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"Elle s'arrêta, renversa la tête en arrière et contempla le ciel. Elle tendit le bras avec lenteur, la paume tournée vers le ciel et ferma un œil.

-Qu'est-ce que vous faites? demanda-t-il.

-Je tiens la lune dans ma paume."

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— Hey, V, dis-moi – as-tu déjà rêvé de moi? Que sais-tu de mon futur?

Vishous tourna vivement la tête. Dans la lumière du néon de la pub Coors, son oeil gauche cerné de tatouages devint entièrement noir. La pupille s’élargit jusqu’à avaler tout l’iris et le blanc de l’oeil, jusqu’à que tout ne soit qu’un trou ouvert sur le néant.

C’était comme regarder vers l’infini. Ou peut-être dans l’Au-delà… après la mort.

— Tu veux vraiment savoir? dit le Frère.

Rhage laissa sa main retomber.

— Il y a juste une chose qui m’intéresse. Vais-je vivre assez longtemps pour être libéré de ma malédiction? Histoire de retrouver un peu de calme.

La porte s’ouvrit et un ivrogne la traversa en zigzagant, comme un poids-lourds avec un essieu cassé. Le mec fonça vers les buissons, vomit puis tomba en avant sur l’asphalte.

La mort est une façon comme une autre de trouver la paix, pensa Rhage. Et tout le monde mourait. Même les vampires. Un jour ou l’autre.

Il ne chercha plus à croiser le regard de son Frère.

— Laisse tomber, V. Je ne veux pas vraiment savoir.

Il avait déjà été maudit une fois et avait encore quatre-vingt-onze ans avant d’être libre. Quatre-vingt-onze ans, huit mois et quatre jours avant la fin de sa punition, avant que la bête ne fasse plus partie de lui. Pourquoi lui faudrait-il en plus apprendre qu’il ne vivrait peut-être pas assez longtemps pour être libéré de ce foutu truc?

— Rhage.

— Quoi?

— Je vais te dire une chose. Celle qui t’es destinée approche. Et tu la rencontreras bientôt.

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John contempla la nourriture. Elle savait. Elle savait exactement ce qu'il ne pouvait pas manger. Et ce qu'il pouvait manger.

Le bol devant lui se troubla. Il cligna des yeux rapidement, puis frénétiquement.

Il ferma la bouche et crispa ses mains sur ses genoux jusqu’à faire craquer ses phalanges. Il n'allait pas pleurer comme un enfant. Il refusait de se ridiculiser ainsi.

La voix de Wellsie s'éleva, calme:

-Tohr ? Tu peux nous laisser une minute ?

Il entendit une chaise reculer, puis John sentit une main ferme sur son épaule et entendit un bruit de pas lourds qui s'éloignait.

-Tu peux te laisser aller à présent. Il est parti.

John ferma les yeux et se pencha en avant, les larmes se mirent à couler le long de ses joues.

Wellsie tira une chaise jusqu'à lui. Elle lui frotta le dos lentement et avec tendresse.

C'était une telle bénédiction que Tohrment soit venu et l'ait trouvé juste à temps. Que cette maison où il allait rester soit si agréable et si propre. Que Wellsie ait préparé quelque chose spécialement pour lui, quelque chose qu'il pouvait manger.

Qu'ils aient tous deux respecté sa fierté.

John sentit les bras de Wellsie l'entourer. Elle l'embrassa. Le berça.

Assoiffé de tendresse, il se sentit revivre.

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Il vit une créature dans la clairière. Haute de deux mètres cinquante au moins, elle avait l’aspect d’un dragon, les dents d’un tyrannosaure et des griffes tranchantes. Le monstre se tordait, baigné par la lumière de la lune, son corps puissant et sa queue étaient recouverts d’écailles iridescentes violet et vert jaune.

— Qu’est-ce que c’est que ça ? murmura Butch, et il vérifia à tâtons que la portière était bien verrouillée.

— Rhage de très méchante humeur.

La chose poussa un autre hurlement et se rua sur les éradiqueurs comme s’ils n’étaient que des jouets. Et il… Doux Jésus. Il n’allait rien rester des tueurs de vampires, pas même les os.

[…]

— Est-ce qu’elle peut entrer dans la voiture ? demanda Butch.

— Si elle y tient vraiment. Heureusement, elle ne doit plus avoir très faim.

— Oui, bon… et qu’est-ce qui se passe si elle a encore de la place pour un petit dessert ? grommela Butch.

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Il entendit un rire et leva les yeux. Fhurie déambulait dans le couloir.

- Tu sembles perturbé, Hollywood. Et tu es complètement à poil.

Rhage se couvrit des mains.

- Je ne sais pas comment tu fais pour le supporter.

Le membre de la Confrérie s'arrêta tout en continuant à remuer la tasse de vin chaud qu'il avait à la main.

- Supporter quoi ?

