. Contente qu'elle ait éclairci ce point.

Le volhv se retourna et cria :

− Que le spectacle commence !

Alina soupira à côté de lui.

− De quoi te réjouis-tu ? On va se faire tuer.

Les deux se dirigèrent vers les portes.

− C'est excitant, s'exclama Roman. Regarde tous ces Changeformes et ces vampires. C'est un moment historique et la Meute nous devra une faveur.

− Comment se fait-il que tu n'aies aucun bon sens ? Ils étaient en pénurie quand tu es né ?

Roman indiqua son visage.

− Je n'ai pas besoin de bon sens. Je possède une double dose de charme.

− Tu veux dire une double dose de conneries … »

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