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— Qui êtes-vous? Et comment êtes-vous entrée ici?

Elle ne répondit pas. Et elle respirait trop vite. Il l’avait terrifiée et l’odeur de sa peur lui monta au nez, un peu âcre comme un feu de bois.

— Je ne veux pas vous faire mal, dit Rhage d’une voix plus douce. Mais vous ne devriez pas être ici et je veux savoir qui vous êtes.

Il sentit la gorge de l’humaine onduler dans sa main, comme si elle essayait d’avaler.

— Je m’appelle… Mary. Et je suis venue avec une amie.

Rhage arrêta de respirer. Et son coeur rata un battement, puis reprit sur un rythme plus lent.

— Répétez-moi ça, murmura-t-il.

— Ah. Je m’appelle Mary Luce. Je suis une amie de Bella… et nous sommes venues ici avec un garçon, John Matthew. Nous avons étés invités.

Rhage eut un long frisson, comme si un courant d’air chaud courait sur sa peau. La musique de sa voix, le rythme de son discours, le son de ses mots… tout passait en lui, le calmait, l’apaisait. L’enserrait doucement.

Il ferma les yeux.

— Dites-moi encore quelque chose.

— Quoi? demanda-t-elle étonnée.

— Parlez. Parlez-moi. Je veux entendre votre voix.

Elle resta silencieuse, et il s’apprêtait à répéter sa demande quand elle dit:

— Vous n’avez pas l’air bien. Auriez-vous besoin de voir un médecin?

Il vacilla. Les mots n’avaient aucune importance. C’était sa voix – ce son doux et calme frissonnait dans ses oreilles. Il en ressentait la caresse à l’intérieur même de sa peau.

— Encore, dit-il, bougeant sa main sur le cou mince pour mieux sentir les vibrations de sa gorge.

— Pourriez-vous… S’il vous plaît, pourriez-vous me lâcher?

— Non. (Il leva son autre main. Elle portait une sorte de polaire dont il repoussa le col, plaçant sa paume sur l’épaule de l’humaine pour qu’elle ne lui échappe pas.) Parlez.

Elle se débattit.

— Vous m’écrasez.

— Je sais. Parlez.

— Mais pour l’amour du ciel… que voulez-vous que je vous dise?

Même exaspérée, sa voix était splendide.

— N’importe quoi.

— Très bien. Alors enlevez immédiatement votre main de mon cou sinon je vais vous envoyer mon genou là où ça fait très mal.

Il se mit à rire. Puis appuya contre elle le bas de son corps, la coinçant des hanches et des cuisses. Elle se raidit à son contact, mais il put deviner ses formes. Elle était mince et fragile, et incontestablement femelle. Il sentit les seins hauts, les hanches rondes, le ventre plat.

— Continuez à parler, dit-il près de son oreille.

Seigneur, comme elle sentait bon! Une odeur fraîche et propre. Un peu citronnée.

Quand elle tenta de le repousser, il se laissa aller contre elle de tout son poids. Et il l’entendit vider l’air de ses poumons.

— Je vous en prie, murmura-t-il.

Contre lui, la mince poitrine gonfla, comme si elle inspirait très fort.

— Je… n’ai rien à vous dire, sinon de me lâcher.

Il sourit et prit soin de garder la bouche fermée. Il valait mieux ne pas lui montrer ses canines, surtout si elle ne savait pas qui il était.

- Alors dites-le.

- Quoi?

- Rien du tout. Dites rien du tout. Encore, et encore, et encore. Dites-le.

Elle tressaillit, l'odeur de la peur fut remplacée par l'odeur d'une épice, une odeur de jardin, de menthe fraîche, poivrée. Elle était énervée, désormais.

- Dites-le, ordonna-t-il.

Il avait besoin des sensations qu'éveillait sa voix en lui.

- OK. Rien du tout. Rien du tout. (Elle se mit tout à coup à rire, et le son le transperça, l'enflamma.) Rien du tout, rien du tout. Ri-en-du-tout. Ri-en-dutout. Riiiiiiiiiiiiiiien duuuuuu tout. Voilà, ça vous va? Vous allez me lâcher maintenant?

- Non.

