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Extrait ajouté par Raph2426 2021-10-05T20:16:58+02:00

"Depuis que nous avons reçu la lettre, maman flotte sur un petit nuage. Elle à l'air d'y voir la solution a tous nos problèmes, la promesse d'une nouvelle vie. Le seul petit grain de sable qui vient gripper les rouages, c'est moi. En temps normal je ne suis pas du genre à ruer dans les brancards mais là, je dis stop. Je n'ai pas envie d'aller grossir les rangs de la famille royals. Encore moins ceux de l'élite du pays. Hors de question."

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Extrait ajouté par Leel18 2021-07-18T00:31:18+02:00

Ce que je sais, par contre, c'est que je me sentirai plus légère quand j'aurai choisi : Maxon ou Aspen ?

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Extrait ajouté par Louise-164 2021-05-20T14:07:05+02:00

"Un je-ne-sais-quoi de timide, d'hésitant, me fait chavirer. Sans qu'une seule parole circule entre nous, je sens une vague de nervosité le parcourir. Au plus profond de moi, je comprends qu'il m'adore"

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- Vous avez vraiment la sensation d'être dans une cage ? souffle le prince avec empathie.

- Oui... Votre Majesté.

- J'ai moi même éprouvé cette sensation plus d'une fois. Mais c'est une très belle cage, convenez-en.

- Je n'en suis pas si sûre. Faites cohabiter dans votre cage dorée trente-cinq furies prêtes à s'entre-tuer pour obtenir ce qu'elles veulent, vous verrez le résultat.

- Des furies ? Vous n'avez pas compris que c'est moi qui désigne celle qui deviendra ma femme ?

- J’exagère, OK. Les candidates se bagarrent soit pour vous, soit pour le trône. Et chacune pense avoir trouvé la recette miracle pour vous faire tourner la tête.

- Ah oui. L'homme ou la couronne. Certaines n'arrivent pas à faire la distinction, j'en ai bien peur.

- Je vous souhaite bonne chance, alors...

S'ensuit un silence interminable. Observant le prince du coin de l’œil, j'attends sa réponse. Le regard fixe, il est hypnotisé par quelques brins d'herbe. J'ai l'impression que ce problème le taraude depuis longtemps. Il revient enfin à la réalité et se tourne vers moi.

- Et vous, mademoiselle, qu'est-ce qui vous a poussée à participer à la Sélection ? L'homme ou le trône ?

- En fait, je suis arrivée ici par erreur.

- Par erreur ?

- Oui. Plus ou moins. C'est une longue histoire. Et maintenant... me voilà. Je ne me bats pour rien du tout. Le but ultime, c'est de me remplir l'estomac jusqu'à ce que vous me montriez la porte.

P.146/147

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« - Aucune idée. En même temps, certaines n’attendent qu’une chose, vous sauter dessus.

- Mais pas vous. Vous, vous n’avez eu aucun scrupule à me balancer un coup de genou dans l’entrejambe.

- Objection ! Dans la cuisse.

- Ne dites pas d’absurdités. Dans la cuisse, ça ne fait pas aussi mal. »

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Extrait ajouté par Yatrini 2021-02-10T20:42:00+01:00

I'm not your Dear! - America Singer

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Extrait ajouté par CelineEC 2020-10-23T19:27:51+02:00

(America & Maxon).

- Maxon, ce n'était pas de la comédie. Si vous m'aviez demandé mon avis il y a un mois, la réponse aurait été très différente. Je vous connais à présent, et j'ai parlé en toute bonne foi. En toute sincérité.

- Merci alors, répond-il avec un petit clin d'oeil.

- De rien.

- Il aura de la chance, lui aussi.

- Pardon ?

- Votre fiancé. Quand il reviendra à la raison et vous suppliera de le reprendre.

- Ce n'est pas mon fiancé. Et il a fait une croix sur moi, il a été très clair là-dessus.

- Impossible. Il vous aura vue au bulletin ce soir, il s'en sera mordu les doigts. Même si, à mon sens, il ne vous mérite pas.

Maxon s'exprime sur un ton las et découragé, comme s'il avait vu cette situation se reproduire des milliers de fois.

- Et j'y pense, ajoute-t-il, si vous voulez éviter que je tombe amoureux de vous, cessez donc d'être aussi jolie. Dès demain matin, j'ordonne à vos chambrières de vous coudre des robes de bure.

- Arrêtez, Maxon.

- Je ne plaisante pas. Vous êtes beaucoup trop belle, c'est très dangereux. Lorsque vous quitterez le palais, nous serons dans l'obligation de vous attacher des gardes du corps. Vous ne survivrez jamais livrée à vos propres moyens, ma pauvre petite.

- Je n'y peux rien si je suis née parfaite.

Et je fais mine de m'éventer, comme si tout cela - la beauté, la perfection, l'intelligence - m'épuisait.

- Non, vous avez raison.

J'éclate de rire. Maxon a toujours l'air grave. Du coin de l'oeil, je remarque qu'il ne me quitte pas du regard. Lorsque je me tourne vers lui pour lui demander ce qui le captive autant, son visage n'est qu'à quelques millilètres du mien.

