Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 937
Membres
1 014 354

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Un tocard averti en vaut deux :

on ne peut pas s'échapper par la Boîte.

Afficher en entier

Cette histoire est complètement dingue. Comment on a pu se retrouver là ? Il y a quelqu'un qui nous a envoyés. Quelqu'un de malintentionné.

Afficher en entier

Chuck, je crois que... je suis déjà venu ici.

Afficher en entier

Sa nouvelle vie commença dans le noir complet. Il faisait froid et, et l'endroit sentait la poussière et le renfermé.

Afficher en entier

Le gnouf était caché dans un coin sombre entre la ferme et le mur nord, derrière des buissons de ronces qu'on n'avait pas dû tailler depuis des années. Simple cube de béton rudimentaire, avec une fenêtre à barreaux et une porte en bois à la serrure rouillée, il semblait dater du Moyen-Âge.

Après avoir ouvert la porte, Newt fit signe à Thomas d'entrer.

- Il n'y a qu'une chaise là-dedans. Tu vas bien t'amuser.

Thomas pénétra à l'intérieur.

- Bonne journée, lui souhaita Newt avant de refermer la porte.

Afficher en entier
Extrait ajouté par moorgane 2014-12-10T11:09:41+01:00

Thomas éprouva soudain une bouffée de mélancolie: il ne reverrait peut-ère plus jamais Chuck, Teresa et les autres. Son cœur se serra.

-N'oublie pas ma promesse! dit-il. Je te ramènerai chez toi!

Chuck leva les deux pouces, les larmes aux yeux.

Thomas leva les pouces à son tour; après quoi, Minho et lui endossèrent leurs sacs et pénétrèrent dans le Labyrinthe.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Tris_B 2014-10-23T19:16:06+02:00

Tu sais,au fond je n'ai pas peur.Les dernières nuits qu'on a passées dans la ferme,à attendre qu'un griffeur s'amène et emporte l'un de nous,c'etait vraiment l'horreur.Alors que là,on essaie de s'en sortir.Et au moins...

P-353

Afficher en entier
Extrait ajouté par anonyme 2014-09-09T17:49:37+02:00

Sa nouvelle vie commença dans le noir complet. Il faisait froid, et l’endroit sentait la poussière et le renfermé. Il entendit un grincement métallique. Le sol oscilla. Déséquilibré, il tomba puis recula à quatre pattes, la sueur au front malgré la fraîcheur environnante. Ses pieds heurtèrent une paroi de fer qu’il longea jusqu’à un coin. Il s’assit et ramena ses genoux contre lui en espérant que ses yeux s’habitueraient bientôt à l’obscurité. Tout à coup, le sol s’ébranla et se mit à monter, comme un vieil élévateur dans un puits de mine. Un fracas de chaînes et de poulies retentit, résonna contre les murs. L’ascenseur obscur se balançait, et le jeune homme fut pris de nausée ; l’odeur d’huile chaude n’arrangeait rien. Il aurait voulu pleurer mais il avait les yeux secs ; il ne put que rester là, dans le noir, à patienter. « Je m’appelle Thomas », se dit-il. Ce… c’était la seule chose qu’il se rappelait. Comment était-ce possible ? Son cerveau semblait fonc- tionner, prendre la mesure de la situation. Tout se bouscu- lait dans sa tête : images, souvenirs, détails sur le monde et la manière dont il tournait. Il revit de la neige sur les arbres, une rue jonchée de feuilles mortes, un hamburger qu’il était en train de manger, la lumière pâle de la lune baignant une c lairière, un lac dans lequel il nageait, une grande place bruyante avec des centaines de personnes.

8

Et pourtant il n’aurait pas su dire d’où il venait, ni comment il s’était retrouvé dans cet ascenseur, ni qui étaient ses parents. Il ne se souvenait même pas de son nom de famille. La cabine continua à monter en se balançant pendant un long moment ; Thomas commençait à s’habituer au fracas incessant des chaînes. Les minutes passaient lentement. Chaque seconde lui semblait une éternité. Mais en se fiant à son instinct, il calcula qu’il montait depuis une demi-heure environ. Curieusement, son appréhension laissa place à une vive curiosité. Il était impatient d’apprendre où il était et ce qui lui arrivait.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Alyer 2024-02-28T11:13:58+01:00

La voix d’Alby leur cria du fond du trou qu’on pouvait les remonter, et Gally et les autres se mirent à tirer sur les cordes. Quelques grognements plus tard, le corps inerte de la fille émergeait au grand jour. Ils l’allongèrent sur le sol. Aussitôt, tout le monde se pressa autour d’elle. Seul Thomas resta en retrait. Le silence sépulcral lui donnait le frisson, comme s’ils venaient de rouvrir une tombe récente.

Néanmoins, il avait eu le temps d’apercevoir la fille. Elle était mince, mesurait à peine un mètre soixante-dix. Âgée de quinze ou seize ans, elle avait des cheveux d’un noir de jais. Mais ce qui frappait surtout chez elle, c’était son teint très pâle, d’une blancheur laiteuse.

Afficher en entier

If you're going to decipher a hidden code from a complex set of different mazes, I'm pretty sure you need a girl's brain running the show.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode