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dans un demi sommeil, je le vis ouvrir la fenetre. puis le vampire que j'aimais bondit avec légèreté sur le rebort, avant de s'envoler dans la nuit.
Afficher en entierTu n'as pas peur ? demanda Charlsie. Bill Compton est... enfin, il est atteint de ce virus, tu sais.
Afficher en entierMon vampire avait des lèvres au modelé sensuel, des sourcils fièrement arqués et un nez de prince byzantin. Quand il a levé les yeux vers moi, j'ai vu qu'ils étaient d'un noir de velours, en accord parfait avec la nuance de ses cheveux. Il était encore plus beau que dans mes rêves.
Afficher en entierLe problème, c'est que je ne sortais pas beaucoup. Attendez ! N'allez pas en déduire que j'étais un laideron. Avec mes vingt-cinq ans, mes cheveux blonds et mes yeux bleus, mes jambes longues, ma taille fine et ma poitrine généreuse, je n'avais pas le droit de me plaindre. D'autant que l'uniforme que Sam avait choisi pour ses serveuses – short noir, chemisier blanc et tennis noires – mettait plutôt ma silhouette en valeur.
Afficher en entier« Le soir où le vampire a poussé la porte de Chez Merlotte, le bar où je travaillais, j’ai tout de suite su que c’était lui .»
Afficher en entierMais, loin d'obéir, Jerry resserra ses doigts . Un petit cri étranglé sortit de mes lèvres. Déjà, ma vue se troublait
Afficher en entier— Personne ne peut le retenir ?
— Pam, peut-être... C’est lui qui a fait d’elle une vampire, il y a des siècles. Ils sont très attachés l’un à l’autre.
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J'étais sur la véranda lorsque Bill arriva. Ce fut une entrée typiquement "vampire", avec nuage noir, sifflements dans l'air et apparition subite de l'intéressé au pied des marches de la véranda. Il ne manquait que le roulement de tambour.
Afficher en entierAprès le départ de Bill et Harlen, la tension monta parmi la clientèle. Un seul sujet retenait l’attention de tous : l’expédition punitive prévue contre les trois vampires de Monroe. Cependant, en dépit de mes tentatives, je ne parvenais toujours pas à identifier la personne qui était à l’origine du complot qui se tramait
Afficher en entierJe reprimai un soupir.granny etait intarisable,bill,d'uneaffabilité parfaite...et moi, soulagée de ne pas avoir a faire la conversation.Les mondenités n'avaient jamais été mon fort . finalement, granny et bill convinrent d'une date pour que bill anime une petite causerie nosturne à l'intention du cerle des héritier des glorieux défunts. Faut-il le préciser? gran etait aux anges.
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