Et il m'embrasse, sans crier gare.

Je m'écarte aussitôt, surprise. Maxon recule lui aussi.

- Excusez-moi, marmonne-t-il, rouge comme une tomate.

- Mais qu'est-ce qui vous prend ?

- Pardon.

- Vous êtes tombé sur la tête ?

- C'est juste que... avec ce que vous avez dit tout à l'heure... et votre attitude de plus en plus amicale... j'ai cru que vos sentiments à mon égard avaient changé. Et je vous apprécie, je pensais que vous l'aviez compris. Et... c'était si terrible que ça ? Vous avez l'air catastrophée.

J'essaie d'arborer une expression neutre. Maxon semble avoir envie de s'enfoncer six pieds sous terre.

- Je suis navré. C'est mon tout premier baiser. Je ne sais pas quelle mouche m'a piqué, souffle-t-il. En fait... je vous demande d'accepter mes plus plates excuses, America.

Une chaleur inattendue s'empare soudain de moi. Son premier baiser, c'est à moi qu'il a voulu le donner.

Oui, je le reconnais, j'ai encore des sentiments pour Aspen. Je ne peux pas l'oublier en un claquement de doigts. Mais notre couple n'est plus qu'un amer souvenir et plus rien ne m'empêche de réserver à Maxon une place dans mon coeur. A part mes préjugés, peut-être. Des préjugés balayés par la réalité.

J'effleure son front de ma main.

- Que faites-vous ?

- J'efface de votre mémoire ce baiser raté. Je suis sûre qu'on peut mieux faire.

- America, on ne peut pas défaire ce qui a été fait, malheureusement.

- Bien sûr que si. Qui le saura, à part vous et moi ?

Maxon scrute mes traits, visiblement tiraillé. Je vois l'assurance gagner petit à petit son visage. Nous restons ainsi un long moment, les yeux dans les yeux, et je chuchote :

- Je n'y peux rien si je suis née parfaite.

Maxon s'approche de moi et m'enlace par la taille. Son nez chatouille le mien. Du bout des doigts, il frôle ma joue avec une délicatesse telle qu'on croirait qu'il a peur de me briser.

- Non, c'est vrai. Ce n'est pas de votre faute.

Les mains sous ma nuque, Maxon dépose un baiser sur mes lèvres, aussi léger qu'un murmure.

Un je-ne-sais-quoi de timide, d'hésitant, me fait chavirer. Sans qu'une seule parole circule entre nous, je sens une vague de nervosité le parcourir. Au plus profond de moi, je comprends qu'il m'adore.

C'est donc ça, être une princesse.

Au bout d'un moment, Maxon me relâche.

- C'était mieux ?

Je hoche la tête, muette. Maxon semble à deux doigts d'exécuter un saut périlleux.

- Puis-je ajouter quelques mots ? Je ne suis pas stupide au point de croire que vous avez complètement gommé votre ancien amour. Je sais quelles épreuves vous avez traversées, je sais que vous n'êtes pas arrivée là via un processus normal et je ne veux pas vous forcer la main. J'aimerais juste... savoir s'il serait possible...

Question épineuse. Suis-je prête à vivre une vie qui ne m'a jamais fait rêver ? à le regarder donner leur chance à d'autres filles afin d'être sûr de son choix ? à assumer des responsabilités énormes ? à aimer Maxon ?

- Oui, Maxon. C'est possible.

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Extrait ajouté par CelineEC 2020-10-23T19:27:21+02:00

- Et moi, pourquoi me garder ?

- America, je croyais avoir été clair sur ce point.

Maxon laisse échapper un soupir et prend délicatement mon visage entre ses paumes. Quand je lève la tête, il passe aux aveux.

- Si les choses n'étaient pas aussi compliquées, j'aurais déjà annulé la Sélection depuis longtemps. Mes sentiments ne sont plus un mystère pour moi. Peut-être est-ce irréfléchi de ma part de me lancer ainsi tête baissée, mais je suis certain que je serais heureux avec vous.

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Extrait ajouté par Patch7 2020-10-06T15:20:06+02:00

— Dites-moi, Votre Altesse, comment gérez-vous une pièce remplie de jeunes filles

éplorées ?

— Je ne connais rien de plus déroutant ! chuchote-t-il, ses traits déformés en une expression de perplexité comique. Je n’ai pas la moindre idée de ce qu’il faut faire pour inverser la tendance.

Voici l’homme qui va prendre en main le destin de notre pays ; quelques larmes, et il est pris de court. À mourir de rire.

— Essayez de leur donner des petites tapes dans le dos ou sur l’épaule, dites-leur que tout va s’arranger. La plupart du temps, les filles pleurent quand elles veulent être consolées.

— Vraiment ?

— Grosso modo, oui.

— C’est beaucoup trop simple.

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Extrait ajouté par elodiev_ 2020-09-18T13:15:58+02:00

"They'll kill you for doing this," I breathed in a brief moment when his lips traveled to my neck.

"If I don't, I'll die anyway."

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