Extraits

Assez avec ça, Sophronia. Une directrice d'école ne s'intéresse pas à l'éducation.

Sophronia n'avait jamais été du genre à laisser tomber quelqu'un quand des bobards étaient nécessaires.

Faisant son entrée dans le rôle de la doublure de la mère, voici la sœur aînée. Génial.

Elle ferma les yeux et envisagea les possibles récriminations qui émaneraient bientôt de sa mère contrariée.

Tu aurais dû porter des pantalons, dit Vieve à voix basse, mais sur un ton dégoûté.

– Je ne suis peut-être pas encore une dame, et de loin, dit Sophronia, très dignement de son point de vue, mais je ne suis pas un garçon non plus ! »

Elle se sentait de plus en plus concernée par les vêtements, bien plus qu’avant de fréquenter le pensionnat de Mlle Géraldine.

Savon la regarda. « Vous ressemblez à une dame pour moi.

Faisant son entrée dans le rôle de la doublure de la mère, voici la sœur aînée. Génial.

En fait, je suis en train de me ressaisir. Alors j'apprécierai que tu te barres jusqu'à ce que j'ai finis.

Sophronia ne fut pas impressionnée.

- Vous croyez que vous pouvez me faire peur avec des discours lugubres ? Sachez que j'ai des sœurs aînées.

Pendant ses quatorze longues années de vie, [Sophronia] n'était jamais restée là où elle était sans s'impliquer dans quelque chose.

Jeter le blâme sur quelqu'un d'autre était une tactique classique, mais elle devait être employée avec précaution.