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Avec qui était tu avant de te faire tirer dessus ?

- Je venais de voir Calvin Norris à l'hôpital.

Ça n'a pas eu l'air de lui plaire.

-Tu avais donc son odeur.

-Eh bien, je l'ai embrassé avant de partir, alors oui, peut-être.

Il m'a dévisagée d'un oeil réprobateur.

-Est-ce que Léonard Herveaux est venu ici?

-Il est passé à la maison.

-Tu l'as embrassé aussi?

-Je ne sais plus. Quelle importance ?

-Ça pourrait en avoir pour quelqu'un qui traque les changelings et les lycanthropes pour leurs tiré dessus. Et tu embrasses beaucoup trop de gens, décidément.

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Tu peux venir chez moi, Sookie. Tu seras libre comme l'air. J'ai deux chambres qui ne servent à rien dans mon mobile home. Il y a même un vrai lit dans celle du fond.

-C'est vraiment sympa, Sam, lui ai je répondu. Tout Bon Temps attendrait notre faire-part de mariage dans les deux mois, si 'jacceptais, mais j'apprécie le geste.

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Tu t’es fait tirer dessus, m’a annoncé mon frère. Tu t’es fait tirer dessus alors que j’étais Chez Merlotte, à t’attendre.

— On dirait que... tu es content, ai-je ânonné, la bouche pâteuse.

J’avais les lèvres étrangement engourdies, comme après l’anesthésie, chez le dentiste. C’est alors que j’ai compris : j’étais à l’hôpital.

— On peut pas me faire porter le chapeau ! J’étais avec des gens tout le temps ! Hoyt était avec moi, dans mon pick-up, du boulot jusqu’au bar ! Sa bagnole est en réparation. J’ai un alibi en béton !

— Oh, génial ! Ravie d’avoir failli me faire descendre, alors. Si ça peut te rendre service...

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Forcément, elles n’avaient pas eu l’honneur et l’avantage de bénéficier de la brillante conversation de Claude et n’avaient donc pas eu le privilège d’apprécier son charmant caractère, caractère dont il s’est empressé de me donner un petit aperçu en m’accueillant avec un « Eh bien, vous y avez mis le temps ! » quand je suis revenue à la voiture.

— Oui, Monsieur Premier Prix d’Amabilité, ai-je rétorqué, mordante. Mais je ferai de mon mieux pour aller plus vite, la prochaine fois. On se demande pourquoi je lambine à ce point, avec une épaule en vrac, n’est-ce pas ? Toutes mes excuses.

Du coin de l’œil, j’ai vu mon voisin s’empourprer.

— Désolé, a-t-il maugréé. J’ai peut-être été un peu brusque. On me trouve parfois bourru.

— Non ! Vraiment ?

— Oui, a-t-il insisté, avant de se rendre compte que je plaisantais.

Il m’a lancé ce que j’aurais appelé un «sale regard », si ses yeux n’avaient été à tomber.

— Écoutez, j’ai un service à vous demander, a-t-il repris.

— Tel que vous êtes parti, là, vous avez de bonnes chances de l’obtenir : vous avez si bien su m’attendrir...

— Vous voulez bien arrêter ça ? Je sais que je... je...

— «... ne suis pas poli ? Courtois ? Galant ? Que je n’ai pas le moindre savoir-vivre ? Que je m’y prends comme un manche ? »

— Sookie ! s’est-il exclamé. Taisez-vous !

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J’ai accroché à mes lèvres un sourire deux mille watts et je me suis précipitée vers eux. En un clin d’œil, ils étaient servis. Et je n’ai pas craché dans la vodka-orange de Shela, je précise. Je suis au-dessus de ça. Enfin, le fait est que je n’en ai pas eu l’occasion – il y avait toujours quelqu’un qui me regardait.

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— Pas de morsure, ai-je constaté d’une voix qui tremblait un peu.

J’ai senti un immense soulagement m’envahir.

— Non. Pas de nouvelle louve dans ton avenir, a-t-il confirmé en se relevant d’un mouvement fluide. Il m’a tendu la main. Je me suis retrouvée debout sans bien comprendre comment. Un hurlement strident en provenance de la cage m’a brutalement ramenée à la réalité.

— Dis-moi un truc, Quinn : pourquoi diable ne peuvent-ils pas simplement voter, comme tout le monde ?

Ses yeux, qui avaient retrouvé leur habituelle couleur mauve et mordorée, entourée de blanc comme il se doit,se sont légèrement plissés, tandis qu’un imperceptible sourire étirait le coin de sa bouche.

— Ça ne marche pas comme ça chez les hybrides, bébé. On se reverra bientôt.

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— Tu as couché avec Eric pendant qu’il était chez toi.

— Pourquoi me le demander puisque tu le sais ?

— Je ne te demande rien. Je l’ai su dès que je vous ai vus ensemble. J’ai senti son odeur sur toi. J’ai senti ce que tu éprouvais pour lui. Nous avons mélangé nos sangs, Sookie...

Il a poursuivi d’un ton détaché :

— Je sais qu’il n’est pas facile de résister à Eric. Il est aussi vibrant que toi. Vous partagez ce même appétit de vivre. Mais je suis sûr que tu sais déjà tout ça...

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Je suis restée, là, sur le sol, à trembler, les yeux dans le vague, pendant un temps indéfini. Durant les deux ou trois minutes qui ont suivi le choc, je ne pensais plus à rien : j’avais l’esprit complètement vide. Prendre conscience de ce à quoi j’avais échappé, savoir que la mort m’avait frôlée de si près... ça m’avait complètement retournée. Non seulement Claudine m’avait sans doute sauvé la vie,mais elle m’avait très certainement évité d’atroces souffrances, si atroces même que j’aurais préféré mourir plutôt que de les subir. J’avais désormais envers elle une dette dont je ne serais jamais en mesure de m’acquitter.

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Tandis que j’enlevais le tailleur de Tara et que je le mettais dans un sac pour l’emporter chez le teinturier, je dois bien avouer que j’avais plutôt le cafard. On dit que quand une porte se ferme, une autre s’ouvre. Mais ceux qui disent ça n’ont jamais vécu chez moi. En outre,dès que j’ouvre une porte, il y a souvent quelque chose qui me guette, tapi dans l'ombre.

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— Ça m’est égal.

— Je n’en crois pas un mot.

— Pardon ?

— J’ai plus de mal à lire dans tes pensées que dans celles d’un être humain standard, Alcide, mais les doutes que tu as à mon sujet sont tellement criants que je ne peux pas les rater. Puisque tu voulais que je t’aide, je vais te dire un truc : Patrick Machin compte bien utiliser les problèmes de jeu de ton père pour prouver qu’il n’est pas digne de devenir chef de meute.

J’avais déjà percé ses intentions à jour avant que tu ne me demandes de le faire. Maintenant, écoute-moi bien : je ne veux plus te voir, ni demain, ni la semaine prochaine, ni pendant les trente années à venir.

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