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"Moi, Sookie Stackhouse, j'ai un faible pour les vampires. Et à la Nouvelle-Orléans, ce n'est pas ça qui manque! D'ailleurs, un soir, un gentleman amateur d'hémoglobine, Bill Compton, a débarqué dans le bar où je travaille, "Chez Merlotte". Comme j'ai la faculté de lire dans les pensées, j'ai vite compris qu'il avait de gros ennuis..."

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Il était accroupi près de moi dans le noir, et je ne pouvais pas voir son visage. Je tenais ma lampe serrée dans le poing. Toutes mes forces m'ont soudain abandonnée.

Je sentais sa colère.

Sa cruauté.

Sa faim impérieuse.

Il n'avait jamais autant été aussi totalement vampire. Il n'y avait plus rien d'humain en lui.

Il a levé le visage au ciel et s'est mis à hurler.

La rage qui déferlait en vagues de son corps était telle que je pensais qu'il allait tuer quelqu'un. Et moi, j'étais la première à sa portée.

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Je n'avais pas pensé que René Lenier passerait chez Sam pour raconter mes mésaventures de la veille, et en arrivant cet après-midi-là au bar, je mis tout d'abord l'agitation qui y régnait sur le compte de l'assassinat de Maudette Pickens.

Puis Sam me poussa dans la remise, rouge de colère, et me secoua brutalement par les épaules.

Il se mit à grommeler, d'une voix si forte que je me bouchai les oreilles. Jamais je ne l'avais vu s'énerver de la sorte.

- Si un client est menacé, c'est à moi de m'en occuper, pas à toi ! dit-il pour la troisième fois. Compris ?

Je hochai la tête, trop secouée - dans tous les sens du terme - pour articuler une phrase audible. Pour la première fois, je prenais conscience qu'il ne m'était jamais venu à l'esprit de demander l'aide de Sam - ni de qui que ce soit, d'ailleurs.

- Je ne veux pas que ce genre de chose se reproduise chez moi, OK ? poursuivit Sam.

- Tu vas me mettre à la porte ? demandai-je, effrayée par l'expression de fureur qui déformait ses traits.

Son teint naturellement coloré avait viré au rouge brique, et ses yeux bleus lançaient des éclairs.

- Mais pas du tout ! hurla-t-il en rougissant de plus belle. Je ne veux pas me séparer de toi !

J'ôtai les mains de mes oreilles, incrédule. Sam avait eu peur pour moi ? Moi qui le croyais fâché contre moi ! Puis je sentis une larme rouler sur ma joue, suivie d'une autre.

De nouveau, il referma ses mains sur mes épaules pour me secouer. Cette fois-ci, c'en fut trop pour moi. Le contact physique exacerbait mes perceptions et me connectait presque automatiquement aux pensées de l'autre, a plus forte raison si je me trouvais dans un état émotionnel intense. Sans réfléchir, je me concentrai sur l'esprit de Sam... et tressaillis sous le choc.

Alors, me libérant de son emprise, je pivotai sur mes talons et me ruai hors de la remise.

D'abord, Sam me désirait éperdument.

Ensuite, je ne pouvais pas capter ses pensées clairement, car il ne pensait pas comme les autres êtres humains.

Je m'arrêtai et m'appuyai contre un mur, prise de vertige. A quoi rimait cette histoire ? Qu'étais-je censée déduire de tout cela ?

Je n'avais jamais considéré Sam comme un homme séduisant, et ceci pour plusieurs raisons. En premier lieu, je n'avais jamais trouvé aucun homme séduisant, non parce que je suis insensible au charme masculin, mais parce qu'il est très difficile de vivre une relation amoureuse avec quelqu'un dont on connaît toutes les pensées. Avez-vous seulement une idée des dégâts que peut provoquer le fait de savoir ce que votre partenaire pense de vous ? « Plutôt jolie, mais quel fessier ! Elle aurait bien besoin d'un régime ! Et ce grain de beauté, elle ne pourrait pas le faire enlever ? Tiens ? En plus, elle a une dent plombée ! » Un peu tue-l'amour, non ?

La seconde raison était que Sam était mon patron et que je ne tenais pas a perdre mon boulot, lequel me permettait de gagner ma vie et m'obligeait à sortir de la maison pour voir du monde. La plus grande crainte de Granny était que je finisse par vivre en recluse, coupée de la société, à cause de mon « infirmité ».

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D'habitude, dit Pam d'une voix un peu rauque, c'est nous qui buvons le sang humain. pas l'inverse.

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- Le seigneur a bâti un mur entre ces créatures et nous, et Il ne permettrait pas qu'on le fasse tomber. Qu'on laisse ces morts là où ils sont, voilà mon avis !

- Le problème, voyez-vous, c'est qu'Il m'a créée à cheval sur ce mur.

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 Je suis en vacances, expliqua le jeune vampire. Il y a si longtemps que je rêvais de venir dans la région ! Pour les gens comme nous, c’est un vrai pèlerinage, vous comprenez ? On peut louer des cercueils ou s’installer chez un résident. C’est ce que j’ai fait, ajouta-t-il en désignant Bill du menton. Je hochai la tête en m’efforçant de paraître naturelle

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Ce n’est qu’à partir de cette époque que j’ouvris les yeux sur ce qui se passait autour de moi. Les habitants de la région commençaient à en avoir assez de Diane, Liam et Malcolm, qui s’étaient installés à Monroe. Les trois vampires semblaient n’avoir qu’un but : décourager leurs congénères qui, à l’instar de Bill, tentaient de s’intégrer pacifiquement à la population locale. Ils hantaient les bars, le verbe haut et l’humeur chatouilleuse, toujours prêts à chercher querelle

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Ce n'était pas tout à fait exact. En réalité, j'était déjà sous son charme. Je l'étais depuis le soir où j'avais posé les yeux sur lui pour la première fois. Il me regard

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Parmi les humains plus ou moins déguisés, fascinants et pathétiques se trouvaient d'authentiques vampires. Ceux-ci, contrairement aux faux n'avaient rien à faire pour paraître inquiétants : leur teint spectral et leur regard fiévreux en disaient assez

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Le soir où le vampire a poussé la porte de Chez Merlotte, le bar où je travaillais, j'ai tout de suite su que c'était lui.

Depuis que ses congénères avaient commencé leur coming out, quelques années auparavant, j'espérais que l'un d'entre eux aurait la bonne idée de faire un tour chez nous, à Bon Temps. Dans ce coin perdu, on avait déjà des représentants de toutes les minorités, ou presque. Il ne manquait plus que la dernière à avoir été officiellement reconnue : les morts vivants.

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