- Le célibat.

- Ne me dit pas que ta femelle ne veut pas de toi ?

- Ce n'est pas le problème.

- Alors pourquoi es-tu planté dans ce couloir ?

- Je ne veux pas lui faire mal.

Fhurie eut l'air déconcerté.

- Tu es gâté par la nature, certes, mais tu n'as jamais blessé une femelle. Enfin, pas que je sache.

- Non, c'est juste que... je la désire tellement, je suis... sur le point d'exploser, vieux.

Les yeux jaunes de Fhurie s'étrécirent.

- Tu parles de la bête ?

- Oui, répondit Rhage en détournant les yeux.

Le vampire laissa échapper un sifflement lugubre.

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— Vas-y, murmura-t-elle. Fais… ce que tu as à faire.

Rhage lui caressa le poignet du pouce tout en ouvrant son coffre. Puis il en sortit un harnais de cuir qu’il passa sur ses épaules et attacha sous ses pectoraux. Il mit ensuite une ceinture de cuir, comme celle des flics, avec un holster – mais sans rien dedans.

Il lui jeta un coup d’oeil, puis sélectionna ses armes.

Deux longues dagues noires qu’il croisa sur sa poitrine, poignées vers le bas. Un revolver à l’éclat mat dont il vérifia le chargeur d’un geste sûr, avant de l’accrocher à ses hanches. Des étoiles ninja – comme celles utilisées dans les arts martiaux – deux gros chargeurs de munitions qu’il flanqua dans sa ceinture. Et un autre couteau, très mince, qu’il cacha quelque part sur lui.

Il prit sur un cintre un long manteau noir qu’il enfila sur tout ça, tâtant ses poches. Il sortit du coffre un autre revolver, le vérifia avant de le cacher dans les plis du manteau. Il mit d’autres étoiles ninja dans ses poches. Et encore un couteau.

Quand il lui fit face, elle recula, horrifiée.

— Mary, ne me regarde pas comme un étranger. C’est toujours moi là-dessous.

Mais elle ne s’arrêta pas avant d’atteindre le lit.

— Tu es un étranger, murmura-t-elle.

Le visage de Rhage se durcit, et sa voix se fit sèche.

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Discussion entre Butch et Rhage

Rhage : C'est un soulagement de savoir que je ne suis pas le seul à en baver.

Butch : Ca ne me dis rien. Je veux des détails.

Rhage : La femelle m'a viré de chez elle tôt ce matin après avoir sauté à pied joints sur mon amour-propre.

Butch : Quel type d'arme a-t-elle utilisé?

Rhage : Une comparaison peu flatteuse entre un animal de la race cannine sans logis et moi-même.

Butch : Aïe.

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-Oui, bon, vous avez tous déjà voulu un jour ou l'autre me donner une bonne leçon pour des âneries que j'ai pu faire, non? C'est votre jour de chance. (Il donna une claque sur la cuisse de Fhurie.) Allons, mon frère, je t'ai rendu la vie dure depuis des années à propos des femelles. Et Kolher, il y a deux mois, je t'ai tellement mis en boule que tu as fini par planter ta dague dans un mur. V., l'autre jour, tu as menacé de m'en balancer une, tu te souviens? C'était lorsque je t'ai dit ce que je pensais de ton bouc, enfin que je le trouvais franchement moche.

V. rit doucement.

-Il fallait bien que je te fasse taire d'une manière ou d'une autre. Chaque fois que je te croise depuis que je l'ai fait pousser, tu me demandes si j'ai roulé une pelle à un tuyau d'échappement.

-Et je continue à penser que tu te fais ma muscle-car, mon salaud.

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page 532

-vous me haissez vraiment il sentit une legere décharge electrique le parcourir et se rendit compte que la vierge scribe lui avait toucher l'epaule.

-non, guerrier, je t'aime, mon enfant. la malediction fut pour t'apprendre a te controler, a connaitre tes limites, à apprendre l'introspection.

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"[ Bella et Zadiste]

"- Tu me cherches ?

Elle sursauta et tourna la tête. Zadiste se tenait juste derrière elle et frottait une Granny Smith contre sa chemise. Comme il la portait à sa bouche, ses yeux se posèrent sur la gorge de Bella.

- Zadiste...

- Sais-tu que, pour une femelle de l'aristocratie, tu es passablement mal élevée ? (Il découvrit ses canines et croqua dans la peau verte de la pomme.) Ta mère ne t'a jamais dit que ce n'était pas poli de dévisager les gens ?

Elle le regarda manger le fruit, observant le mouvement de sa mâchoire qui faisait des cercles. Le simple fait de regarder ses lèvres lui coupait le souffle.

- Je ne voulais pas t'offenser.

- Eh bien, c'est raté. Et je crois que tu déranges mon frère jumeau par la même occasion."

p. 377 - chapitre 40

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