Extraits

Après notre enlèvement,on nous a envoyés plusieurs annés dans des écoles speciales,où nous avons eu une vie plus ou moins normale,jusqu'a ce qu'ils soient en mesure de financer et de construire le Labyrinthe.Ils nous ont donné des surnoms stupides— Alby pour Albert Einstein,Newt pour Isaac Newton,ou moi,Thomas pour Edison

-Chuck tu as de la chance que je n'aie pas l'arc d'Alby sous la main.

-Eh je voulais juste...

-La ferme, Chuck! Essaie de dormir.

- Qu'est-ce qu'il y a, Newt ? demanda Thomas en évitant de regarder Alby en face. Qu'est-ce qu'il s'est passer ?

Alby l'empoigna par son tee-shirt.

- Ce qu'il s'est passer ? Je vais te le dire ce qui s'est passer tocard. Tu était trop occupé a faire tes yeux de biche pour regarder autour de toi. Pour prendre la peine de remarquer quelle heure il était !

Thomas consulta sa montre et compris avec horreur ce qu'Alby était sur le point de lui dire.

- Les mur, tocard. Les portes. Elles ne se sont pas refermées ce soir.

- Qu'est-ce qu'on a fait de lieu que les autres ?

- Je sais pas. C'est difficile de demander à un mort où il s'est planté.

On ne devrait jamais s’en vouloir de pleurer. Jamais.

- Ça craint.

- Tu n'as jamais rien dit de plus vrai mon pote.

Thomas regarda Ably ouvrir le collier puis le fixer au cou de Ben. Ce dernier leva enfin les yeux quand le fermoir claqua avec un bruit sec . Des larmes brillaient dans les yeux.Les blocards l'observaient sans un mot.

« À seize ans à peine, il était déjà velu comme un singe, avec une vraie barbe et des poils drus qui s’échappaient de ses vêtements maculés de nourriture. Ça ne semblait pas le gars le plus propre du monde pour s’occuper d’une cuisine. Thomas se promit de guetter la présence de poils noirs dans son assiette. »

- Vous ne risquer plus rien ici, déclara la femme comme si elle n'avait rien entendus. Vous pouvais vous détendre maintenant.

- Nous détendre ? aboya Minho. Vous êtes qui, pour nous dire de nous détendre? On veut voir la police, le maire, le président... quelqu'un !

les lumières s'allumaient partout dans la ferme. les blocards couraient dans tous les sens, en parlant tous à la fois.Deux garçon pleurnichaient dans leur coin. La confusion régnait. Thomas n'y prêta aucune attention.

Il dévala l'escalier quatre à quatre, se fraya un chemin à travers la foule rassemblée dans l’entrée, jaillit hors de la ferme et piqua un sprint en direction de la porte ouest. au seuil du Labyrinthe il ralenti sa course. Son instinct lui interdisait de s'y engouffrer à la légère; Nwet l'appela, ce qui retarda sa décision.

- Minho les a suivis ! cria Thomas quand Newt le rejoignit, une serviette posée sur sa plaie à la tête.

- Je suis au courant, répondit Newt, ( Il regarda sa serviette, sur laquelle une tache de sang s'élargissait déjà; il la& remit en place avec une grimace.) Minho a sûrement pété les plombs, et je ne te parle pas de Gally; lui, j'ai toujours su qu'il était dingue.

Thomas ne s'inquiétait que pour Minho.

-je vais le chercher.

-Tu vas encore jouer les héro?

Thomas, vexé, lui lança un regard noir.

-Tu crois que je fais ça pour vous impressionner, toi et les tocards? Arrête. Tous ce qui m’intéresse, c'est de me tirer d'ici.