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l'un des premier roman policier que j'ai lu (pour le collège) ma fois j'ai bien aimé sans plus il y a un bon suspense mais l'histoire est pas terrible
Afficher en entierComme tous les livres de Simenon j'ai aussi aimé celui-là. C'est écrit avec simplicité, j' accroche à son style, à son histoire dès les premières lignes. Pour moi un très bon auteur. Du suspense... bonnes descriptions des lieux, tellement bonnes qu'on s'y croit, on mène l'enquête avec Maigret !!!!!
Afficher en entierAvec les aventures de Maigret, "ça passe ou ça casse" comme on dit.. il faut accrocher au style de Simenon, mais lorsque l'on y parvient, on se laisse avec plaisir porter par l'histoire, le suspens, et l'intrigue. L'ambiance sombre et quelque peu "étouffante" du "Chien jaune" est intrigante, et suscite curiosité. J'ai bien apprécié ce livre et je le relierai avec plaisir. A prendre ou à laisser, mais je conseille tout de même de le lire pour se faire sa propre idée, c'est quand même un livre qu'il faut lire je pense.
Afficher en entierC'est le premier Simenon, que j'ai lu, il y a plus de trente ans, cela m'a donné le goût du polar.
Simenon a écrit ceci : "J'ai essayé d'être le plus simple possible, c'est le conseil qui m'a le plus servi dans ma vie. Je dois une fière chandelle à Colette de me l'avoir donné."
texte clair pour une intrigue complexe.
Afficher en entierJe l'ai lu après l'avoir vu à la télé. A noter une différence majeure entre les deux : la série a été tournée à Boulogne sur mer.
Mais on y retrouve bien les même ingrédients : une forme de suspenses assez lourde, guidée par le personnage de Maigret.
L'opposition de la petite bourgeoisie avec le peuple.
Et finalement, grâce à Maigret, une histoire qui se conclut plutôt bien pour ceux qui n'ont pas eu la vie facile ....
Afficher en entierPas de doute... c'est du Maigret...
C'est avant tout du roman policier d'atmosphère... Si l'intrigue et l'enquête n'ont rien d'exceptionnel, la plume de Simenon a cet étrange pouvoir de nous plonger dans un univers où les gens sonnent "vrais"...
On aime ou non...
Moi, je suis séduit.
Afficher en entierUn bon policier, bien écrit, qui retient le lecteur en haleine mais un peu vieilli...
Afficher en entierJ'ai dû le lire pour le lycée, et j'avais assez bien aimé même si le policier n'est pas mon genre préféré !!!
Afficher en entierJe pensais détester ce livre que j'ai dû lire pour la quatrième. Et bien...
Je n'ai pas du tout tort ! Enfin j'exagère. Je ne déteste pas ce livre, mais je ne l'aime pas particulièrement, d'accord?
Afficher en entierMostaguen, un notable de Concarneau est grièvement blessé d’un coup de révolver, alors qu’il rentrait paisiblement chez lui, de retour du bar-restaurant-hôtel « L’Amiral » qu’il fréquentait. Seul témoin du meurtre, un chien d’un jaune sale, de la couleur des chiens de personne.
Appelé sur les lieux, Maigret commence son enquête par ce fameux bar. Les clients en sont aussi des notables, des types semble-t-il à l’aise, des gens du type de ceux qu’on écoute.
J’ai lu de mauvaises critiques sur ce grand classique de Simenon : l’un trouvait que le livre datait, l’autre regrettait de ne pas retrouver l’ambiance Agatha Christie. Eh oui, ma bonne dame, Simenon n’a (heureusement, de mon point de vue) rien à voir avec l’auteur d’énigmes à la chaine bien connue. Simenon, c’est l’intérieur, l’interne humain, pas le cheveu oublié sur l’oreiller, cheveu qui prouve que, décidemment non, la victime n’était pas chauve !
J’ai lu aussi parlant de Simenon (elle s’appelle Lune, joli, non ?) « Vous nous ouvrez la porte de l'Hôtel de l'Amiral, nos narines reçoivent les odeurs de tabac, d'alcool, de bière, de repas tristes et gras. Nous épions, tapis sans être vus, une frange misérable de la population, les regards sournois de quelques notables dont nous devinons la laideur sous leur dehors de bien-pensants de petite ville de province où chacun se sourit, se déteste, magouille lâchement. Nous suivons Maigret, nous approuvons sa placidité et sa non-méthode qui, en fin de compte, en est une, la sienne ». En voilà au moins une qui a tout compris.
Simenon, ça se mâche, surtout à Concarneau, par la pluie qui remplit ce pot de chambre. Les hommes, leurs défauts, leur lâcheté, leur petitesse, ça se déguste en connaisseur. Ils sont vrais, ni héroïques ni dignes d’admiration, ils existent, tout simplement.
Autre aspect remarquable du roman, l’opposition entre l’intelligence sensitive de Maigret et la méthode plus « jugulaire-jugulaire » de son adjoint, apprise à l’école de police et répétée sans génie, la méthode à la mode de nos jours, faite d’indices, de preuves matérielles, de matériel tout simplement, qui ne permet pas de comprendre les ressorts d’une affaire mais de remplir les tôles françaises, si accueillantes comme chacun sait…
Lorsqu’Arletty s’indignait de paraître avoir une gueule d’atmosphère, c’est peut-être (peut-être seulement, hein ?) au « Chien jaune » qu’elle pensait, car ce bouquin, c’est de l’atmosphère mer saline, pluie sale, réflexes petits, trouillards-combinards, c’est de l’atmosphère d’exception, un des très grands écrits du Maître Georges.
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