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_ Il a trahi la Confrérie pour toi. Il a du racheter ses fautes s'il voulait rester avec nous et de garder ici.

Mary cessa de respirer. C'était pour elle? A cause d'elle?

Mon Dieu. Il s'était laissé fouetter pour elle...

"Je ferai en sorte que tu sois en sécurité." lui avait-il promis.

Elle n'avait absolument aucune explication rationnelle pour justifier ce type de sacrifice. Pour la douleur qu'il supportait pour elle.

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-Et c'est Zadiste. Je suis Zadiste.

-Bon... enchanté de faire ta connaissance, Zadiste.

-Quelle politesse, railla-t-il.

-OK. On essaie autre chose alors : merci de ne pas nous avoir tués lui ou moi, à l'instant. C'est suffisamment poli pour toi?

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-Mon frère jumeau n'est pas cassé, il est détruit. Est-ce que tu comprends la différence? Une choses cassée? On peut la réparer. Détruite? Tout ce que tu peux faire, c'est attendre de l'enterrer.

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- je manque de mots, ma femelle. parce qu'aucune parole qui puisse sortir de ma bouche n'est digne d'être entendue par toi

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Mais elle regarda ensuite son corps et oublia complètement le manteau. Il portait un tee-shirt noir qui soulignait des bras puissants. Sa poitrine était large et bien définie, son ventre suffisamment plat pour qu'elle puisse remarquer les tablettes de chocolat à travers le tee-shirt. Ses jambes étaient longues, ses cuisses musclées...

- Vous aimez ce que vous voyez ? demanda-t-il d'une voix basse, sereine.

Celle-là, non, non, elle n'y répondrait pas.

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Elle m'a subjugué la première fois que je l'ai vue, mais elle m'évite depuis trois semaines. Alors, au lieu de comprendre le message, je vais aller la voir et me mettre à genoux comme un couillon.

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Il étira la tête et inclina la tête de sorte qu'elle puisse mieux le caresser.

Même ses oreilles sont belles, pensa Mary.

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Voilà que cette femelle humaine qui ne faisait pas la moitié de son poids à lui, qui était malade, qui venait d'apprendre qu'elle avait un vampire chez elle... se souciait de le protéger.

- Rhage? (Elle s'approcha et s'agenouilla à côté de lui.) Je peux vous aider à descendre à ....

Sans réfléchir, il lui prit la main et pressa ses lèvres contre sa paume, puis il la mit sur son cœur.

La peur de Mary tourbillonna dans les airs, l'odeur pénétrante de fumée se mêlant au délicieux parfum qui émanait naturellement d'elle. Mais cette fois-ci, elle n'eut pas de mouvement de recul.

- Vous n'avez pas à vous inquiéter, souffla-t-elle avec douceur. Je ne laisserai personne vous attaquer. Vous êtes en sécurité.

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— Non, répondit-elle.

— Alors pourquoi vous êtes-vous soudain refermée comme ça ? (Il plongea son regard en elle.) Mary, dites-moi ce qui se passe ?

Il semblait réellement perplexe, et elle trouvait ça gonflé. La pensait-il réduite à accepter sa charité en guise de sexualité ?

— Écoutez, Rhage, je vous trouve très sympa d’accepter d’aller aussi loin au nom de l’amitié, mais je n’ai pas besoin qu’on me prenne en pitié, d’accord ?

— Vous aimiez ce que je faisais, je l’ai senti. Je le sens encore d’ailleurs.

— Mais zut à la fin, ça vous amuse de me rendre ridicule ? Parce que je vais vous dire un truc, de mon côté, ce n’est pas drôle du tout d’être la seule à m’exciter avec un mec qui à l’air aussi intéressé par moi que par un journal politique. C’est… c’est nul, voilà, et je ne veux plus en parler.

Le néon lumineux de son regard s’étrécit soudain.

— Vous pensez que je n’ai pas envie de vous ?

— Oh, désolée si j’ai raté ce qui se passait de votre côté. C’est vrai que vous aviez l’air si passionné par mon contact.

Elle ne put croire la vitesse à laquelle il bougea. Un moment, il était assis dos contre le mur, et la seconde suivante, il l’avait renversée au sol.

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