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je savais, aussi surement que je m'appelais sookie stackouse, que des le lendemain, il me ferait livrer un autre manteau dans une grande boite luxueuse

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Il m’a lancé un regard de bête traquée et a continué à courir. Mais j’avais eu le temps de le reconnaître. J’ai bondi hors de la voiture et je lui ai couru après en criant : — Éric ! Éric, c’est moi 

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- Vous avez besoin d'aide?

Il m'a lancé un regard de bête traquée et a continué à courir.

Mais j'avais eu le temps de le reconnaître. J'ai bondi hors de la voiture et je lui ai couru après en criant:

- Eric! Eric, c'est moi!

Il s'est brusquement retourné, en sifflant comme un serpent, toutes canines dehors.

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« J’ai trouvé le petit mot scotché sur ma porte en rentrant du boulot. »

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Je commençais tout juste à m’endormir quand je l’ai entendu rentrer.

— Mission accomplie, a-t-il murmuré à mon oreille.

— Merci, bébé, ai-je vaguement bredouillé.

— Je ferais n’importe quoi pour toi, m’a-t-il répondu d’une voix caressante. Bonne nuit, ma belle amante.

J’allais sombrer dans le sommeil lorsqu’une drôle d’idée m’a traversé l’esprit. J’étais vraiment dangereuse pour les ex : j’avais liquidé Loréna, la créatrice de Bill et son grand amour, puis la fiancée répudiée d'Alcide. Je me suis demandé si Éric avait d’anciennes petites amies dans les parages. Il devait en avoir eu des centaines.

Eh bien, elles avaient intérêt à se méfier...

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OK, refourguer un "mot du jour" à Bubba, ce n'était peut-être pas une très bonne idée. Un moment d'égarement, mettons.

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J'avais conscience d'être a deux doigts de lâcher prise, de débrancher le moteur en pleine explosion qui me tenait lieu de cerveau et de laisser mon corps prendre les commandes... Je sentais une certaine partie du corps d'Eric qui se pressait contre moi - et pourtant il ne se tenait pas si près de moi... Argh. Youpi. Miam.

- Est-ce que parce que tu as peur de moi que tu trembles ? m'a-t-il demandé tout en lavant les cheveux.

J'ai réfléchi à la question. Oui et non. Mais je n'avais pas l'intention d'entamer une discussion sur le sujet. Oui, je sais, le moment n’aurait pu être mieux choisi pour avoir, avec Eric, une conversation sérieuse sur les rapports sexuels basés uniquement sur le désir physique et les dilemmes moraux qu’ils entrainent. Et peut-être n’y aurait-il pas d’autres occasions de fixer, une fois pour toutes, les règles du jeu entre nous, notamment en ce qui concernait les précautions avec lesquelles il fallait me traiter. Non pas qu’Eric soit une brute épaisse, ma sa… « virilité » (comme on dit dans les romans sentimentaux – dans ce cas précis, les adjectifs « palpitante » et « turgescente » s’imposaient) avait de quoi intimider une femme aussi peu expérimentée que moi. J’avais l’impression d’être une voiture qui n’a connu qu’un seul conducteur, et que son nouveau propriétaire voudrait emmener au Daytona 500.

Oh ! Et puis, zut ! Fini de réfléchir !

A mon tour, je me suis savonné les mains. Puis je me suis approché de lui, repliant plus ou moins Monsieur l’Impatient contre le ventre de son propriétaire, pour atteindre ce fessier hors concours dont j’avais eu un si bref et si bouleversant aperçu. Je ne pouvais pas voir ses yeux, mais il m’a fais comprendre qu’il était ravi de me voir répondre à ses avances. Il a docilement écarté les jambes et je l’ai savonné, soigneusement, très méticuleusement. Pour son plus grand plaisir, à en croire les petits cris inarticulés qui lui échappaient et l’imperceptible mouvement de balancier qui agitait ses riens. Encouragée par ces résultats, je me suis attaquée à la face nord et suis partie d’emblée à la conquête des mamelons jumeaux dont les cimes roses avaient tant attiré mes lèvres, tout à l’heure. Cette initiative a semblé ravir Eric, qui ma enserré la nuque à deux mains.

- Mords-moi, a-t-il murmuré. Juste un peu.

Il ne m’a repoussé que pour mieux me rendre la pareille. Pendant que sa bouche se refermait sur mon sein, sa main s’est immiscée entre mes cuisses. J’ai laissé échapper un profond soupir, en accompagnant instinctivement le mouvement de sa main. Il avait de très longs doigts…

Quand j’ai repris mes esprits, l’eau avait cessé de couler et Eric m’essuyait avec une serviette. Je lui ai retourné la politesse. Puis nous nous somme embrassés, encore et encore.

- Le lit, a-t-il soufflé d’une voix rauque.

J’ai hoché la tête, trop haletante pour parler. Il m’a prise dans ces bras pour retourner dans la chambre. Il y a eu un léger cafouillage lorsque j’ai essayé de tirer les couvertures, alors que trop pressé, Eric voulait juste m’allonger sur le couvre-lit. Mais j’ai fini par l’emporter – il faisait tout simplement trop froid pour ne pas glisser sous les draps. A peine couchés, nous avons repris les où nous les avions laissées, mais à un rythme légèrement accéléré.

J’avais le corps en feu. Il m’électrisait tellement que je m’étonnais de ne pas voir ma peau crépiter sous ses doigts. J’ai refermé ma main sur lui et j’ai commencé à le caresser. Il s’est alors brusquement dressé au-dessus de moi. Je l’ai guidé doucement, profitant du mouvement pour effleurer le bourgeon de mon désir avec le sien.

- Ma belle amante, a-t-il haleté d’une voix enrouée.

Et il nous a unis d’un puissant coup de reins. Je m’étais crue on ne peut plus prête – je mourais de désir pour lui-, mais j’ai hurlé sous la violence du choc.

- Ne ferme pas les yeux, a-t-il chuchoté. Regarde-moi, ma belle amante.

Il avait une façon de me dire « amante » qui changeait le mot en une caresse, comme s’il m’appelait par un nom secret, intime, qui n’appartenait qu’à nous, un nom qu’aucun autre homme n’avait utilisé avant lui et qu’aucun autre homme ne prononcerait après lui. Ses canines étaient complètement sorties, et je me suis cambrée pour le lécher. Je pensais qu’il allait me mordre dans le cou, comme Bill le faisait presque systématiquement.

- Regarde-moi, a-t-il répété à mon oreille, en se retirant brutalement.

J’ai poussé un cri et j’ai essayé de le retenir. Mais il a recommencé à promener ses lèvres sur mon corps, faisant en chemin des pauses stratégiques, et quand il est arrivé au bout du trajet je vacillais déjà au sommet de la vague. Sa bouche était experte, et ses doigts ont pris la place de son pénis. Puis, tout à coup, il a relevé la tête pour s’assurer que je le regardais- il n’a pas été déçu – et il a posé sa bouche à l’intérieur de ma cuisse, léchant, embrassant, aspirant. Ses doigts s’activaient de plus en plus vite, et soudain sans crier gare, il m’a mordue.

Ai-je laissé échapper un cri, un juron, un serment ? Je suis sûre que j’ai réagi, mais j’avais déjà basculé, emportée par la plus puissante lame de plaisir que j’aie jamais ressentie. Et, à la seconde où j’ai repris contact avec la réalité, grisée et éblouie, Eric a recommencé à m’embrasser, avec le goût de mon corps sur les lèvres. Puis il m’a de nouveau pénétré, et la terre s’est remise à trembler, la lave à bouillonner. Pour lui, l’éruption s’est produite alors que j’en étais déjà aux répliques. Il a hurlé quelque chose dans une langue inconnue et il s’est abattu sur moi. L’instant d’après, il relevait la tête, et je plongeais dans l’azur limpide de son regard.

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— Vu le piteux état dans lequel je viens de trouver ton manteau, je te recommande vivement de porter cette veste, même si elle est un peu trop légère pour la saison, m’a-t-il conseillé, en me présentant la veste en question pour que je puisse l’enfiler.

Voilà ce qu’Éric était allé faire : il était allé examiner mon manteau. Il l’avait trouvé sur la corde à linge, dans la véranda. Je l’avais laissé tremper dans l’eau froide avant de le laver. Mais je n’avais pas pris le temps de m’assurer que toutes les taches étaient parties avant de l’étendre.

— En fait, je le jetterais, à ta place, a-t-il poursuivi en se dirigeant vers la porte. Ou, mieux, je le brûlerais.

Et sur ces bonnes paroles, il est sorti, en refermant la porte tout doucement derrière lui.

Je savais, aussi sûrement que je m’appelais Sookie Stackhouse, que dès le lendemain, il me ferait livrer un autre manteau dans une grande boîte luxueuse. Il serait exactement à ma taille, griffé et bien chaud.

C’était un manteau carmin, avec une capuche et une doublure en fourrure amovibles, et des boutons en écaille de tortue.

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Le problème, quand on commence à découvrir toutes les créatures qui cohabitent avec nous sur cette terre, c'est qu'il devient facile d'imaginer n'importe quoi. Il ne me paraissait pas impossible qu'il y ait des êtres capables de faire une seule bouchée d'un homme ou de le dévorer en quelques coups de dents.

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Éric a semblé stupéfié par ma réaction et m’a regardée d’un air inquiet. — Tu es bien la dernière personne que je m’attendais à trouver ici, à une heure pareille ! ai-je dit pour me justifier. Tu venais voir Bill ? Désolée de te décevoir, mais il est parti. — Bill ? — Le seul vampire qui habite ici. Mon ex. Il a secoué la tête avec, une fois de plus, cette expression de terreur absolue sur le visage

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